Isira était dans l'âge de comprendre entre le bien et le mal. Elle comprenait que cet institut n'était pas dans la catégorie de bien. Elle avait 12 ans ou 15 ans quand elle comprit qu'elle n'était qu'un cobaye. Rien de plus rien de mal.
Isira pouvait prendre l'apparence de n'importe quel animal qu'elle voyait. Son animale fétiche, le félin du nom de « chat ». Elle pouvait se cacher et disparaître sans que personne ne remarque.
Elle rencontrait d'autres enfants de son âge et ils étaient tous comme elle. Mal nourri et une âme sans vie. Isira mangé peu et parfois elle manger les souris qu'elle voyait avec peine et de larme. Comment des adultes peuvent laisser des enfants sans nourriture et de se comporter comme des tortionnaires sans cœur ?
Isira avait compris depuis le jour ou elle se faisait piquer tout les soirs et couper de plus en plus profondément. Elle devait quitter cet endroit, mais comment ?
La jeune adolescente compris qu'elle doit subir les douleurs et les visages de ces hommes et femmes. Une en particulière, Amanda. Elle était aimée par tous les enfants et la plus sournoise qu'elle n'a jamais vue. Elle offrait des sourires doux et des regards tendre pour les enfants sans qu'ils se doutent de ces vilaines pensées. Isira avait compris depuis le jour où elle est venue la voir dans sa « chambre ».
- Ma chérie, comment va tu ? As-tu bien dormi ? Demande tendrement Amanda en s'asseyant près d'elle sur un banc.
Elles se trouvaient dans une salle immense pour recueillir des enfants qui doivent bouger et être surveillé dans l'ensemble. Isira penche la tête tout en fermant le livre qu'elle lisait sans conviction.
L'adolescence pose sa main derrière l'oreille de la femme qui tressaillit comme d'habitude à son toucher, Isira ne fait plus attention sachant que cette femme ne l'aime pas et c'était réciproque.
- Je vais très bien, tantine. Je dors très bien mieux que vous...
- C'est vrai que je dors pas assez depuis un moment... Ris Amanda en mettant ces boutons de sa blouse avec un sourire forcé.
- Avec votre âge, il faut penser à votre santé, tantine. Sinon, vos rides seront plus grosse que d'habitude et ne pouvez pas séduire le nouvel infirmier. Répondît Isira d'un ton innocent et retirant sa main.
La jeune adolescente devait retenir son sourire avec le visage sombre d'Amanda. Elle était rouge de colère et se levait avant de partir en furie, elle devait sourire faussement devant les autres enfants. Isira ouvre son livre lâchant un sourire discret. Elle était contentent.
Cependant, elle ne pensait pas qu'Amanda ferait une demande auprès du docteur supérieur, un examen supplémentaire sur elle. Cette femme est diabolique et idiote.
Le docteur supérieur était Marcus. Un homme qu'Isira ne connaît pas et quelle avait peur. Il assistait toujours à ces examens ne ratant aucun. Elle subissait ces sourires et ces caresses soi-disant pour la calmer. Murmurant :
- Mon enfant tout va bien, tu guéris mieux que les autres.
Que veut dire ce docteur ? Les autres enfants subissent la même chose qu'elle ? La souffrance ? Comment ça « mieux que les autres » ? Isira compris que la folie qu'elle voyait dans les yeux de cet homme, n'a pas de place pour la compassion pour des enfants comme eux ?
Dans sa chambre, Isira pleurniche silencieusement ne voulant pas faire plaisir à cette femme qu'elle considérait comme une mère. La jeune souffrait en laissant son corps guérir lentement. Cette fois, il l'a couper l'avant-bras et le ventre, mais aussi, le dos avec deux grandes entailles.
Elle avait de la chance ou pas, elle n'avait pas de cicatrices. Elle était clouée au lit pendant trois jours un nouveau record selon les docteurs et Amanda qui venait la voir avec un air de vainqueur.
- Tu devais apprendre que les adultes font loi envers des gamines qui ne peuvent pas communiquer normalement. Je savais que tu ne m'aimes pas et je ne t'aime pas aussi. Tes yeux me donnent la chair de poule. Je devrais dire à Marcus de te les tailler. On verra bien s'ils vont guérir plus vite.
Elle partit rapidement avec ces hauts talents et son sourire espiègle. Isira savait qu'elle demanderait à Marcus qui, en extase par tant de nouvelles choses, va accepter pour ces recherches.
Isira vécu sa pire journée la journée après sa guérison. Marcus l'avait entaillé ces deux globes oculaires sans anesthésie, car Amanda lui a dit :
- Cette enfant peut supporter la douleur avec des simples coupures sur le dos et les bras. Pourquoi pas les yeux ?
Les hurlements de la jeune adolescente avaient rempli la salle d'opération et elle sait évanouie après. Isira avait vécu l'horreur et le désespoir. Elle a pu retrouver la vue un an après et depuis ce jour, elle élabore sa fuite.
C'était une erreur d'un garde qu'elle est pu sortir sans se faire voir et sans se faire attraper. Elle ne pensait pas sentir l'odeur du bois ni la douceur de la neige et ni la joie qu'elle ressentait qu'ont elle marcher pour la première fois sur l'herbe.
L'erreur humaine était sa liberté et sa délivrance de son nouveau monde, mais surtout sa rencontre. Elle a couru jusqu'à ce qu'elle soit poursuivie et sa nouvelle vie commence.
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Muette mais unique
Werewolf« Les hommes regardent par la vitre, la jeune fille qui joue seule dans sa chambre, une chambre qui n'est pas garnit de fenêtres seulement des jouets pour enfants et un lit. Les hommes écrivent dans leurs calepins tout en hochant la tête en unissant...