PERSONAL SUFFERING

chapter 6

" je cours je cours...encore et encore sans jamais m'arrêter . qu'est ce qui se passe? Pourquoi est ce que je fuis?qui est ce que je fuis?je suis en sueur et ne sais pas depuis combien de temps je me suis mise en mouvement, seule la douleur du à mes battements de cœur me prouvent que sa fait longtemps. Depuis quand est ce que je cours? Je ne le sais pas! Ce qui est sûre et certain c'est que je ne dois au grand jamais m'arrêter. Si non il me rattrapera"
Je me réveille en sursaut!!
Mon cœur désire sortir de sa poitrine.
Encore ce rêve! Je n'ai jamais pu déterminer ce que ce dernier connotait, à chaque fois je suis en sueur. D'abord que ma vie ne me semble pas avancer il faudrait que mes seuls moments de paix(le sommeil) se transforment en cauchemar. Pfff!! C'est naz hein! Trop naz!!
En plus cette merde de nouvelle journée ne m'envoit même pas un signe pour me mettre en garde de tous ses méfaits.
Les rayons que filtrent les vitres de ma chambre ne me donnent pas envie, j'aimerais juste me coucher ,tout oublier et dormir sans cauchemar cette fois si mais chui obligée de me rendre au campus pour cette merde de CC qui je pense me donnera une fois de plus l'impression que chui bête et que mon QI ne fait que s'affaisser. Je ne sais pas ce qui m'arrive mais j'arrive plus à contrôler le flux de pensées dont je dispose , ma concentration est réduite à néant et je sais pas comment y remédier. J'évite de penser à ma vie ici avec tous ces gens qui ne veulent pas me sentir mais c'est plus fort que moi. Ils ont toujours tout fait pour que je leur pense. C'est dramatique !!
Hier avec ANDY et tout j'ai envoyé un sms à mon psy et je pense qu'il n'était pas content car c'est la première fois que je rate une sceance et d'aprês lui une sceance de rater est une accumulation de maux qui pourront rapidement me mener au suicide. Et quand j'y repense il a raison car cette pensée ne m'a jamais quitté. ce serait plus facile de tout arrêter mais cela révèle de la lâcheté. Ce que je ne suis nullement pas prête à faire. j'ai toujours voulu mourir dans mon sommeil, en paix dans un silence de mort , sans soucis ni pensées affectant mon MOI. C'est très dure d'être moi .
Bref je dois y aller.
Une fois prête, je vérifie si le champs est libre et m'engouffre à la cuisine histoire de trouver un petit truc à manger avant mon départ.
-??: tiens donc tu te réveille bien tard affirma une voix dont je m'en serais royalement passée. Le voir, le sentir ou de savoir qu'il est de retour m'écoeure au plus haut point. Si sa ne tenais qu'a moi il serait enfermer depuis un bon temps ce pervers.
-serge: as perdu ta langue ma belle?
Dit-il en m'empognant le bras et en me collant au frigidaire d'en face. J'essayais tand bien mal de me défaire mais en vain.
Du haut de ses un mètre quatre vingt-onze, serge était l'homme le plus détestable du monde, l'amant de ma soit disante mère mais aussi un violeur. Cela faisait maintenant plus de deux ans qu'il exerçait son emprise sur moi, le fait que ma famille ne me soutenait pas l'a en quelque sorte encouragé à continuer.je me rappellerais toujours de ces coups de fouets sous prétexte que je n'étais qu'une rebelle, aguicheuse ; Au départ je ne faisais rien paraitre et laissais tout couler, la douleur ne me faisais plus rien, les coups étaient moins douloureux que cette horrible suite qu'il avait en tête mais, le fait qu'un soir

Flachback d'il y'a deux ans

Comme à mon habitude je me couchais tôt car mes examens de fin d'années étaient proches, je me couchais très tôt pour de un me réveiller tôt mais aussi pour ne pas être en retard. Bien que j'étais seule , je ne m'en souciait pas car j'avais besoin dune tranquillité d'esprit pour pouvoir tout comprendre et assimiler.
Une fois couchée, la porte de ma chambre grinça, laissant apparaitre serge. Il était juste en caleçon et ne se souciait pas que je le voie ainsi.
-moi à moitié endormis: serge qu'est ce que tu fais là?
-serge: rien ma belle rendors toi .chui juste venu voir si tout allait bien. Dit-il en se rapprochant de mon lit

-moi: je vais bien merci bonne nuit. Dis-je sans prêter attention au fait qu'il ait pu atteindre si rapidement mon lit

-serge: ok mais avant j'aurais besoin de toi , allez sois gentil d'accord? pour ton beau père chéri dit-il en me souriant perversement

Avant que je ne me rende compte de l'inévitable , il plaqua l'une de ses mains sur ma bouche avec force, une autre caressait ma cuisse pour remonter vers mon entre jambe. Je me débatais tand bien que mal mais la pression qu'exerçait sa paume de main sur ma bouche permettait à elle seule à me maintenir coucher. J'essayais de le mordre, de me défaire de son emprise mais cause perdue car il m'arsena une gifle avec sa main qui jadis était au niveau de mon entrejambe. Je manqua de m'evanouie

-serge: tu ouvres la bouche , cris ou quoique se soit je te tue salope. Se Fut les derniers mots que j'entendis sortis de sa bouche avant qu'il ne passe à l'acte.

C'était un coup dur pour moi l'entendre m'avertir et me rendre compte que personne ne m'aime, ne se soucis de moi au point de venir à mon secours. Ma virginité, je l'avais toujours garder pour plutard, pour l'homme qui saura me supporter, m'aimer ;
Et ma mère que fesait- elle dans sa chambre? Ne c'était t'elle pas rendu compte de son absence ? Ne ressentait t'elle pas dans son sommeil que l'une de ses filles était entrain de se faire violer? Qui plus même par son amant. Elle n'entendait pas mes cris de détresses, je souffrais seule et ma seule dignité se faisait arrachée par un criminel.
Perdue et lasse de me battre, je me laissais aller et succombais au châtiment qui m'étais dédié.

-serge: personne ne doit savoir sinon se sera ta parole contre la mienne. Me dit-il avant de s'en aller
Il avait raison; qui croirait une pauvre petite d'à peine 18ans? Dieu m'avais laisser tomber de le pire des manières . depuis ce jour, ma vie n'a jamais plus été la même vu qu'il continuait à me violer sous les yeux des membres de ma famille.

Fin du flachback