𝑺𝒂𝒍𝒂𝒎 𝑾𝒂𝒍𝒆𝒊𝒌𝒐𝒖𝒎 💗Le temps passé à une vitesse folle, plus les journées passées plus je m'ouvrais à lui. Il me connaissait par cœur. Parfois même, mieux que moi même. Chaque conversation, était suivis d'une vague de bonheur, chaque intentions, me fessait me sentir exceptionnelle à ses yeux, chaque petits signes d'affections me procurais le sentiment d'être aimé. C'était devenue une addiction, une drogue. Je me passais plus de lui. Je sautais sur mon téléphone à la moindre notification. Jusqu'à ce que je tombe amoureuse.
C'était un jour de novembre, les feuilles tombées des arbres et le froid se fessait ressentir. Nous avions troqué nos t-shirts par des pulls et nos vestes par de grosses doudounes. L'hiver se sentait à plein nez. C'est avec les lèvres gercées par le froid, le nez et les joues rouges, les mains glacées dans les poches que j'étais sur le chemin de notre endroit, à moi et lui.
À l'arrière de la bibliothèque municipale de la ville.C'était vide, calme, on pouvait seulement entendre mes reniflements et les bruits des manches de ma doudoune frottants sur le bas de celle-ci. Le bruit du vent et des quelques feuilles encore accrochées sur les arbres qui se frottaient entre elles.
15:49, je le vois alors arrivé au loins, un bonnet qui recouvrait ses cheveux noirs corbeaux avec quelques mèches rebelles qui se fessaient apparaître de celui-ci. Son teint bronzé, ses lèvres pulpeuses et gercées à cause du froid qu'il mordillait sans cesse. Sa doudoune qui lui donnait un air encore plus imposant qu'il ne l'était déjà. Et son regard, il avait des yeux noir comme du charbon. son regard était neutre ce qui lui donnait un air dur et froid. J'entendais mon coeur battre la chamade à chacun de ses pats qu'il fessait vers moi. Le bruit de ses baskets qui tape sur le béton, les mains dans les poches. Une allure de voyou sans vraiment l'être.Une fois face à moi un sourire en coin de ses lèvres apparaît. Il remonta alors ses lunettes avec son index, léchant sa lèvre du bas. Puis s'approcha de mon front pour l'embrasser. Un sourire se dessina sur mes lèvres, à cet instant, je ne voyais que lui mes yeux brillaient de milles feu. Je ne pense pas vraiment savoir vous décrire le sentiment qu'à traversé mon corps à cet instant. Mais si les arbres et les feuilles près de cet endroit ce jour là pouvaient parler. Alors ils vous diraient que ce moment était bien plus que magique.
C'est alors que son bras autour de mon cou se posa, que commença une longue marche suivis d'une longue discussion..
: « Et si demain je te disais de choisir entre moi et Ferdaws ? »
Un dilemme, Ferdaws était l'une de mes seules amies. Elle était la fille des amies à mes parents, on avait grandi ensemble. En réalité, on avait eu la même vie. On a toutes les deux étaient élevé par nos grands mères respectives. Et on a pas vraiment l'amour de nos parents comme tous les autres enfants de notre âge. Certes, nos parents nous aimer mais il nous le montrer pas forcément.
Je ralentis alors ma marche et détourna le regard vers lui pour planter mes yeux dans les siens. Je le regarde avec un regard interrogateur. Comme si je cherchais une réponse dans ses yeux.
- « Pourquoi tu me pose cette question ? »
Il s'arrête complètement et me regarde
- « Si demain tu devais choisir entre moi et elle tu la choisirai ? »
Je le regarde longuement et l'entraîne a continué de marcher à mes côtés. Toute en marchant, il me regardait. Il attendait une réaction, une réponse. Mais aucun mot ne sortait de ma bouche. Il m'avait posé une question dont moi-même, je n'avais pas la réponse. Il se contenta alors t'enlever son bras de mon cou et de souffler d'agacement. Je l'avais blessé, je repris la parole :
- « Et toi alors ? »
En réalité je savais rien de lui. Il connaissait tout de moi. Et moi je ne connaissais pas en grand chose. Il était pas du genre à parler de lui de sa vie, sa famille. Je connaissais sa famille en bref. Mais lui je ne connaissais rien..
- « je te choisis toi. »
Il me l'avait dis d'un ton froid et sec, je l'avais énervé. J'ai donc retourné le regard vers lui et je lui est dis :
- « Alors moi aussi. »
La phrase était à peine audible. Ma voix était légèrement cassée à cause du froid et mes cheveux étaient au vent et venait taper sur mon visage. Un sourire en coin de sa bouche il dégagea mes cheveux qui me gênaient et s'approcha de moi. Je pouvais sentir son souffle tout près de moi entrain de s'accélérer. Mon cœur allait sortir de ma poitrine tellement qu'il battait fort. Nos souffles se mélangent entre eux. Son front était collé au miens, il n'y avait que quelques centimètres qui séparer mes lèvres des siennes. Doucement, il approcha ses lèvres des miennes et les posa. À cet instant je ressentais un milliard de papillons qui traversaient mon corps entier. En arrière son, le bruit du vent et de nos doudounes qui se frottent entre elles. Nos lèvres se détache et nos regards reste comme encré l'un dans l'autre. Je n'avais aucune envie de les détachés. Il passa alors une des mèches qui retombaient sur mes yeux derrière mon oreille. Il finit alors par s'approcher de mon oreille et mis glisse un :
- « je t'aime. »
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𝐋𝐚 𝐅𝐢𝐧 𝐇𝐞𝐮𝐫𝐞𝐮𝐬𝐞 𝐒𝐞𝐫𝐚 𝐀𝐮𝐱 𝐏𝐢𝐞𝐮𝐱
RomansLes histoires d'amours n'ont jamais de fin heureuses.