Être heureux

un regret

Pdv d'izuku :

Depuis ma plus tendre enfance j'ai toujours reçu de l'amour que ce soit celui d'une mère ou d'un ami. Mais on grandissant je me suis rendue compte que l'amour qu'une personne pouvait porté à une autre n'est pas éternel mais changeant, hier nous avons été amis comme des frères.

je t'ai tellement aimé que cette amour c'est transformer en amour sincère mais j'ignorais que l'amour que tu me portais se transformait en une haine sans borne  et en une violence sans limite. Au début j'y croyais pas puis on voyant cette haine si puissante émané de tes yeux a chaque fois que tu posais le regard sur moi j'ai vite compris que notre magnifique histoire avait virée au cauchemar.

Tu ne me laissait aucune minute de repos que se soit les blessures "accidentelle" que j'avais pendant nos jeu ou le harcèlement a l'école, tu ne m'a pas vraiment laisser le temps de grandir et de m'aimer. Car oui je ne m'aimait plus je me détestais et je me demandais si un jour je m'étais aimé, je ne cherchais plus a m'aimer car tu as avais détruit tout ce qu'il y avait de beau en moi. Ma seul raison de sourire a l'époque c'était ma mère et sa je ne lui jamais dit pensent voir son fils s'épanouir de l'extérieur et en vérité se détruire de l'intérieur.

*Si tu savais maman te connaissant tu aurais sûrement pleurer......hm..mais contrairement à toi moi je pleure tout les jours car mon corps et mon cœur me font mal *

Cette amitié toxique n'as fait que s'aggraver avec le temps en entrant au collège ta haine et ton escouade c'etait agrandit et le faite de me savoir sans halter était comme avoir sois même la tête d'un agneau dans la gueule du loup. Donc vous l'aurez compris ils n'ont été d'aucune douceur avec l'enfant que j'étais et au fur et mesure qu'il me maltraité mon appétit diminuait et mon envie de partir augmentait.

Et un jour sans mon rendre compte je l'avais penser à voix haute devant ma mère, sans me rendre compte de ce que je disais ces mots tant te rêver venais d'eux même dépassant la barrière de mes lèvres et en me rendant enfin compte de se que j'avais dit comme seul réponse fut un regard d'incompréhension venant de mère puis d'une proposition de passé chaque vacances d'été au États-Unis où vivait sa cousine. Je me rendais compte avec quelques regrets qu'elle n'avait pas compris ou était ce moi qui l'avais mal formulé

*Je veux juste m'en allé et laisser les autres se reposer de mon départ*

Ces vrais que dit comme ça je veux juste libéré les autres de ma présence un bref instant mais se n'est pas ce que je voulais moi ce que je voulais c'était mourir. Elle voulais me faire vivre un bonheur de courte durée pour que la haine de Kacchan me sois encore plus douloureuse. J'ai peur de partir et de trouver pire a mon retour mais elle est aussi têtu que moi et a finalement réussi à m'enfourner dans un vol pour les Etats Unis direction Californie chez sa cousine. Arrivé en Californie chez ma tante je ne profitait de presque rien je ne voulais pas voir  le bonheur des autres me rappellant a qu'elle point je suis malheureux ça non ça va je me sens déjà assez mal comme ça. Je ne sortais que tôt le matin pour décompresser et prendre l'aire parfois c'était la nuit que je sortais sa a duré comme ça pendant des jours mais ça a changé lors d'une de mes promenade matinal lorsqu'un garçon assez beau était venu dans ma direction pour me parler sa m'avait surpris puis je me suis dit que j'espérais encore pour rien alors je continuais ma route mais se même garçon me suivait toujours puis a force de marcher et fatiguer je m'étais arrêté sur la plage assis dans le sable il s'était mit près de moi et m'avait dit

- j'ai l'impression que tu serais plus joli avec un sourire

- facile à dire quand on a des raisons de sourire moi je n'en ai aucune

- bah trouves on des raison

- comme quoi ?

- tes amis ?