"parfois , être en contact avec la bonne personne, est une cure"
Stan: se n'est pas de ta faute . Me dit-il tout simplement.
Shi: si je n'aurai pas dû réagir ainsi et pourtant c'est grâce à toi que je suis toujours ici ...(en sanglotant) Et....(une bouffée de chaleur Muni de pleure m'empêchent de bien finir la phrase)...je suis tellement désolée (en pleure) j'ai dû vous inquiéter pour rien ..... désolé.... (Pleure)
Main sur la bouche, toujours en pleure, je ne ou m'empêcher de verser ces perles salées car j'étais tellement épuisée, malgré ce sommeil, je ne pouvais plus, sa m'était difficile. Et je pleurais dans justification précise, je n'essaies plus de cacher un truc non!! Je pleurais pour me libérer. Toujours dans mon déni de pleure, je ne su à quel moment le docteur Stan c'était rapproché de moi au pont de me prendre entièrement dans ses bras, me réconfortant du mieux qu'il pouvait.
On ne se disait rien, je me contentait juste de pleurer et lui de me réconforter. Quelques heures plutard cette source inépuisable de larmes que j'étais, se calma et plus aucune goutte ne voulu sortir de nouveau. Se rendant compte de mon état, le docteur Stan se releva, me regarda droit dans les yeux et essuya le peu de larme qui me restait encore aux yeux en me chuchotant que tout irait maintenant bien à plusieurs reprises. Je me laissais bercer par ces mots jusqu'à me rendormir à nouveau.
Je me réveille plutard, il fait tout noir , un froid donc je ne saurais l'origine agripe les parties visibles de mon corps et je ressens un ultime manque. Je me redresse umpeu mieux pour essayer d'observer de peu la chambre dans laquelle je suis malgré l'obscurité ; elle est grande plus que la mienne à la maison, il y'a juste le nécessaire, j'observe de nouveau et me rend compte que cet endroit n'est malheureusement pas semblable à une chambre d'hôpital.
Pour plus de visibilité, je tâtonne le chevet du lit en quête d'un quelconque interrupteur jusqu'à toucher un bouton d'activation.
À l'instant où ceci est fait, la chambre dans laque je me trouve de faire éclairer par une lumière blanche, me permettant d'apprécier largencement des couleurs qui y sont de même que le confirmer totalement que je n'étais pas dans une chambre d'hôpital.
D'un pas nonchalant, je descends du lit pour m'approcher de la porte de sortir, je l'ouvre et passe la tête à l'extérieur de celle ci afin de regarder ce qui sy trouve, mais ne vois juste qu'un long couloir à l'extrémité sombre . Le sort de cette chambre où j'étais couchée pour mieux voir l'endroit dans lequel je me trouve et me cogne à un poteau d'escalier.
"Aie !!" Cris je de douleur
C'est normal que je me soir faire mal car on ne voyait limite rien dans cet obscurité . Comme s'il l'avait suivi mon cru de douleur, quelqu'un ouvra une porte apparemment située au fond du couloir sombre et s'approcha de moi. dans cet obsurité troublent, je ne tremblais pas, je fus juste triste et prête. C'était toujours dans ce noir qu'il abusait de moi et le fesais mal, me criait à quel point j'étais une mauvaise fille.
Au début l'obscurité m'effaiyait, j'en en ai horriblement peur, cependant en deux ans , la lumière tout le temps allumée à des heures tardives, espérant qu'on me viennent en aide, me réconforter, s'en est allé. J'ai tout pris sur moi et me suis enfermée en moi sans soucis. Les pas de cette personne sur je déteste si plus profond de mon âme ne fesais que se rapprocher....
Consciente de cette réalité,Mes larmes refus surface et je su d'Aure et déjà qu'il allait une fois de plus me violer .
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PERSONAL SUFFERING
Randomaprès l'obtention de son baccalauréat, Shelley Stanford se retrouve face à la dure réalité de la vie. elle est naïve et offre sa confiance aux personnes qui ne la méritent pas. sa douleur prendra forme suite à un incident qui la marquera au fer roug...