Daryl

417 24 0
                                    

Point de vue Daryl

Deux mois sont passées, et nous avons enfin réussi à s'organiser pour nos trois monstres. Ils ne nous laissent aucun répit . On est épuisé, mais c'est un telle bonheur que je ne me passerais jamais. J'ai laissé de côté les deux affaires urgentes pour profiter d'eux . C'est un telle bonheur de voir mes enfants grandirent et voir la femme que j'aime épanoui. Elle a repris le sport principalement la boxe. Je m'entraîne avec elle et elle a un bon crochet du droit.
Aujourd'hui, il faut que je règle c'est deux affaires pour être sur que ma famille soit en sécurité. La maison est un vrai bunker j'ai tout renforcé personne ne peut rentrer no sortir sans les codes, que seul moi et ma belle connaissons.

J'ai retrouvé le gynéco qui a faillit mettre la vie de ma femme et mes enfants en danger.
Je ne l'ai pas loupé. Ça c'est sûr que maintenant il ne mettra plus de femme et d'enfants en danger.

Flashback

J'arrive à l'entrepôt. Je me gare et entre. Je salue mes hommes. Je récupère le dossier et me dirige vers une pièce au fond . J'entre le dossier à la main l'autre main dans ma poche.

Un homme est attaché à une chaise. Il relève la tête vers moi et écarquille les yeux . Je tire la chaise à côté de la porte pour me placer en face de lui. Les pieds de la chaise grince sur le sol . Le son résonne dans la pièce.

Je m'installe les jambes légèrement écartés et pose mes coudes sur mes genoux en tenant le dossier des deux mains.

Moi : Bonjour  docteur! Vous  vous rappelez de moi?

Docteur : Oui! Oui... bien..sur monsieur...ortega . Béguaille-t-il .

Moi : Donc vous savez déjà pourquoi vous êtes là? Dit-il un ton sec.

Docteur : Non! Je ...ne ...vois..pas trop. Dit-il tremblant.

Moi : Pourquoi vous tremblez alors si vous n'avez rien à vous reprochez?

Docteur : Vous.. me faites.. peur. On m'a enlevé et amené ici. Je ne sais même pas pourquoi?

Moi : Voyez-vous docteur. Je déteste qu'on me ment. Et qu'on essaie de me doubler. Or vous êtes entrain d'essayer de faire les deux et j'ai horreur de ça.

Docteur : Je n'ai rien fais . C'est un malentendu monsieur ortega. Dit-il le visage pâle.

Moi : Pourtant  j'ai un dossier qui dit le contraire. Dis-je en ouvrant le dossier.
Que faîte-vous des enfants dont les parents ne sont pas au courant? Attention à ce que vous allez répondre car j'ai déjà la réponse.

Docteur : Je... heu..

Moi : Je vais le dire à votre  place  et vous me confirmez si j'ai raison .
Quand les femmes attendent plusieurs enfants vous leur dîtes qu'elles ont on qu'un ou deux suivant la grossesse. Est ce exacte?

Docteur : O..oui.

Moi : Ensuite pendant l'accouchement vous détourner un enfant et vous me vendez  comme une vulgaire marchandise?

Docteur : ...

Moi : Vous vous êtes attaqué à la mauvaise personne docteur. VOUS AVEZ MIS MA FEMME ET MES ENFANTS EN DANGER  POURQUOI POUR DE L'ARGENT? Hurlais-je.

Docteur : Je suis ....désolé. Je..

Moi : Ta gueule! TU FERMES TA GUEULE. Dis-je en me levant en renversant la chaise sur laquelle j'ai assis. Je m'approche de lui et je  lui chope le visage en serrant ses joues. JE VAIS DÉMANTELER TON PUTAIN DE BUSINESS ET RENDRE LES ENFANTS À LEUR PARENTS BIOLOGIQUES. ET TOI TU VAS CREVER COMME LA MERDE QUE TU ES . MAIS AVANT TU VAS SOUFFRIR POUR CHAQUES ENFANTS ENLEVER À LEUR PARENTS MONSIEUR WEILL.

Le docteur écarquille les yeux ayant changer de nom depuis des années. Même sa propre femme ne connais pas sont vrai nom de famille.

J'inspire un bon coup pour faire redescendre mes nerfs et m'éviter de le tuer tout de suite.

Docteur : Co..comment vous ...savez?

Moi : Je sais beaucoup de chose monsieur Weill New-York m'appartient. La police travaille pour moi et beaucoup d'autres personnes. C'était un jeux d'enfants pour moi  de trouver votre  véritable identité.

Docteur : M..Mais..qui..êtes vous? Dit-il en me dévisageant de peur.

Moi : Je suis votre pire  cauchemar Monsieur Weill. Je reviendrai vous voir  quand votre réseau sera totalement démantelé pour qu'on puisse enfin s'amuser. On va vous emmener dans un endroit qui vous plaira j!en suis sur.En attendant prenez vos aises. Vous allez rester avec nous un moment. Dis-je avec un sourire diabolique.

Toutes les tortures possibles et inimaginable me passe en tête. Vivement que je puisse commencer.

Je sors de la salle et laissant la porte ouverte.

Moi : Tráemelo de vuelta a la sede. Lo encierras en el sótano y lo atas en una celda.
(Ramenez-le moi au QG . Vous l'enfermez au sous sol bien attacher dans une cellule.)

je sors et monte dans ma voiture pour reprendre la route .
Arrivée au QG, j'appelle Pedro.

Pedro : Alors il a avoué?

Moi : Pourquoi avouer quand toutes les preuves sont contre toi. Dis-je les dents serrées.

Pedro : Il est où? Tu ne l'as pas buté j'espère, j'aimerais me défouler un peu .

Moi : En parlant du loup.

La porte s'ouvre sur de gars qui tiennent fermant cette entouré. Ils ont eu raison de la bâillonner. Rien que d'entendre ça voix,font remonter les ténèbres. Mais je dois me contrôler pour lui rendre tout le mal qu'il a fait. Et dire qu'il voulait faire ça a ma princesse. Mes poings se serrent à blanchir mes phalanges. Je grince des dents. Ma vue se brouille de noir.

Moi : MAGNEZ-VOUS À LA DESCENDRE AVANT QUE JE NE FAIS UN MALHEUR, QUI VOUS INCLUS DEDANS. Hurlais-je.

Ils se dépêchent de le descendre . Je pose mes mains tremblante à plat sur le plan de travail de la cuisine. Je souffle essayant de  redescendre . J'entend le bruit de verre. J'ouvre les yeux .Pedro me tend un verre. Je le prends et le boit cul sec. Je lui retends pour qu'il le me ressert.

Pedro : Ne t'inquiète pas D .Tu pourras bientôt lâcher les enfer sur lui . On est dessus. On a déjà trouvé 4 enfants. On recherche leurs familles. D'ici la fin de la semaine, tout devrait être régler.

Moi : Vivement! Vous me le gardez au chaud. Abime-le pas trop. J'aimerais qu'il ressent tout ce que je compte lui faire.

Pedro : Ho, je crois que tu vas encore être créative. J'ai hâte de voir ça.

Moi : Tu n'imagine même pas hermono . Tu n'imagine même pas.

Pedro : Pour Macchini tu comptes faire quoi?

Moi : J'ai rendez-vous avec lui a son club demain. Je te veux toi et Miguel avec moi. Je ne lui fais pas confiance.

Pedro : Oui, mais s'il attaque la maison pendant qu'on est pas là.

Moi : Ne t'inquiète pas j'ai déjà tout prévu. Allanna et les enfants ne risquent rien . Ma grand-mère et son père seront avec eux . Pour ce qui est des commande et des livraisons tout est ok?

Pedro : Oui! Les gars ont assuré.

Moi : Bon je te laisse je rentre . J'irais voir les casinos dans la semaine. A demain hermano.

Perdo : À demain, hermano fais un bisous à la familiale de ma part .

Je sors traverse la rue et rentre retrouver mon bonheur...

Daryl Ortega notre vie ensemble Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant