Je te promet ...

Un exemple ...

« Antoine »

Et voilà nous rentrons à la maison, notre maison. Je prends le cosy et direction la maison là où nous attendes nos proches. J'installe Mía dans la voiture et Eri monte derrière avec elle. Une fois attaché je me retourne.

« Moi : On y va mes femmes ?
Érika : On te suivra n'importe où ! »

Je souris et met en route la voiture vamos à la maison. La route ce fait tranquillement et dans le bonheur complet

Une fois à la maison je prends le cosy et entre Erika me suit avec les fleurs que je lui est apporté hier à la maternité. Je dépose doucement le cosy sur le canapé, tout le monde vient la voir sans parler. Je vous je suis Mía je flippe. Et la, la petite fait un petit bruit et tout le monde fait un « ooooh » collectif ce qui fait rire Erika et moi aussi. Eri la sort et la prends dans ses bras, elle s'avance vers Didier et lui tends pour qu'il la prenne. Ce dernier s'installe dans le fauteuil et la prends délicatement. Il verse une larme punaise je vois le grand Deschamps pleurer dans mon salon.

« Didier : Je suis pas abile avec les bébés ! Eri lui sourit et il se concentre sur Mía Salut toi ! Je suis le parrain de ta maman, ta jolie et formidable maman. Tu pourra m'appeler comme tu veux je serais présent pour toi comme je le suis avec ta maman depuis le début. Il l'a regarde profondément Tu as aussi un super papa qui se bat chaque jour ! Tu as de quoi tenir ma jolie Mía. »

Nous sommes tous en admiration face à cette scène. Je sais qu'aux yeux d'erika Didier est un deuxième papa un pilier dans son enfance pas facile. Claude lui prends le bébé des bras et souris en la berçant.

« Claude : Erika elle est si belle. Tu sais que je te revois petite venir passer quelques week end à la maison nous disant Je veux un bébé. Tu n'avais que 10 ans tu sais et maintenant tu es maman. Je suis fier de toi ma grande.
Maman : Je vais pas m'arrêter de pleurer je vous jure ! J'ai fais le repas ma chérie tu as juste à te reposer nous sommes là pour vous.
Érika : Je peux aussi aider et...
Joséphine : Non non ! Tu t'occupe de ta merveille profite pendant que nous sommes là. Elle reprends Mía dans ses bras Les filles on va finir ? »

Tout le monde part en cuisine les gars dehors. Érika monte avec la petite pour lui donner le sein. Je reste un peu en bas avec ma soeur et l'on Frere.

« Théo : Je n'en reviens pas tu es papa quoi. Celui qui venait s'asseoir sur ma tête pour m'emmerder.
Moi : J'ai grandis mais je finirais toujours par m'asseoir sur ta tête ! Je lui fais un énorme sourire
Maud : Tu es parfait dans ce rôle tu le sais ! Je suis fier de ce gros bébé toininou elle me pince les joues en rigolant Mon gros bébé.
Moi : Bon lâche moi veux tu ! Je vais voir ma fille !
Théo : Elle te manque déjà ?
Moi : Oh oui. Tchouss les mongoles ! »

Je me dépêche de monter et quand j'arrive dans la chambre de Mía je découvre ma superbe brune dans le fauteuil entrain de l'allaiter elle me sourit en me voyant.

« Erika : Tu te souviens quand on a visité la maison pour cette pièce ?
Moi : Non quoi ?
Érika : La chambre collé à celle des parents pour les bébés et bah qui aurait cru hein !
Moi : Tu sais je sais depuis le jour où tu étais le portable en l'air à chercher ton réseau que tu serais là mère de mes enfants donc ...
Érika : Ouai je sais monsieur Griezmann. Elle dort je vais la couché comme elle a fait son rot.
Moi : Laisse je fais ! »