Secret De Passion

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Audrey était épuisé des vas et viens qu'elle a faite pour son voyage et les valises étaient déjà prêtes,elle avait tout régler pour ne pas avoir de surprise durant son voyage. Elle était exténuée ,elle n'avait même pas encore manger,elle devait aller prendre les enfants dans quelques heures pour qu'il y aillent à l'aéroport, donc elle avait encore le temps de s'assoupir.

Elle se rendit d'abord dans la cuisine et mangea son plat de lasagne qu'elle avait mis au frigo. Pendant qu'elle finissait son repas, elle entendit une chose à la télé qui retient son attention,elle augmenta le son et alla mettre l'assiette dans le lave vaisselle, de la cuisine elle pouvait entendre le son de la télévision,
'' Le milliardaire Alexandro De-Carvalho a encore été vu avec la mannequin Chloé Beverly, mais ils étaient dans un magasin pour rayon bébé!!!, est ce que le couple le plus glamour attendrait un heureux élus!!? ''
Audrey lâcha son assiette brusquement, elle ne voulait pas vexée une seule larme pour cet homme, si elle attendait un enfant de lui tant mieux pour eux et qu'ils vivent heureux ensemble !!!!
Elle éteint la télévision et alla dans sa chambre a coucher pour s'allonger un peu, elle avait besoin d'oublier ce qu'elle venait d'entendre sur Alexandro.

Elle se rappelait la première fois qu'ils avaient fait l'amour, le jour où il lui avait prit son innocence et lui avait faire connaître le plaisir à l'état pur....

Flash back

Ce jour là il pleuvait sur la ville de New-York, Alexandro attendait Audrey depuis un bon moment dans son appartement, la veille ils s'étaient disputés parce qu'Alexandro lui avait reprocher de sortir déjeuner avec son collègue de travail qui lui faisait ouvertement des avances, et Audrey avait fini par accepter l'invitation de son collègue pour énerver Alexandro et lui montrer qu'il n'avait pas le droit de lui interdire de travailler.

Il était 22h30 ce même soir, Audrey n'était toujours par rentrée. Alexandro se mit à arpenter le salon, puis de nouveau il se rendit dans la cuisine pour relire le mot qu'elle l'avait laissé à sa gouvernante << Je suis sortie prendre un verre avec un ami,ne m'attends pas pour diner  Audrey>>
Il bouillonnait de rage, il savait que Audrey faisait ça exprès et il avait juste envie de casser la gueule de ce type avec qui elle était sortie.

Il était 00h10 quand il entendit la clé tourner dans la serrure. Fixant son verre vide, il attendit qu'elle le rejoigne dans la cuisine, cherchant dans ce laps de temps à apaiser sa colère. Qu'est-ce qui lui prenait de rester aussi tard dehors???!

Audrey sursauta légèrement en le voyant dans l'obscurité dans la cuisine.
-Bonsoir, je ne m'attendais pas à te trouver à l'appartement, je te croyais encore en voyage, déclara Audrey.

Posant son sac sur une chaise,elle se débarrasse de sa chaussure et de son parapluie, ses cheveux modorés s'étaient échapper de son peigne en écaille et des ombres légères apparaissaient sous ses jolies prunelles bleues.
Il s'efforça de surmonter la vague de désir qui l'assaillit.
Il se leva déclara avec une voix remplit de colère :
-Avec qui était tu ce soir?Sam??
Ce ton jaoux et possessif sortit Audrey de ses gongs.

- Ne prends pas ce ton macho avec moi. J'ai eu une longue journée aujourd'hui et toi aussi tu laisses Chloé venir jouer à ta meilleure amie ici  alors tu n'as aucun droit de me demander ça !!

La colère d' Alexandro monta d'un cran et il s'approcha dangereusement d'elle,
-J'ai tous les droits, parce que Tu m'appartient et personne à part moi n'a le droit de te toucher !!!!!! lui crit il presqu'au visage.

-Je n'appartient à personne,je ne suis pas un objet, et toi tu laisses Chloé venir ici malgré qu'elle et moi ne nous entendons pas alors laisse moi!!!!

-Tu sais très bien que Chloé est une amie d'enfance et que je ne peux pas lui interdire de venir chez moi, alors que toi tu te pavanes avec un homme comme une..
Avant même qu'il ne finisse sa phase elle l'avait déjà gifler,le bruit retentit dans toute la maison et Alexandro toucha sa joue.
-Je t'avais déjà dit de ne plus lever la main sur moi... commença t'il en s'approchant dangereusement comme un lion, elle s'éloigna et se retrouva coller contre le mur.