Mon chemin ( Prequel de vengeance )

Les secrets d'Oedo : La légende de la princesse Chiemi

*À lire avec l'ost en média*

Il y a près de 200 ans, alors que Oedo prenait de plus en plus d'ampleur naquit le premier enfant du shogun Teki Yashin.

L'enfant naquit le premier jour de l'été à la première lueur du jour. Cette enfant contre toute attente était une petite fille, cette nouvelle fut extrêmement surprenante pour le clan Teki dont les premiers nés ont toujours été des hommes et ce depuis plus de deux siècles. La fillette fut au premier abord considéré comme un signe de malédiction, mais tous se rendirent très vite compte que cette fille était tout sauf un signe de malheur et ce rien qu'en regardant son apparence. La jeune fille était née avec de magnifiques cheveux dorés qui brillaient comme de l'or et des yeux d'un bleu qui rendraient les cieux jaloux et le plus beau des saphirs ridicules. Alors qu'elle venait à peine de naître Yashin savait déjà quelque chose sur sa fille elle allait devenir une femme magnifique et un véritable trésor.

C'est ainsi que naquit la princesse Teki Chiemi femme qui jadis fut surnommé le soleil d'été d'Oedo.

Les années passèrent et la princesse grandit choyée. Tout lui était offert des plus belles étoffes au bijoux d'apparat, mais tout ceci fut vite éclipser par la beauté naturelle que dégageait la princesse.

Au fil des années la princesse s'était embellit ses yeux bleus était devenu encore plus étincelant. Ses cheveux dorés resplendissaient d'avantage. La beauté de la princesse était encore plus flagrante lorsque cette dernière se retrouvait exposé à la lumière du jour. Très vite Chiemi fut perçus par ses domestiques comme une divinité certain la considérait même comme une descendante de la déité de lumière. Ce qui augmentait considérablement les cadeaux qu'elle recevait.

Mais bien sûr le fait que la princesse était choyée ne signifiait pas qu'elle disposait de toute les liberté qu'elle désirait. Etant considéré comme un trésor par son père elle était jalousement gardée par ce dernier.
La seule compagnie qui lui était autorisée était celle de ses servantes : des femmes issues de clans alliés aux Teki. La princesse ne pouvait également pas quitter les alentours de ses appartements sans l'autorisation de son père. Et lors de ses rares apparitions en publique elle devait toujours porter un long voile blanc dissimulant son visage à la vue de tous. Les seuls qui avaient vu le visage de la princesse à ce jour hormis ses parents n'étaient que ses serviteur les plus proches et les membres de quelque famille de damyo alliés au Teki.

Lors de la cérémonie pour célébrer le septième anniversaire de la princesse Chiemi elle fut emmener dans un sanctuaire dédié à la déité de lumière.

À son arrivée au sanctuaire la princesse fut accueilli chaleureusement par les prêtresse du temple et le grand prêtre dans le but d'honorer la princesse et de secrètement vérifier ses liens avec la déité de lumière.

La princesse pénétra dans l'enceinte du sanctuaire accompagné de son père le shogun et d'une délégation de daimyo. Comme à son habitude pour cette cérémonie la princesse portait ce voile blanc destiné à cacher son visage à la vue des autres. Les prêtresse s'inclinèrent en formant un couloir pour permettre à la famille du shogun et à leurs accompagnateur de passer.

Prêtresses : Salutations shogun Teki Yashin.

En guise de réponse Yashin hocha la tête en continuant d'avancer avec sa délégation au bout de la haie d'honneur formés par les prêtresses les attendait le grand prêtre en charge du temple.

Le couple s'inclina devant le shogun une fois ce dernier arrivé à leur niveau.

Grand prêtre : Salutations monseigneur.

Yashin : Salutations à vous grand prêtre.

Le shogun et le dirigeant du sanctuaire s'avancèrent l'un vers l'autre et s'échangèrent tout deux s'échangèrent une poignée de main. Bien qu'en terme technique leyasu occupait une position hiérarchique plus élevé que son interlocuteur, Teki Yashin savait tout particulièrement qu'ils valaient mieux traités les prêtres avec respect et tout particulièrement l'homme qui se trouvait en face de lui.