Je te déteste ! Vol.1 [BakuDekuShoto]

Dispute ?

*Chapitre Réécrit*

Je marche tranquillement avec Todoroki tout en discutant et riant avec lui. Au moment de se séparer pour que chacun aille en cours de son côté, je heurte quelque chose, ou plutôt quelqu'un. Je lève lentement les yeux et je vois Katchan... soudain je réalise. Hier je l'ai laissé en plan dans une rue, après qu'il m'est embrassé, après l'avoir repoussé. Actuellement je suis avec Todoroki, avec les vêtements de Todoroki. Puis finalement je réalise qu'il pourrait mal l'interpréter, puis peu importe, il peut le comprendre que d'une manière dans tout cas. J'ai passé la nuit chez Shoto, et alors ça fait plusieurs que je dis que je vais l'ignorer, cette fois-ci je compte bien tenir paroles.

Izuku : - Excuse moi.

Je continue mon chemin, fait un sourire à Shoto et me dirige vers ma salle de cours. J'ai le temps de faire quelques mètres avant qu'une main attrape la mienne et me tire dans la direction opposée, avant de réaliser, je retrouve dans un toilette avec Katchan.

Izuku : - Qu'est-ce que tu veux ?
Katsuki : - Hehe, tu te moque de moi !?
Izuku : - Non, quel est le problème ? Puis honnêtement il y a d'autres endroits bien mieux pour discuter.

Je me rapproche de lui pour lui prouver qu'il ne m'impressionne pas.

Katsuki : - Ce t'shirt ? Il est a qui ?
Izuku : - J'ai vraiment besoin de te le dire ?

Cette fois-ci c'est Katsuki qui fait un pas en avant.

Katsuki : - Tu a passé la nuit avec lui ?
Izuku : - Et si c'était le cas ?

Nos visages sont quelque centimètre l'un de l'autre et je peux sentir la colère bouillir en Katchan. Il me regarde avec un regard noir, la chose que je comprends moins ce sont les larmes qui commence à se former au bord de ses yeux.

Katsuki : - Qu'est ce que ça me ferai, c'est ça ?

A ces mots, sa voix se brise.

Katsuki : - Voilà ce que ça me fait !

Je ne penser pas qu'il pouvait être si faible, si accessible, si triste. Ces larmes, ce n'est pas de colère mais de la détresse. Je ressens le besoin de l'aider, de le réconforter. Je pose ma main sur sa joue et mon pouce essuie la goutte d'eau qui perle sur sa pommette.

Izuku : - Katchan...

Il pose sa main sur la mienne, elle est chaude. Il me regarde, les yeux embrumés de larmes. En le voyant comme ça comment je peux lui en vouloir. Je prends conscience que lui fait autant de mal qu'il ne m'en fait.

Katsuki : - Excuse moi ! Je suis désolé !

Je sais que si cette relation commence elle sera toxique, mais je ne peux pas lui résister, on s'attire comme des aimants, et ça depuis tout petit, j'ai beau le rejeter, le détesté, le haïr, il revient toujours et moi je ne peux pas m'empêcher de revenir vers lui. Et il ne peut pas s'empêcher de revenir vers moi et ce depuis tout petit.

Izuku : - ...

Je pose ma main libre sur son autre joue et encercle son visage. J'approche mes lèvres des siennes, l'embrasse tendrement, je voulais lui offrir un baiser simple, court, épuré. Mais au moment d'enlever mes lèvres des siennes il attrape le derrière de ma tête et les plaque de nouveau sur les miennes.

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Je ne peux pas me contenter d'un simple baiser, une fois ses lèvres de nouveau les miennes, je passe ma langue et cherche la sienne. Cette fois-ci il ne résiste pas, rien à voir avec notre premier baiser, il me le rend, nos langues se cherchent, se trouvent et se caressent. Merde, je bande, comme s'il l'avait deviné, la main posée sur ma joue descend jusqu'à mon entre jambe et attrape ma queue a travers mon jean.

Katsuki : - Deku... Qu'est ce que...?

Je n'ai pas le temps de finir ma phrase qu'il a ouvert ma braguette et sorti mon sexe de mon jean et commence à me branler tout en m'embrassant passionnément.

Katsuki : - De...ku...

Je décide de faire de même et sors son attirail de son pantalon. Mais c'est qu'il est sacrément bien monté, pour ne pas dire qu'elle est énorme. Je fait des vas et vients avec sa queue.

Izuku : - Katchan...

Sa voix est enrouée, il est si bandant, putain je suis en train de branler Deku et lui fait de même avec moi. C'est si bon. Merde. Je finis par plaquer ma queue contre la sienne, je les attrape et nous masturbe tous les deux en même temps. Je sens sa bite dur et humide contre la mienne, non fluide de mélange. Je peux sentir sa respiration dans mon cou, elle est saccadée, chaude. C'est si bon, merde !

Katsuki : - Putain ! Deku !
Izuku : Katchan... Haaaa...

Nous jouissons tout les deux en même temps.
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C'était si bon, nous somme tous les deux à bout de souffle. Nous restons là un moment, dans un chiotte, Deku la tête posée sur mon torse.  Après avoir récupéré notre souffle, il se redresse et nous nous nettoyons et sortons de la cabine. Deku se passe un peu d'eau sur le visage. Je le regarde, réalise à peine ce qu'il s'est passé.

Izuku : - Pourquoi tu me regarde ?
Katsuki : - Tout ça... sa veux dire quoi ?
Izuku : - Pour le moment j'en sais rien. J'ai pas envie de le savoir.

Ses mots me blessent.

Katsuki : - Comment ça t'a pas envie de le savoir ?
Izuku : - Écoute, pour le moment je n'ai pas envie de savoir si c'est une erreur, le début de quelque chose ou même un adieu. Je suis en retard en cours. On reparle plus tard, c'est ni l'endroit, ni le moment
Katsuki : - Atte...

Il sort des toilettes, je reste tout seul, j'ai comme une impression de déjà vue, je finis enfin par sortir des toilettes. J'entends une voie me dire « ta pu voir Midoriya? » je me retourne, Eijiro, il veux quoi ?

Katsuki : - On peut dire ça...
Eijiro : - Il s'est passé quelque chose ?
Katsuki : - Ouais
Eijiro : - Tu l'a encore agressé ?
Katsuki : - Non
Eijiro : - Pourquoi tu fais cette tête alors ?

Parce que je viens de me prendre un râteau connard.

Katsuki : - Parce que !
Eijiro : - Bah y'a quoi, explique ?
Katsuki : Ça te concerne pas !
Eijiro : Ok ok mec ! Calme toi !

J'ai envie de tout le raconter mais je pas lui dire que Deku m'a branlé et m'a mis gros vent en l'espace d'une d'une heure, trop la honte. Je mets mes mains dans les poches et commence à marcher, Eijiro me suit.

Katsuki : - Je me suis pris un râteau...
Eijiro : - Comment ça ? Vous vous êtes disputés ?
Katsuki : - Non... C'est même tout le contraire...
Eijiro : - Attend quoi ? Je comprend pas !
Katsuki : - Putain mais tu veux un dessin ! Il m'a branlé dans les chiottes... Fin on s'est branlés dans les chiottes...
Eijiro : - Vous êtes allés jusqu'...
Katsuki : - Non ! On juste fait ça ! Puis merde j'ai pas besoin de te donner les détails.

Il reste comme ça à me regarder d'un air nié.

Katsuki : - Après il est parti en me disant qu'il voulait pas penser à ce qu'il s'était pas passé...
Eijiro : - Aie ! En effet ça sent pas bon...
Katsuki : - Merci ! Franchement ça aide !
Eijiro : - C'est bon je pense qu'il est un peu perturbé parce qu'il vient de se passer il a besoin d'y réfléchir. Il est  juste paumé.
Katsuki : - Ouais.
Eijiro : - Je suis sur que même toi tu ne sais pas trop ou t'en es.
Katsuki : - Ouais.
Eijiro : - Ta pas cours la ?
Katsuki : - Non
Eijiro : - Vient on va prendre un café tu vas me raconter ça plus en détail.
Katsuki : Ok...