Ne tutoie pas ton supérieur

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*ce chapitre contient des scènes d'excitation*

*****

Tu dévales les marches avec détermination et impatiente. Tu ne te souviens même plus ce qui se trouve de l'autre cotée. Une légère brise de vent vient te chatouiller les jambes. Un filet de lumière vient peu a peu te caresser ton visage pâle. Marche après marche tu sens la liberté s'imprégner de ton corps.

Tu appuies ton pied sur la dernière marche. Tu ne pus t'empêcher de te cacher les yeux avec ton bras. Tu inspire une grande bulle d'air, cette air si différent. Elle ne sent pas le renfermé ni les égouts. C'est si agréable, les douces notes de musique que procurent les oiseaux te monte au oreille. Tu enlève ton bras et petit à petit de la verdure se place dans ton champs de vision. « C'est magnifique » te dis-tu intérieurement. Une ruelle qui est d'habitude obscure et effrayante est maintenant éclairé et chaleureuse. Des enfants cours et joue avec les uns et les autres. Les mamans parlant entre elle. Quelques charrettes passant par ci par là. Le ciel est magnifique, d'un bleu éclatant et sans nuage.

Tu es époustouflée par la beauté de la situation, de la nature. Tu te dis subitement que aucun être vivant ne devrait être condamné à ne pas voir cette merveille.

Une tête brune apparue.

- Eh ohhh ça va?!
- Ah heu..oui.
- Okkk tu nous suis?!

Tu lui répond par un « mh » et tu suivis les gens au cape verte. Vous rentrez dans une calèche et voilà qu'un long voyage commença.

————

Le voyage s'est passé dans le silence le plus total, un silence pesant. Le chef est devant toi mais à ta droite, l'autre folle est assis à côté de toi et semble endormi et enfin devant toi il y a Livai, tu ne pus t'empêcher de lui lancer des petits regard de temps en temps. « Livai » pourquoi se nom te dis quelque chose? C'est bizarre, tu n'as pourtant aucun souvenir te venant en tête. Et puis c'est yeux, que cela peut paraître cliché tu l'es trouve magnifique, hypnotisante. Tu avais eu tellement de mal à tant détacher dans les bas-fonds. Sur son visage on peut vite comprendre qu'il a souffert. Ces trait de visage son fermes et stricts. A première abord il n'a vraiment pas l'air commode. Et pourtant, il t'intrigue énormément. Tu fus coupée de ton imagination par l'arrêt du véhicule.

Vous descendez de la charrette et tu suis le chef. Vous étiez maintenant devant un grand châteaux. A première vue c'est un vieux château. Il est en pierre grise et plusieurs personnes en uniforme font tu ne sais quoi devant celui ci. A droite ce trouve des écuries, les soldats apportent des seaux d'eau, brosse les chevaux et les nettoient.

Tu tourne la tête vers l'homme blond. Il te regardais.

- Voici le QG du bataillon. Comme tu aurais pu le constater. Je vais t'envoyer quelqu'un pour t'emmener à ta chambre.
- Et vous êtes?
- Oh oui excuse moi, je m'appelle Erwin Smith et je suis le major. Tu peux m'appeler Major. Dit-il avoir un sourire.
- Ok- Major.
- À tiens. LIVAI ! Amène la nouvelle soldate à ses appartements.

Livai arriva, non-chaland.

- T'abuse Erwin t'aurais pu demander à un cadet. Répondit ce dernier, vraiment pas content de faire cette tâche.
- Aller fait un effort, les ordres son les ordres.
- Tchh. Répondis-il une nouvelle fois.

Tu le suivis tant dis que vous pénétrer dans la bâtisse.

Après un étage et quelques chambres passer vous arrivez enfin à destination. Il attrape une clé et vous rentrer.

- Voila ta chambre gamine, malheureusement elle est à côté de la mienne se qui veut dire que si j'entends trop de bruit ou si elle est pas ranger ça ce passera mal pour toi.
- Comment ça « ça ce passera mal pour moi » ? Tu ne pus t'empêcher de ne pas répondre. Surpris il écarquillas les yeux, ses si beau yeux. Il s'approcha de toi.

- Pardon je n'es pas très bien entendu ce que t'as dit. Demande-t-il, furieux.
- J'ai simplement poser la question qui était ce que vous me feriez si je fait trop de bruit ou si je ne range pas ma chambre.

Il s'approcha encore plus près de toi, bien trop près d'ailleurs.

- d'autant plus que ma chambre est mon espace privée. Tu répliquais et tu pense que c'est la phrase de trop.

Tu heurtas le mur. Il était a seulement quelque centimètre de toi. Ta respiration fus plus entendue. T'es battements de cœur papillonnais de plus en plus vite, comme ci ton cœur voulais sortir de ta cage thoracique.

- Oserais-tu répondre de cette manières à ton Caporal?

La tension ne faisait que augmenter. Un silence électrique apparus dans la pièce froide. Tu le regarda droit dans les yeux. Eux aussi était électriques, d'une couleur froide et sans pitié. Une chaleur dans ton bas de ventre apparue subitement, incontrôlable. Il était tellement imposant. Lui aussi te regarder, droit dans les yeux. Tes tempes tambourinais vite, tout comme ton cerveau. Tout ce brouillais, il n'y avait plus que toi et lui.

- Et alors, tu..

Tu fus couper par sa mains qui se trouvais désormais sous ta gorge. Tu te crus fondre, pris de court, la chaleur dans le bas de ton ventre s'intensifiait. La situation..t'excité? NON! N'importe quoi. Tu te mis un claque intérieurement de penser qu'une tel situation t'excité. Tu ne le connais même pas.

- Ne tutoie pas ton supérieur. Dit-il ses yeux imposant river sur ton visage.
- Vous...

Tu pus voir dans ses yeux une flammes d'excitation.

-Ca..caporal.

Il resserra sa prise. Tu ne pus t'empêcher de lâcher un gémissement. Tu t'avais pourtant promis de ne pas succomber. Mais ça en était trop. Un sentiment de honte s'empara de toi. Honte qu'une tel situation t'excite. Honte que ton bas de ventre papillonne pour un homme que tu ne connais que depuis 2 heures. Il retira son emprise te regardant, choqué. Il s'écarta de toi, la flamme dans ses yeux avait disparu. Ta chaleur dans ton bas de ventre avait aussi disparue. Tu respira de nouveau. Seule ta respiration essoufflée cassa le silence. Il se retourna brusquement, marquant une pose avant de partir rapidement de tes appartements. Te laissant la, dans l'incompréhension, dans ta tête tout se mélangeait, se bousculait. Mais qui est cet homme, comment avait il fait pour te faire perdre la tête avec seulement sa main sur ton coup. Sa voix tournait en boucle dans ta tête.

Tu essaya de te levais, tu te dirigeas à la recherche d'une salle de bain.

Tu te glissa sous le filet d'eau chaude. Tu lâcha un long soupire devant tant de bonheur. Dans les bas-fond tu avais serte un douche mais tu n'avais pas le privilège d'avoir de l'eau chaude. Tu laisse tes muscles se détendre. Tu te savonna à l'aide de savon que tu avais trouver dans l'étagère de la salle de bain. Tu sortis 10 minutes après. Les cheveux dégoulinant et une serviette blanche autour de ta taille.

Par tu ne sais quelle malchance tu ne trouva aucun vêtement propre et or de question de remettre tes vêtement tout crasseux. La seul solution possible et de sortir comme ça. En espérant que tu tombes sur une soldate.

Je te veux toi [LivaixReader]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant