Je restais quelques jours avec eux, en apprenant leurs coutume, quelques peu différentes des nôtres. La seule chose pareil était la porte et le puit. Je me demandais souvent ce qu'était devenu Gaïa. Je n'avait aucun doute sur le fait qu'elle allait bien, mais ou était elle ?
Je n'en sais rien..
Ça faisait un moment que je ne t'avais Pas entendu. Que faisais-tu ?
Moi ? Rien, ne t'inquiète pas.
Ouais...
En ce moment, je descendais vers le puit, avec Héra. Je n'en avais pas vraiment envie, me rappelant mon village, mais je devais aider... Donc j'y allais. En arrivant au puits , je vis que quelqu'un y étais déjà. Il me rappelait quelqu'un... Des cheveux d'un noir charbon, et une silhouette fine mais hautaine. Je courus vers la personne
- Gaïa ! Comment as...
Il se retourna. Ce n'était pas Gaïa, mais il était d'une ressemblance presque parfaite.
- Bon jours, qui es tu ?
La voix, presque la même. J'avais devant un sosie exact de Gaïa, sauf que c'était un garçon.
- Janus et toi ?
- Ouranos, mais appelle moi Ouris
- Ok bonjours Ouris !
- Bonjour ! Pourquoi m'as tu appelé Gaïa ? Je fais si féminin que ça ?
- Non non rassure toi ! Mais j'ai perdu une amie et tu lui ressemble énormément.
- A d'accord ! Bon jours Héra ! Comment vas tu ?
- Ça va. C'était à moi d'y aller ce matin au puits. Pourquoi l'as tu fait ?
- Pour te rendre service !
Je voyais entre eux un lien unique. Pas de l'amour au sens pur, mais de l'amitié. Comme un frère et une soeur.... Mais il était temps de rentrer, et heureusement, pour nous, rien n'était arrivé. J'estimai que c'était du à la chance. En arrivant au village, nous trouvâmes les habitants en larmes. Tout le monde criait, et lorsqu'on leurs demanda ce qui se passait, seuls quelques cris et pleurs me repondèrent. Je commençais a avoir peur, mais en me rapprochant, je dis des soldats, des hommes et du sang. Beaucoup de sang. Je compris immédiatement ce qui se passait. Les Élites... Il tuaient. Ils tuaient tout les habitants. Je sentais la révolution se mettre en place, car déjà, un village explosé, puis maitenant des fusils. La chasse avait commencée. Leur chasse avait commencée.
