Janus

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Je lâchais le seau que je tenais en main, et courus vers les victimes. Mais en me penchant, je vis que toutes les personnes touchées étaient mortes. Ils savaient vraiment bien viser ... Mais cela ne suffirait pas. Je redoubla de force et attrapa une arme, qu'un soldat blessé avait lâché. Je ne savais pas m'en servir, oh que non, mais cela n'avait pas d'importance. J'avais compris que les Élites les utilisaient en prenant l'arme, et en appuyant sur un bouton, un coup partait, touchant les personnes qui se trouvaient en face. Je soufflais un coup et appuyant sur le bouton, j'essayais de viser les Monstres. J'en touchais un à l'épaule, un autre à la jambe. J'évitais leurs têtes, car personnes de méritait de mourir, même mauvais. De plus, j'avais déjà assez de problème, ce n'était pas la peine de rajouter une mort sur la conscience.

Hébé compris immédiatement ce à quoi je voulais en venir, et parti sur un Élite qui lui tournais le dos. Elle lui mit son pied dans ce dernier, et l'Élite tomba, inconscient. Elle récupéra son arme, et m'adressant un regard où se lisait détermination, anxiété, et énergie. Son arme était différente de la mienne, mais elle trouva vite le fonctionnenment et se mis à tirer.

Je visa et appuya sur le bouton, mais rien ne partit. Le réservoir était vide. Je lâchais l'arme et, comptant sur ma force physique, me mis a courir vers un Élite. Une droite lui arriva au visage. Qui était protéger par un casque. Et Merde ! Je venais de me casser la main et le poignet. Hurlant intérieurement, je m'écarta vivement de l'élite, qui était quand même légèrement sonner. Je lui envoya un coup de pied bien placé qui lui fit lâcher son arme. Il se plia en deux, et profitant de l'occasion, je lui envoya me coup final, qui le fit tomber à terre. Je courus chercher l'arme, mais au moment ou j'allais la prendre, une fille me bouscula et s'en saisit. Rousse, avec de yeux verts... Je ne l'avais jamais vu. Je répétais l'opération sur plusieurs hommes, la Rousse à mes côtés récupérait les armes et les donnait aux personnes alentours. Le combat faisait rage, la place du village était transformé en incendie géant. Tout le village se battait avec l'énergie du désespoir, et les Élites voyaient la victoire à leurs portes souriaient derrière leurs casque. Ils faut dire qu'ils étaient vraiment bien protégés, une combinaison anti-flamme à ras le corp montraient leurs entrainement physique hautement supérieur à la moyenne. Des muscles saillant se voyaient de partout à travers leurs combinaisons. Un arsenal d'arme pendaient à leurs sceinture et des pistolets étaient pendu dans leurs dos. Un casque leurs protégeait la tête, donc autant vous dire que nous n'avions presque aucune chance. Que l'espoir restait, espoir vint, on le savait tous. Mais un seul élément était à notre portée. La fatigue. Étant habituer a travailler toute la journée, nous avions développé des capacités hors normes pour nous conserver. Une seule nuit pouvait nous faire tenir des jours entiers. Et la surprise. En les prenant par derrière, eux qui étaient habitués seulement à des règles... Ca marchait ! Nous reprenions la main ! Mais pendant que je me faisait toutes ces reflexions, un homme me mis a terre, avec une prise de je-ne-sais-trop-quoi qui me mis sur le dos. La douleur lacérait mon bras déjà cassé, et s'ajoutait en plus les multiples blessure que je possèdais. Je n'en que le temps d'ouvrir les yeux et d'apercevoir le visage d l'homme , non couvert, qui me regardait un air de dégoût, qu'il m'envoya on pied dans l'estomac, et me coupa le souffle. Cet homme... C'était mon père.

Frérot, reste avec m....

EyesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant