Ce que je mérite

6em

Je sens des frissons sur tout mon corps, ma respiration est saccadé, mon bas ventre est pris d'une chaleur agréable. Les yeux toujours fermé j'ai peur de me réveiller et d'être enfuit en plein cauchemar. Je sens une vague de frissons  me parcourir le corps tout entier, mes tétons devenu dure se font aspiré à tour de rôle, je lâche un gémissement. On dirait vraiment que c'est réel, je sens le bas de mon corps se soulevé, j'ouvre les yeux et je suis toujours dans la chambre du maître, ce sentiment de plaisir est toujours là.
Je baisse la tête et voit mon maître entre mes jambes ses cheveux frisés attachés en queue de cheval s'appliquer à me donner du plaisir, je suis à la fois étonné et désireuse d'en avoir plus, c'est si bon que j'en oublie le bizarroïde de la situation. Ces coup de langue aussi expert qu'appliquer me pousse dangereusement au bord du gouffre des plaisirs.
Me rendant compte que mes mains sont attachés aux rebords du lit je ne peux que me contenter que de bouger mon bassin en redemandant plus à chaque fois. Mes gémissements sont plus fort à chaque fois, et lui n'arrête pas sa douce torture. Je n'en peux plus mon corps en veux plus, Il se lève, il est torse nu et porte un jean  bleu délavé. Il se dirige vers un buffet, il sort un objet rond de couleur noire. Je joins rapidement mes jambes, ce gars commence a me faire flipper. Un sourire sadique étire ses lèvres, il se repositionne face à mon intimité et déserre mes jambes pour l'avoir en vue. J'appréhende, mon cœur bât la chamade. Il enfonce l'objet en moi, ça fait pas mal mais c'est une sensation assez bizarre. Il tire une chaise à quelques mètres en face et s'assoit, à croire qu'il regarde un film.

Il appuie sur un bouton, des vibrations assez douces envahissent mon intimité. Après cinq minutes environ il augmente l'intensité. Au bout de quinze ce qui était des gémissements sourds deviennent des cris de supplication. Vu son sourire il doit surkiffé.

- s'il... Vous... Plaît ! Arrêtez j... P... Plus...

Les vibrations s'arrêtent, il me débarrasse de l'objet morbide qui m'a à la fois donner du plaisir et de la frustration. Il monte sur moi et m'embrasse dans le cou. Je n'en peux plus j'ai besoin de le sentir en moi

- maître soufflé je, s'il vous plaît...

Comme s'il lisait dans mes pensées, il se débarrasse sans attendre de son pantalon vite fait, et me pénetre d'un coup. Le moment est très intense, chaque coup de rein est plus appliqué que l'autre. J'aurais tellement aimé qu'il s'empare de ma virginité de cette manière, qu'il ne me l'arrache pas dans cette cave. Il me détache les mains et me mets à califourchon sur lui, mes jambes bloquent sur ses hanches. J'essaie de l'embrasser mais il me repousse. Nos mouvements sont si vifs que je ne réussis à me retenir et jouis, après quelques minutes encore il jouit à son tour.
Nous retombons essoufflé sur le lit, le sommeil s'empare de nous, blottit dans les bras l'un de l'autre