18. Conséquences

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Précédemment :

Mon choix était déjà fait avant même que le commandant n'arrive.

Je ricane et le fit me lâcher le bras

Moi : Le choix est évident

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Le commandant me regarda surpris de mon manque de respect envers lui

Je mis mon pied droit, cassé, en arrière et mon gauche en avant où j'y m'est tous mon poids. Les tuiles du toit sur le quel je suis commence à se briser et la maison s'effondre au moment où je m'élance de celle-ci.

Je vins m'accrocher au poignet du titan auquel je compte briser tous son être. En moins de 0,005 secondes je découpe ces mains et libéra Alice de son emprise.

J'aurais pu m'arrêtais là, nous aurions eu une chance de rester dans les brigades spéciales... Mais la rage en moi était bien trop présente, je ne ressentais pas la douleur ni la peur, juste de la haine.

Je dépose Alice délicatement sur un toit de maison et me retourne vers le titan, à toi et moi maintenant.

Alice : Noël partons ! Tu es beaucoup trop blessé pour te battre !

Je lui lance un dernier regard et lui souris, la voie d'Alice m'a calmé, mais ce n'est pas pour autant que je ne vais pas lui faire regretter d'être née, s'il est né ? Par ce que c'est vrai qu'on ignore comment ils sont apparus et franchement je vois mal un titan accoucher...

Quoi que ?...

Je rigole à mes propres pensé avant de m'élancé une énièmes fois, je commence par lui enlever la vue en lui coupant au niveau des yeux, ensuite je m'occupe de ces bras que je découpe DE.LI.CA.TE.MENT en miles morceaux. Puis je lui arrache les tendons des jambes, l'immobilisant, il peut déjà être considérer comme mort.

Je lui coupe en fin la nuque le tuant pour de bon

J'étais là, aux corps de se titan en train de se décomposer... Je vis les renforts arrivés, le bataillon d'exploration ?

Ils prient Alice en charge, c'est à ce moment-là que je sentis mon corps me lâché, toute la douleur que je ne ressentais pas grâce à l'adrénaline vient de refaire surface

???? : Noël ?!

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Aïe

Je me réveille dans une chambre qui m'est inconnu

Moi : ALICE, ADRIEN !

Je m'apprête à me lever du lit quand une main se pose sur l'une de mes épaules et me fait me rallonger

Livai : Tous doux le loup, tu crois aller où comme ça ?

Moi : Caponain ? Ah-euh Caporal, hum hum. Où sommes-nous ?

Livai : Tch on est dans une chambre, ça ne se voit pas ?

Je le regarde l'air de dire « mais il se fou de moi celui-là, il à cru j'étais conne ou quoi, y'a un lit, des murs, une porte et une armoire, alors merci mais je sais reconnaitre une chambre le sang », oui ce regard veut dire beaucoup de chose

Liberté restreinte [Livaï x OC]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant