Un tueur à gage et une libraire.
L'histoire de deux jeunes gens aux univers complètement opposés.
Mais que se passera-t-il lorsqu'ils se rencontreront et iront au de-là de ce qu'ils auraient put imaginer ?
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Je me demande...
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POINT DE VUE DE Y/N :
Je regardais mon cellulaire qui indiquait qu'il fallait que je rentre, je n'aurais jamais cru qu'il serait aussi tard. Je me levais avec précipitation. Je dirais à Mingyu qu'une amie de longue date était venue me rendre visite à la librairie et que donc j'avais dû fermé plus tard que d'habitude. Pensais-je. Je trouve que c'est plutôt une bonne excuse. En plus il n'y a pas de caméras dans la boutique personne ne pourra donc vérifier si ce que je dis est vrai ou faux.
_On se voit demain, j'arriverais un peu plus tard que l'heure d'ouverture, j'irais chercher tes "vêtements" avant. Donc si je suis en retard ce n'est pas parce que je suis morte ou quoique ce soit d'autre qui puisse être chelou que tu pourrais imaginer c'est à cause des tes habits que je ne serais pas en avance. Compris ?
J'avais l'impression de parler à un maternelle.
_Comprit my lady~~
Je levais les yeux au ciel avant de rire un peu.
_La glace doit être fondu, tu devrais l'enlever. Fis-je en me baissant pour défaire la serviette.
Je regardais sa cheville qui était largement moins enflée que tout à l'heure.
_Oh elle n'est pas toute à fait fondue ! Remarquais-je en ouvrant le pot.
_Je la garderais pour mon dessert pour ne pas gaspiller ! Ce serait dommage !
J'esquissais un rire.
_Bon et bien à demain je suppose. Répliquais-je avant de me lever pour partir.
_A demain Y/N.
Il me gratifia d'un sourire charmant avant que je ne sorte.
ELLIPSE D'UNE DIZAINE DE MINUTES~~
J'étais arrivée chez moi, Mingyu était assit sur le sofa, le coude posé sur l'accoudoir d'un fauteuil, il lisait toujours le livre qu'il avait depuis longtemps. Je me débarrassais de mes affaires avant de venir sur la pointe des pieds discrètement vers lui.
_Tu es enfin rentrée... Rétorque-t-il avant de se lever vers moi et de me serrer contre lui m'offrant donc une étreinte chaleureuse.
_Oui, navrée du retard j'avais vu une ancienne connaissance à moi et ça a duré plus longtemps que prévu.
_Ce n'est pas grave, j'ai préparé le dîner en attendant.
_Tu es vraiment le petit ami parfait. Fis-je en passant mes bras autour de son cou.
Ses lèvres fondirent sur les miennes. Nous entamions un baiser enflammé, nos lippes se mouvaient entre elles. Il passa sa main dans mes cheveux pour rapprocher ma tête contre la sienne avant de se coller à moi. Ses mains enlaçaient ma taille.
