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Zayn était couché sur son lit. Il regardait le plafond, immaculé de blanc. Il revoyait sa vie dans son intégralité, du tout début jusqu'à la seconde qui vient de défiler. Il voyait sa vie, du premier cri qu'il a émit, jusqu'à sa dernière crise émotionel intérieurement qu'il venai de faire. Il se voyait même entrain de regarder le plafond, où défilait ausis sa vie. Il en avait froid dans le dos. C'était tellement particulier pour lui, qui n'avait jamais pris le temps de fixer son plafond et se poser des qustions existentiels par rapport à se propre personne. Il ne c'était jamais réellement demander comment et pourquoi est-ce qu'il en était arriver là. Il ne c'était jamais pencé sur la question et n'avait réfléchit à une éventuelle réponse. Parce qu'au début, il n'y en avait pas pour lui. Il n'y en aurait jamais eu non plus, si la belle n'était pas allée se laver, tandis que lui préférait être dans une autre pièce qu'elle à ce moment-là.

Zayn ne voulait pas être dans la salle de bain, alors que la belle brune, dont il savait enfin le prénom, était sous la douche, utilisant son gel douche et sûrement aussi son shampoing. Il avait gâché un autre baiser qu'il aurait pu avoir la belle pour lui demander son prénom. La belle était tombée de haut et on pouvait lire, sans aucun problème, la déception sur son visage, sur ses traits, dans son regard. N'importe qui, même un bébé de deux secondes aurait pu le dire, mais Zayn avait préféré l'ignorer pour se donner bonne conscience, sûrement.

Kyliana. Son prénom était Kyliana et Zayn en venait de tomber amoureux de ce prénom, de ces sept lettres qui, dès son réveil le matin-même, qui sera bientôt le matin de la veille vu l'heure qui défilait, avaient changer sa vie. Il avait du mal à croire qu'il avait juste fallut que ce petit bout de peau entre dans sa vie, pour qu'elle change du tout au tout, pour qu'elle prenne de l'importance à ses yeux, pour que sa vie ne soit plus qu'un détritus d'ennuis et de douleurs à ses yeux. Il avait du mal et pourtant, c'était le cas.

Kyliana était la personne qui venait de faire prendre goût à la vie de Zayn. L'ango-pakistanais se rendait compte aussi, qu'il n'avait pas toujours été malheureux. Il se rendait compte que c'était depuis qu'il avait du faire des sacrifices pour sa carrière musicale qui était devenue bien plate depuis quelque temps, qu'il était mal. Son groupe et lui étaient en pause pour les fêtes de fin d'année et le vacances d'été. Il venait de se rendre compte que c'était depuis qu'il avait du renoncé à ce qu'il tenait le plus au monde pour vivre une carrière musicale qu'il était mal. De plus, sa carrière musicale n'en valait pas la chandelle face à ce qu'il avait du renoncer pour la vivre.

Zayn se rendait compte qu'il avait fait une grosse erreur en partant pour vivre son rêve, que ce n'était qu'une grosse qui n'en valait pas vraiment la peine pour la qualité dont elle faisait preuve dans ces côtés positifs. Il se rendait compte que cela n'en avait pas valut autant la peine que cela, qu'il avait raté beaucoup de grandes choses pour un petit rien qui le bouffait de l'intérieur. Il était détruit par les sacrifices qu'il avait fait et par sa carrière musicale. Il était prit par assaut des deux côtés.

Zayn se demandait comment allait sa famille sans lui, comment est-ce qu'elle réagirait s'il redonnerait des signes de vie et qu'il essayerait de rattraper le temps perdu. Il s'en foutait de ce que pourraient bien dire les médias et les journalistes, ainsi que son manager. Il voulait voir sa famille, et contruire un futur fait de briques et non de brindille d'herbes. Il voulait quelque chose de solide et de résistant, qui saurait affronter les étapes dures que la vie aura encore à lui donner.

Zayn avait envie de construire, de battir, de forger un futur pour lui et pour Kyliana. Il voulait que sa famille lui pardonne pour l'erreur qu'il avait comise. Il la qualifiait d'impardonnable et pourtant, il voulait que sa famille lui pardonne comme même. Il ne sait pas qui lui donnera une claque en première ou lui fera un câlin entre l'une de ces soeurs et sa génétrice. Il parierait que sa génitrice le giflerait, tandis que Walhiya lui fera un câlin, pour autant qu'elle soit à la maison.

Zayn voulait être pardonner, être aquiter de toutes ces peines pour toute la douleur qu'il avait ressentie durant toutes ces années où il avait délaissé derrière lui, tout ce qu'il aimait et chériait pour une fausse vie construire dans son intégralité par son manager. Il n'en voulait plus de cette vie d'orphelin qui était passé de famille en famille jusqu'à l'âge de 18 ans et donc, un peu après son passage à l'émission d'X-Factor. Il n'en voulait plus de cette vie, de ce mensonge monté de toutes pièces qui lui évantrait les entrailles.

Zayn fermait les yeux, essayant que la pillule de toute cette vérité passe mieux, mais cela ne fit qu'empirer le tout. Il ne savait pas pourquoi, cela ne passait pas comme il le voulait. Habituellement, cela l'aidait, mais là, tout s'embrouillait dans sa tête, comme si on avait passé son cerveau, ainsi que ses pensées, au mixer. Il avait l'impression le monde tournait, que sa chambre tournait comme une bille dans les mains dans un enfant. Il en avait la nausée et fermer les yeux n'arrangeait pas son cas, encore une fois. Rien n'avait l'air de le calmer, de l'apaiser dans sa douleur.

Zayn essayait de ne plus cligner de yeux, mais cela ne donna pas la résultat désiré non plus. Il avait l'impression d'être dans une barque, une simple petite barque au milieu d'une tempête qui déferle l'océan. Il se sentait comme un petit garçon perdu dans un centre commercial en pleine période des soldes et emporté par la foule qui n'en a rien à foutre d'un petit gosse de huit ans, pas plus haut que trois pommes, perdu au milieu de la foule. Zayn avait du mal à trouver ce qui pourrait l'apaiser, ce qui pourrai calmer sa folie et ses tournis, ainsi que vertiges.

Zayn passa ses mains sur son visage, se frotant les yeux de la manière la plus forte qu'il le pouvait pour faire passer le tournis. Mais rien n'y faisait, décidemment. Il voyait tout son monde se chambouler à cause de toute cela. Il ne coprenait plus rien, même à ses pensées qui devaient un tourbillon de mots sans queue ni tête. Zayn clignait des yeux et cela s'empirait encore. Quoique qu'il faisait, cela s'empirait. Il n'en pouvait plus de subir tout cela. Il n'en pouvait plus de toutes ces choses qui tournent dans tous les sens, qui partent en couilles et où il n'y comprendre rien.

Zayn craquait face à tout ce qui défilait sous ses yeux. Toutes les conneries qu'il avait faite dans sa vie, de sa plus tendre enfance jusqu'à la dernière femme qu'il c'était tapé. Il n'acceptait pas le fait que tout qu'il voyait était de sa faute, une énorme faute, plusieurs énormes fautes. Il ne voulait pas accepter le fait que se soit lui qui ait fait tout cela, pour lui c'était une autre personne qui avait fait cela. Il n'avait pas tord. C'était son lui détruit, brisé, cassé, rabioché, recollé, calciné qui avait fait tout cela et non le véritable personne qu'il est dans le fond. Le gentil Zayn, éduqué avec une main de fer mais aussi douce de sa génitrice et par un père qui voulait apprendre tous des merdes de la vie à son fils dès son plus jeune âge sans savoir que cela le menera à sa perte et le détruira encore plus.

Kyliana sortit de la salle de bain, vêtue de vêtements qui appartenaient au jeune homme mais qu'il trouvait que cela allait mieux à la jeune femme qu'à lui. En entrant dans la chambre de Zayn, elle avait calmé tous les démons et avait fait taire le bordel qui était dans sa tête dans l'anglo-pakistanais. Il avait juste fallut qu'elle entre dans la pièce pour que tout se calme. Kyliana s'approcha de Zayn, tandis que celui-ci se redressait dans le lit pour se mettre sur ses coudes et tenir. La brunette s'assit sur le bord du lit du jeune homme, à la hauteur de son visage.

Kyliana approcha son visage de celui de l'anglo-pakistanais. Zayn ne captait rien puisqu'il commençait tout doucement à se remettre de la scène précédante. La jeune femme déposa ses lèvres sur les siennes. Zayn pu y goûter, sans avoir le baume à èvres à la framboise à retirer. Il pu profiter d'un bon baiser, bien langoureux, avec une danse qui se faisait avec leurs langues. Mais le rêve se brisa rapidement, Zayn eu à nouveau la tête qui tourne, le décor devenu noir et il ne sentit plus les lèvres de Kyliana se mouver avec et contre les siennes. Il tomba du canapé et se réveilla.

Young And Stupid//z.mOù les histoires vivent. Découvrez maintenant