Précédemment :
Lui-Bonjour madame El***
-Bonjour monsieur Ben***
Lui- avez-vous une réponse pour ma proposition de s'associer pour monter ce projet ensemble.
Maintenant.
-Oui j'accepte votre proposition mais j'ai 60 % des bénéfices.
Lui- vous êtes sérieuses.
- sérieuse dans mes propos
Lui- j'ai 60 % vous avez 40%.
- Et pourquoi j'aurai moins que vous.
Lui-c'est moi qui est l'idée de monter un projet ensemble.
-50 % 50 % non négociable.
Lui- Okay 50 50 je préfaire ça.
- Bien alors quant consignant nous le ....
Je n'ai même pas eu le temps de terminer ma phrase que Bernice fait irruption dans mon bureau on m'informant que les jumeaux étaient là.
-Depuis quand sont-ils là.
Elle-ils viennent d'arriver madame.
-okay, faites-les rentrer.
J'aimerais qu'on s'endort sur Joane pour lui demander quand allons-nous signer le contrat.
Lui- demain je viendrai avec.
-à quelle heure.
Lui- à 10h je serai dans vos bureaux
-Très bien alors à de.....
Encore une fois je me fais interrompre et cette fois-ci c'est par les jumeaux trop sauvage c'est enfants tchuips.
- vous deux pas de bruit s'il vous plaît je travaille là.Eux- okay mama.
Je peux voir de la surprise sur le visage de Joane.
-A demain monsieur Ben***
Lui- appelez-moi Joane et tutoie-moi.
- si tu insiste Joane.
Ilias(un des jumeaux)- tu as craqué sur ma mama ou quoi ?
Joane- non
Ilias- tu mens vraiment très mal "Joane".
Moi- Ilias la ferme .
Ilias-ok ok
Joane- au revoir Sloanne a Demain.
Il se léve pour me sére la main et dire aussi au-revoir au jumeaux.
Moi-que ce soit la première et dernière fois que vous venez sans me prévenir à mon bureau et que vous cachez une de mes réunions est-ce bien clair.
Eux- oui mama.
Moi-et d'alieur qu'est-ce que vous faites même là.
Ilias-on c'est fait exclure de l'école parce que nous sommes battu avec un élève qui nous a insulté et comment on ne nous aime pas dans cette école on nous exclu, ensuite j'ai appelé Aymen pour venir nous chercher et nous déposer au travail.
Moi-tu ment, je veux la vérité et maintenant.
Liam-on y est pas allé parceque on ne voulait voici un la vérité.