Je te promet ...

Je te fais decouvrir mon monde ...

« Antoine »

Je me réveille aux côtés de ma Erika, hier fut notre première vrais soirée à deux. Je me tourne vers elle et la regarde elle dort si paisiblement. Je peux vous l'avouer depuis qu'elle est entre dans ma vie elle a tout changer. Je décide de descendre préparer le petit déjeuner oui je sais je suis parfait je deconne evidement sauf sur le parfait. Il est 9h et mon portable sonne ma soeur.

« Moi : Maud il est 9h du matin !
Maud : Et tu ne dors pas donc raison de plus ... bon ptite tête ta pas oublié l'anniversaire de maman ?
Moi : Eh merde si !
Maud : Comme je suis une grande soeur parfaite et surtout j'ai deux petits frères tête en l'air j'ai acheté le cadeau à maman qui est un soin complet rien qu'à elle sur une après midi.
Moi : Pad mal bravo et au passage en ce moment j'ai eu autre chose à penser mais merci d'avoir géré.
Maud : Je sais je te taquine.
Moi : Taquine ! Mot utilisé dans les années 30 nous rigolons tout les deux. Sinon ça va ?
Maud : Oui ne t'inquiète pas pour moi. Tu viens à macon alors dans 3 semaines maman serait heureuse !
Moi : Attends je regarde mes feuilles de match. En plus je n'ai pas de match et pas d'entraînement pendant 5 jours. Mais je laisse pas Erika.
Maud : Mais il est con ! Tu viens avec Erika et encore heureux. Je veux voir ma belle soeur moi pour un coup que j'approuve ta copine elle a raison trop protectrice Et Eri est adore à la maison tu le sais bien. Alors ?
Moi : Je lui en parle je sais que je vais devoir argumenter pour qu'elle accepte. Je l'entends arriver Je te laisse la belle au bois dormant arrive.
Maud : Des bisous ptit con !! »

Je rigole et raccroche, Erika entre dans la cuisine et me regarde en rougissant. Ok sa gene est trop mignonne. Je lui tends une tasse de thé je sais qu'elle aime ça, et son bol de céréales car elle est une enfant aimant ses céréales dans du lait chaud. Je m'installe en face avec mon mate et commence à manger mes tranches de pain.

« Moi : Ce silence me fait peur !
Érika : Non mais ça fais si longtemps que finalement j'ai pas passé une nuit d'amour et me réveiller sans l'envie de m'enfuir loin du gars.
Moi : Ah ouf je préfère entendre ça. Je peux t'avouer que je vie la même chose. En tout cas tu es splendide et encore plus ce matin elle la tête et rougis encore Hier tu rougissais pas comme ça ma chère !
Érika : Et hier tu avais pas trop le temps de parler mon cher elle entre dans mon jeu j'adore Pis je mange les céréales là !
Moi : Alors je m'excuse auprès de madame qui mange ses céréales ! Tu veux peut être que je tienne ta cuillère ?
Érika : Fais gaffe je pourrais te prendre au sérieux ! Nous rigolons et finissons de déjeuner. Je vais...
Moi : Va te doucher j'ai pas envie que tu ressemble...
Érika : Ne fini même pas ta phrase toi ! Ça va le faire toi seul avec un lave vaisselle ? Comme seule réponse je lui envoie un beau doigt d'honneur »

Elle part se préparer et je débarrasse la cuisine j'ai entraînement à 13h aujourd'hui et je sais qu Erika repart pour bein sport on verra bien ce qui en est mais je le sent qu'elle stress. Une fois prête elle descend et me rejoins, j'ai eu le temps de me doucher en me levant tout à l'heure donc je regarde un match de basket.

« Erika : Tu arrête jamais le sport toi ?
Moi : Non même la nuit tu as bien vu je la vois rire et rougir Arrête de rougir nous sommes un couple et ce que nous venons de faire est normal enfin je pense non ?
Érika : Tres normal et agréable !
Moi : Oui très agréable. Bon façon je suis un homme mort d'avance !
Érika : Quoi ? Mais tu raconte quoi encore toi !
Moi : Bah ton parrain m'a dit ok tu aime ma filleule mais touche là je te démonte à la prochaine sélection. Donc ce qui d'un côté me rassure car je suis sélectionner mais de l'autre m'inquiète car je suis mort !
Érika : Tu es fou tu le sais et Didier est fou en faite vous êtes deux fous. Car Didier te kiff te surkiff même. Son petit prince du foot donc il joue le maqui avec toi mais il est un vrais agneau.
Moi : Ok tu es jamais venu à ClaireFontaine toi donc tu as jamais vu Didier la terreur !
Érika : Sérieux vous l'appelez comme ça ? Je lui souris
Moi : Pas toujours mais avoue qu'il est dur !
Érika : Non pas avec moi vous avez qu'à obéir la discipline Monsieur Griezmann.
Moi : Monsieur j'aime bien désormais ça sera monsieur ok ? Je part en fou rire et elle m'envoie son doigts d'honneur. »