Les doux rayons de soleil du matin m'éblouissent le visage, j'ai dormi comme un loir et c'est une première dans cette maison.
Je sens sa respiration dans mon cou, il est encore endormi, il a l'ère si doux dans cet état, mon cœur se serre quand je pense à tout ce qu'on a traversé ou plutôt à tout ce qu'il m'a fait traverser. Je secous ma tête comme pour chasser cette pensé, c'est du passé et il faut plus y penserJe descends m'affairé dans la cuisine, je remonte avec un chariot dans la chambre. Je l'embrasse pour le réveillé, il sursaute, je lui souris
- c'est moi t'inquiète pas,
Il s'assoit un sourire au lèvres, il est si mignon comme ça, les cheveux ébouriffés. J'ouvre le couvercle du plateau, il y'a des pancakes, un thé à la menthe son préféré, un jus à la mangue pour moi
- Comment t'as su que j'aimais mangé les pancakes avec un thé à la menthe
- mon petit doigt me l'a dit
On passe notre journée dans sa chambre, à refaire l'amour sans se rassasier. Vers 17 heures on sort faire un tour à pied au parc, on s'assoit sur un banc et on parle de nos familles. Je lui parle du décès de mes parents, de ma relation avec ma tante. Il me parle à son tour de ses parents et on se confit l'un à l'autre, il s'excuse une fois de plus et je l'embrasse.
En rentrant, il me tend une petite boîte noire, je le regarde avec appréhension,
- ouvre là m'encourage t-il
Je l'ouvre et vois une magnifique bague de fiançailles avec une pierre en diamant taillé en une rose , mes larmes coulent,
- c'est magnifique, soufflé je entre deux sanglots
- c'est pour que ce soit officiel, je veux qu'on soit ensemble pour de vrai
- oui ! Je le veux
On s'embrasse de nouveau à se couper le souffle, c'est si merveilleux, mon cœur se serre, j'espère que ça va continuer comme ça...
J'espère...--------------------------------------------------
J'entre en courant dans la chambre, cayden est au téléphone, je lui saute au cou sans me soucié de son appel et l'embrasse de toute mes forces, il écarquille les yeux
- désolé Emma je te rappelle tout à l'heure dit t-il à sa secrétaire
Il me porte et j'enroule mes jambes autour de ses hanches
- qu'est ce qui te prend, me demande t-il un sourcil levé
- j'ai validé mon année avec mention,
Il sourit et m'embrasse,
- je le savais, et c'est pour ça que j'ai une surprise
Ça fait douze semaines jour pour jour qu'il m'a demandé officiellement d'être sa femme et jusqu'à présent tout baigne, quelque saut d'humeur de temps en temps mais j'arrive à le calmer.
Il me prend la main et nous descendons au sous sol, je me raidis, les souvenirs que referme cet endroit me remplit de stress. Il sent mon malaise et m'encourage à avancer, on dépasse la cave à mon plus grand plaisir et on s'arrête devant une porte en bois massif. Il l'ouvre, tout est plongé de la pénombre, j'avance d'un pas mal assuré. Il met la lumière et je reste bouche bée, une multitude de portraits de moi aligner dans cette pièce, tous les moments cool que j'ai vécu sont peint sur des tableaux
- waouh cayden c'est vraiment beau, soufflé les larmes aux yeux
- merci, je suis pas encore au niveau espéré,
- tu ne m'avais pas dit que tu peignait,
- je n'aime pas en parler, mes parents me l'interdisait qu'on j'étais petit donc je ne peux pas m'empêcher d'en faire un secret et ça m'aide à me calmer pour ce que tu sais
Je le prends dans mes bras ému,
- c'est un énorme gâchis, soufflé tout le monde devrais voir comment t'es talentueux
J'aperçois un tout petit tableau à peine plus grand qu'un sac à main classique, Il y'a nous deux de dos au parc assis sur le banc, je souris. Juste derrière il y'a un tableau plus grand où je suis allongé sur des drap, les seins pointus à l'air, une main masculine posé sur mon cou et a voir ma bouche et mes yeux fermés on dirait que je gémis. Je passe d'un teint normal à un cramoisi tellement j'ai honte, je lui donne une tape à l'épaule, il rigole
- moi aussi j'ai une surprise pour toi, lui dis je d'un regard coquin
Je l'embrasse langoureusement, les mains glissant partout sous son débardeur. Un soupir rauque sors de ses lèvres, je le débarrasse de son tee-shirt et m'affaire a sortir son trésor de sa cachette. Le regard étonné, il me laisse faire et ça m'encourage, je glisse ma langue sur son membre deux ou trois fois pour éveillé ses sens, puis je le four délicatement dans ma bouche en faisant des va et vient, doucement d'abord et de plus en plus vite. Après quelques minutes il me ramène à lui n'en pouvant plus et m'arrache littéralement ma robe en soie avant de prendre mes seins comme une sucette
- c'est ma robe préférée, boudé je en gémissant,
Il me retourne face au mur et j'y plaque mes mains par réflexe, il me fait des suçons dans le cou et dans le dos, il entre en moi sans que je m'y attende provoquant chez moi un gémissement étouffé.
Nous faisons longuement l'amour comme si nos vies en dépendait jusqu'à ce que nos orgasmes explose en cœurAprès dix minutes allongé au sol lovés comme deux amants après des ébats que nous sommes, nous remontons dans notre chambre, j'enfile une autre robe et lui un autre débardeur sur son jean. Je lui prends la main et l'emmène à la salle à manger, j'avais dressé la table y'a un moment, il prend place
-C'était ça la surprise lui dis je, ton plat préféré
Il sourit comme un enfant devant son ragoût de viande. Il se sert et je fais pareil
- Et le dessert où est il? Demande t-il
- C'était censé être moi mais tu m'as prise à l'entrée lui susuré je
Nous rions en cœur, qu'est ce que la vie est belle...
On se concentre finalement en discutant de son boulot et de la suite de mon parcours, lorsque son téléphone se met à sonné, il répond aussitôt- Emma qu'est ce qu'il y'a ? Dit il tendu
Il lâche sa fourchette et se lève, il fait des allé retour autour de la table puis monte à l'étage, il redescend quelques minutes après vêtu d'une veste tenant un sac à main homme. Je me lève et le rejoins au salon
- Qu'est ce qui se passe ? Demandé je
- tout à l'heure je te dirai pour l'instant je dois y aller me dit il en embrasse à la va vite
J'ai à peine le temps de comprendre la situation qu'il est déjà parti
Décidément l'univers ne nous fiche pas la paix...

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Ce que je mérite
Romantikaje m'appelle Martika, j'ai 18 ans, mes parents sont mort y'a deux ans de celà dans un accident de voiture. je vis avec ma tante qui apparemment me déteste. depuis je me suis mise à traîner dans les rues, à voler à l'étalage, à dormir dans le métro...