Jusqu'à la fin de nos jours.

Chapitre 2:Dans son infinie

Charenton 1956;

-Monsieur Henri, ou êtes vous, Monsieur Henri?!

- Je suis la Marie, je suis en train de peindre.

-Ha Monsieur vous voilà, tout le monde vous cherche, la réception a commencer.

-Qui vous entendez par tout le monde?

- Les invités ainsi que vos soeurs.

-Mes parents? Non? Ils ne me cherche pas ce n'est donc pas grave si je ne suis pas présent.

-Monsieur, je sais que vous avez une relation compliquée avec vos parents mais se sont tout de même les fiancaille de votre soeur Lucie et je suis sûre qu'elle et François, son futur mari, seraient très heureux de vous voir présent à la réception.

-Très bien, mais sache que je vais à la réception que pour ma soeur Lucie et non pour son fiancé qui ne se mari avec elle non par amour mais par intérêt, pauvre Lucie elle qui a toujours voulus se marié par amour, il la rend aveugle en lui lisant des poèmes et lui disant des mots d'amour, tous sa pour pouvoir obtenir nos domaines et notre fortune.

Marie était la servante des JOSCIER depuis près de 19 ans, elle sait occupée de tous les enfants. Mais surtout d'Irene et d'Henri, ils étaient les benjamins de la fraterie et donc ils n'avait pas besoin d'être autant éduquer que les aînés. La servante ainsi qu'Henri se rendaient à la salle de réception qui était en plein milieu de la maison JOSCIER, la salle avait de grandes portes et donnait sur l'immense jardin. Quand ils entrèrent personne ne remarqua que le benjamin de la famille n'était pas présent, il décida donc de s'éclipser vers la bibliothèque, la personne ne pourra lui dire qu'il n'est pas présent à la réception, les portes sont ouvertes c'est juste que personne ne va dans la bibliothèque, disons qu'il sera plus au calme. Henri pris un livre puis s'installa sur un divan en velours rouge. C'est étrange car Henri sais quel livre se trouve ou non dans la bibliothèque, mais celui ci il ne l'avait jamais vue, il pensa que c'était Irène qui venait de le lire et pour en faire profiter la famille le mis dans la bibliothèque, il commença donc à le lire. Henri était plongé dans sa lecture, il en avait presque oublié la réception. Soudain il sentais comme une présence dans la salle, il releva la tête et vie sa soeur Irène.

-Tiens, comme c'est étrange de te trouver seul. Disait-elle ironiquement

-Crois-tu vraiment qu'un seul des invités voudrait me parler? Dit Henri en continuant à lire

-Peut être pas un invité mais peut être quelqun de la famille. Dit Irène en allant s'installer sur le fauteuil à côté du divan.

-Sa m'étonnerait, Lucie est avec son prince charmant, Jacques essaye de négocier et toi... toi qu'est ce que tu fait la tu devrais pas être en train de parler d'opération et de science avec d'autres personnes?

-Non je suis venue car de un je voulais te parler et de deux je cherchait à fuir  un peu de père et mère  qui parle de moi à tous les hommes.

-Au moins il parle de toi, je suis sûre que sur les centaines de personnes présente même pas la moitié connaissent mon prénom ou se que j'étudie, et tu avais à me parler? De quoi??

- J'ai surpris une conversation entre père, François, Jacques et le père de François. Dit Irène en regardant si personne n'écoutait ou ne rentrait dans la salle.

- Oui c'est normal c'est sûrement en rapport avec le mariage.

- Je ne sait pas ils parlait d'un contrat ainsi que d'une maison en pleine campagne dans le Sud de la France, mais nous ne possédons aucun domaine dans le Sud en pleine campagne.

- Peut être qu'il s'agit d'une maison dans la famille à François.

- Non, car père à dit "la maison appartenait à la famille de ma femme".

-C'est vrai que c'est étrange mais peut être qu'il ne voulait pas que nous nous y rendions.

Irène regarda Henri

-Qui a-t-il? Demanda Henri à sa jumelle

- Tu ne voudrais pas essayer de m'aider à découvrir pourquoi cette maison nous à été cacher?

-Qu'est ce que cela va changer, sa se trouve elle va être donner à Lucie suite à son mariage.

- Tu n'a pas tord mais, tu n'a jamais rêver de vivre dans le Sud? La bas tu aurais tellement de paysage à peindre.

-Ici à Paris aussi il y a des millions de paysages à peindre.

- Oui mais ils se ressemblent tous.

- Écoute Irène, si père et mère nous ont cacher cette maison c'est qu'il y a une raison, et cette raison jamais ils ne nous l'a donnerons, donc il vaut mieu que tu t'enleve cette idée d'enquête de la tête. Dit Henri très sérieusement à Irène.

- Tu a sûrement raison.

Henri regarda Irène d'un aire heureux qu'elle oublié cette idée.

-Mais alors...

-Qui a-t-il encore? Dit Henri avec dépit

- Tu viens avec moi à la réception comme ça père et mère me laisserons tranquille.

-Très bien.

- Génial, en plus de sa j'ai une amie à moi qui voudrais te rencontrer.

-Ha non, tu te souviens de la liste que l'on a écrit étant petits??

-Oui bien sûr, mais sa ne te ferais aucun mal de rencontrer de nouvelles personnes. Dit Irène en rigolant

La liste, quand les jumeaux avaient 6 ans ils décidèrent d'écrire une liste de souhait ainsi que de chose à faire avant leur mort. Cette liste était composée de 10 souhait et choses à faire. Irène et Henri attachait une grande importance à cette liste, encore aujourd'hui à l'âge de 17 ans.