Daryl

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Trois mois ce sont écoulés. Et j'arrive à regagner sa confiance. Aujourd'hui nous sommes heureux, et ce bonheur j'en ai tant rêvé. On a réussi à jongler entre les enfants, le boulot. On arrive à passer du temps ensemble. Abuela et Juan gardent souvent les triplés. Ils en sont tellement gaga. Et nous on peut profiter à deux.   On voyage, on découvre jusqu'à ce que les enfants sont assez grands pour voyager avec nous. Elle est heureuse, alors moi aussi. Elle a retrouvé le sourire, alors moi aussi. J'ai retrouvé ma paix au plus grand bonheur de mes hommes.
C'est vrai, que ces mois de séparation. Ils ont subit ma haine et ma colère. Ma noirceur car j'ai perdu ma lumière. Je voyais que noir, tout était noir. Alors j'étais devenu une boule de noirceur qui avait besoin de faire mal, de déverser toute cette noiceur autour de moi. Sauf quand je passais la porte de cette maison où brillent mes lumières. Ils arrivaient à effacer toute ma noirceur.
Je n'ai pas refait ma demande en mariage. Je sais qu'elle n'est pas prête et qu'elle me dira non. Alors j'attends le bon moment.

Je suis dans mon bureau au QG entrain de bosser. Mon business c'est agrandit depuis que Macchini n'est plus là.

Vous devez vous demander ce qu'il lui est arrivé ???
 
Non?

Et bien , il a continué à menacer ma femme encore et encore. Je l'ai frappé, frappé, à me défoncer les fallanges. Juan m'a arrêté. Et là, Macchini a menacé ma femme et mes triplés. J'ai vu rouge. Mais je n'ai pas eu le temps de faire quoi que ce soit, que Juan c'était précipité sur lui et lui à péter chaque os en commençant par ces jambes puis ces bras. Puis lui a ouvert la cage thoracique et lui a arracher le coeur. Une vrai boucherie. Et là, je comprends pourquoi tout le monde le craint. Il est d'un calme exemplaires, mais s'il le perd. Sans est fini de vous. Surtout si on touche à sa famille.
Les derniers mots qu'il a prononcé avant de lui arracher le coeur. Sont sortis des enfer et je sais que ces mots étaient pour tous ce qui était dans la vie de sa fille.

Plus jamais personne ne fera du mal à ma fille.plus jamais !j'en fais la promesse. Avait il dit.

Ça m'a donné une sueur froide dans tout le corps. Quand il s'est redressé et qu'il s'est retourné couvert de sang, les yeux noirs de ténèbre, avec le coeur dans sa main et qu'il l'a broyé, comme si se n'est qu'une feuille qu'on froisse. Moi qui me comparer au diable. Je l'ai vu devant mes yeux.

Alors voilà ce qu'il s'est passé. On en n'a plus reparlé et il a interdit à quiconque dans parler. Et personne ne bravera son autorité. Car tous ont peur de lui.

Vous vous demandez si moi aussi j'ai peur de lui ??

Bien-sûr ! C'était mon mentor. C'est lui qui m'a formé. Je sais de quoi il est capable. Que dans ce monde, il n'y a pas de place pour l'humanité. Et qu'il est inhumain, sans émotion, ni remords.
Mêlé à ça que ça touche des êtres chers. 
Il devient une irruption volcanique. Son sang devient lave. Ces yeux deviennent noir . Ses veines bleues foncés ressortent de ses muscles. Il devient le diable.  C'est bien la seule et première fois que je le vois comme ça. Jamais depuis que je le connais, je ne l'ai vu dans cette état.

Alors oui! J'ai peur de lui. Qui n'aurait pas peur. Dit moi ?

Vous? auriez vous peur de lui?

Et ça sera bien le seule personne de qui j'ai peur. Car je sais aussi que je ne pourrai rien lui faire s'il s'en prenait à moi. Car c'est le père de ma femme. Et je ne pourrai lui enlever la dernière personne de sa famille, qu'elle aime, et qu'il aime.

J'entends frapper à la porte.

Moi : Entrer ! Oui jules ?

Jules : Jefe ! Une femme demande à vous voir.

Moi : C'est qui ? Elle me veut Quoi ? Dis-je énerver.

Jules :  Euh.. vous parlez . Elle a dit qu'elle a travaillé pour vous et qu'elle est passé...ch..chez... vous..av..avant de venir. Dit-il en bégayant en me voyant me lever comme un fou de mon fauteuil.

Moi : Elle est où ? Hurlais je.

Jules : Dans le hall jefe. Dit-il en sortant rapidement.

Je sors du bureau en claquant la porte et me précipite vers cette fille comme un fou furieux. Je la chope à la gorge et la colle au mur avant même qu'elle n'est le temps de sans rendre compte.

Moi : De où tu vas chez moi ? Pour qui tu te prend espèce de putain de que tu es. Alors ta une minute pour me brailler Pourquoi avant que je ne t'étrangle. Dis en la relâchant sèchement.

Mes hommes se sont arrêtés en m'entendant hurler et se sont rapprochés.

Marina : Je voulais te voir pour te l'annoncer. Que je suis enceinte. Tu vas être papa !

Coucou les loulous !!
Voilà la suite. J'espère qu'elle vous a plus.
À très vite pour la suite.
Bisous 😘😘

Daryl Ortega notre vie ensemble Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant