Au revoir Deku

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PDV Izuku

Je me réveillai À CAUSE D'UN MEGA COUP DE COUP DE COUDE par Kacchan en plein dans la figure.

Je me tins le nez tout en gémissant un léger.
- Kacchan tu m'as fait maaaaal !

Celui ci gémit puis se retourna à l'opposé de moi. En gros ça veut dire que je dois la fermer.

Je pris un risque ÉNORME et commençai à le secouer dans tous les sens.

- Tu m'as fait mal KACCHAAAAAN !

Il grogna puis comme réponse, il mit la couette sur sa tête.

Je gémissai de mécontentement puis montai à califourchon sur lui pour recommencer à l'embêter, et cette fois en lui tapant dessus avec des poings en guimauve.

- KACCHAAAAAN !

Il enleva tout à coup la couverture, dévoilant son visage en colère et son regard noir.

- Quoi ?

Je me laissai tomber sur lui, mon nez touchant donc le sien puis répondis en faisant abstraction de la douleur.

- Bonjour !

Face à ça, son visage se détendit puis il vint déposer un léger baiser sur mon front.

- Salut Deku.

Je lui souris puis lui dis.

- C'est donc aujourd'hui que tu pars ?

Demandai je en savant pertinemment la réponse.
Avec une de ses mains, il me caressa les cheveux.

- Je partirai ce soir.

Je devins soudainement triste face à cela. Kacchan va s'en aller ce soir.

- Ça va ?
Me demanda t'il en commençant à s'étirer.

- Mmh ? Ah oui, tout va bien, je suis juste pensif.

Il mit ses mains sur mes hanches.

- T'as l'air inquiet.

- C'est parce que je le suis ! Qu'est-ce qu'il va ce passer après ? Tu vas retourner dans ta ville, travailler, m'oublier, être en couple avec quelqu'un d'autre, te marier avec cette personne et avoir des enfants. Pendant que moi, je serais coincé ici le restant de ma vie !

Il se releva d'un coup puis mit ses mains sur mes joues tout en rapprochant nos visages.

- Je ne t'oublierai pas ! Je te le promets. Je reviendrai et trouverai un moyens pour que tu ne restes pas toute ta vie ici. Tu me suivras, tu viendras avec moi et nous vivrons ensemble. D'accord ?

Il essuya de ses doux et fins doigts, mes yeux, où des larmes étaient en train de se former puis me prit dans ses bras.

- Je t'aime.

Me souffla t'il.
Face à cela, je devins rouge puis rendis son étreinte.

Vreee vreeee

Kacchan se décolla de moi et se décala vers son chevet pour prendre son téléphone.
Il le regarda puis souffla et le reposa.

- C'était qui ?

Demandai je.

- Un pote. Il me dit que le temps et long sans moi.

Il revint vers moi puis me poussa sur le lit pour se mettre au dessus.

- Comme quoi, tu es indispensable pour tout le monde.

Un amant de la pleine lune. ( Terminée )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant