07

69 9 0
                                    

Zayn et la belle brune étaient assit sur le canapé, la brunette sur les jambes de l'anglo-pakistanais, et leurs jambes étaient enlacées. Elle avait la tête posée sur son torse, et son esprit divaguait vers d'autre lieu. Elle n'était pas concentrée sur le programme télévisée, contrairement à Zayn. Elle était dans ses pensées les profondes, les plus enfuies, au point qu'elle n'entendait plus rien que l'agitation de ses pensées, questionnements et reflexions, ainsi que son coeur qui battait à tout rompre dans sa poitrine.

La brunette pensait à la sensation que lui procurait les lèvres de l'anglo-pakistanais sur sa peau et à l'intérieur d'elle. La jeune femme ne répondait plus de ces actes dans ces moments-là. Pourtant, c'était la première fois que cela lui arrivait et cela ne lui donnait pas une sensation inhabituelle. Cela ne la perturbait pas, même, cela parraissait si naturel qu'elle était reconnaissance envers Zayn de lui faire découvrir toutes ces sensations.

Elle aimait aussi la sensation de son souffle sur sa peau. Elle en avait peut-être la chairde poule, mais qu'est-ce qu'elle aimait cela. Elle ne répondait plus d'elle-même et laissait abandonner à Zayn, autant qu'il le souhaiterait, mais avec encore de limites à ne pas dépasser. La brune ne voulait pas que cela change entre eux, mais elle sentait le besoin d'instaurer des limites, telles que le fait de ne pas faire l'amour. Elle ne voulait pas, c'est dans ces principes de ne pas le faire rapidement. De plus, elle ne savait même s'ils étaient un couple ou non.

La belle n'en voulait pas à Zayn de lui faire découvrir des nouvelles sensations, mais elle voulait comme même qu'il y ait des limites. La jeune femme divaguait dans ces pensées, autant certaines avaient un rapport avec le passé, d'autres avec le présent et certaines encore, moins nombreuses, avec le futur. La belle n'était pas vraiment du style à penser au futur. Cela ne lui était pas naturel, elle préférait improvisé et vivre comme bon lui semblait et prendre comme tout arrivait. C'est ainsi, qu'elle était sur les genoux de Zayn, ses jambes enlacées avec celles du jeune homme,à se poser des questions sur la situation qui commence, doucement mais sûrement, à aller trop loin.

Elle n'était peut-être que sur ses genoux et rien de plus, elle l'avait peut-être séduit grâce à ces charmes, mais elle ne voulait pas aller plus loin. Le problème n'était pas réellement là. Il était plutôt dans le fait d'expliquer à Zayn qu'elle ne voulait pas encore aller plus loin alors qu'elle sentait bien que Zayn le voulait plus que tout.

La belle soupira, attirant l'attention de Zayn. Il déplaça une mèche de la jeune femme vers l'arrière, pour la mettre derrière l'oreille de celle-ci. Le toucher de Zayn lui procura quelques frissons, la faisant frémir et rougir comme une pivoine. Ses jous tiraient au rouge cramoisis, alors elle gardait la tête bien vers l'avant au lieu de la tourner vers l'arrière pour regarder Zayn. La brunette sentait le regard de Zayn dans sa nuque. Elle sentait monter en lui l'envie de lui faire des baisers dans le cou, de lui faire des suçons. Elle le sentait, elle en avait elle aussi envie, mais d'un autre côté, ce n'était pas le cas.

Elle n'avait pas envie d'avoir encore des suçons, déjà qu'elle en avait le cou criblé, elle ne voulait pas plus. C'était déjà de trop pour elle. La brune avait jouer avec lui et venait d'en récolter les conscéquences. La brunette se mordait la lèvre, voulant contrôler ses pulsasions de joueuses pour ne pas que Zayn en veuille encore plus que de simples suçons.

La belle ne sentait pas que l'envier de lui faire encore quelques suçons montés en Zayn. Elle sentait aussi le fait qu'il n'en aurait bientôt plus assez de suçons, qu'il faudra plus pour combler ses désirs les plus profonds, les plus lointains, les plus enfuis. La belle ne voulait pas de cela, enfin pour le moment, parce qu'elle sentait aussi que, bientôt, elle voudrait de Zayn que de la cribler de suçons sur tous les front de son cou et de sa nuque.

La brune décida de se lever avant que la sensation ne devienne trop grande, avant qu'elle ne sache plus contrôler son corps. Elle désirait les lèvres de Zayn plus que tout au monde, mais elle préférait attendre le bon moment pour se les accaparer comme aucune femme ne l'avait fait avant elle. La brunette ne se défilait pas, elle préférait contourner le problème et le remettre à plus tard.

Au début, elle se dirigea vers la cuisine, sous le regard interrogateur de Zayn. Mais dans le fond, sa curiosité prit le dessus, et elle monta à l'étage. Zayn la suivait du regard mais ne bougeait pas. Ce n'est pas qu'il n'en avait pas l'envie, bien au contraire, mais c'est juste qu'il ne s'en sentait pas capable.

Elle monta jusqu'en haut des escaliers, jetta un petit coup d'oeil derrière elle et vit que Zayn ne la suivait pas. Elle laissasa curiosité l'emporté dans le couloir sombre, vu l'heure tardive de la nuit et aussi le fait qu'elle n'ait pas penser à allumer la lumière en montant. Elle se laissa guider par sa main gauche erraflant le mur à sa gauche. Dès qu'elle sentit une porte, elle tatonna pour mettre la main sur la poignée et ainsi, ouvrir la porte. Elle alluma la lumière de la pièce et découvrit une simple pièce encombré d'un simple lit de deux places. Elle comprit que ce n'était qu'une simple chambre d'amis et non la chambre de Zayn.

Elle devait bien l'avouer c'était ce qu'elle recherchait. Elle ne voulait pas de toutes les chambres d'amis appartenant à la maison. Elle voulait plutôt celle de Zayn. Non pour y dormir pronfondément, mais pour voir ce qu'il pouvait bien y cacher, ce qu'il cachait à l'intérieur de lui. Elle était de nature curieuse et cela lui avait, quelques fois, ramené des problèmes et des problèmes. Et pourtant, elle s'en était toujours dépétré, elle s'en était toujours sortie la tête haute et fière.

La belle trouva plusieurs pièces, toutes presque identiques. Elle venait juste de fermer la porte de la salle de bain. La brunette pensait en avoir finit avec toutes les pièces de la maison, et elle croyait que Zayn n'avait pas de chambre. Mais il y avait encore une porte qui cachait un petit escalier, qu'elle monta sans aucune hésitation, avant de tomber sur une autre porte, qu'elle avait peur de franchir. La main tremblante, elle appuya sur la poignée et ouvrir la porte.

La pièce était plongée dans la pénombre de la nuit, aussi sombre qu'elle, aussi sombre que le coeur cassé de Zayn, aussi endurcie que la mort, aussi majestueuse qu'une danse finissant par un tragique faux-pas valant la fin d'une carrière qui aurait pu être magnifique. La belle alluma la lumière. Elle découvrit quelque chose à quoi elle ne s'attendait pas. La chambre était magnifiquement bien rangée et elle ne comptait aucun souvenir. Cela la déroutait, la déboussolait, la désorientait, la bloquait, lui mettait aussi les larmes aux yeux.

Quand elle sentit qu'elle allait craquer, elle sentit deux mains se poser sur ses hanches. Zayn. Elle savait tout de suite que c'était lui, cela ne pouvait pas être quelqu'un d'autre non plus. Elle resta muette, ne donnant aucune explication à Zayn qui n'en avait, de toute manière, pas besoin. Zayn posa la tête sur l'épaule de la jeune femme, elle ferma les yeux, se concentrant pour contrôler ses larmes. Il ne voulait pas pleurer. Pour lui, c'était pour les filles et les faibles. Un nouvelle chose que son père lui avait encré dans l'esprit quand il n'était qu'encore qu'un gosse. Une nouvelle chose qui faisait que Zayn en voulant à son père de l'avoir rendu ainsi. La brunette passa sa main dans les cheveux de Zayn, pour finir par y rester, en tenant quelques mèches de ces cheveux. Elle tenait fermement, mais pas assez pour les lui arracher. Zayn se retenait, luttait. Mais la belle ne réussit pas à se contenir. Elle versa deux petites larmes, silencieuses. Juste deux, mais assez fortes pour faire sentir la peine qu'elle avait à l'égard de la tristesse que Zayn ressentait.

Zayn était un peu perdu, un peu fichu, un peu seul, un peu fou, un peu en bon état, mais il était surtout un peu  trop enfoncé, un peu trop défoncé et un peu trop mort.

Young And Stupid//z.mOù les histoires vivent. Découvrez maintenant