(=^x^=)Cette histoire est d'origine anglaise, j'ai beaucoup entendu parler d'elle et j'ai voulu la traduire, je vais la découvrir en même temps que l'écriture. Je vous crédite l'auteur quand même, son Twitter c'est @soobivert
Résumé:
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« A-tu d...
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C'était une petite main fermée à l'ourlet même de son manteau d'infirmier qui arrêtait Soobin dans ses pistes.
Un autre dimanche matin tranquille à la cafétéria de l'hôpital est venu, sans incident comme toujours. Le mâle tenant une languette d'une main, se retournant après avoir terminé son tour de contrôle à la cour. Peu de patients étaient à l'intérieur, sauf pour quelques enfants qui finissaient leur petit déjeuner et certains aînés dans le besoin.
En sentant quelqu'un le pousser, Soobin se retourna immédiatement, venant face à face avec le propriétaire de la main. Elle appartenait à une petite fille — jeune, plutôt pâle, son cadre fragile. Soobin a fait une note mental pour demander son nom afin qu'il puisse mettre un mot ou deux avec son nutritionniste plus tard.
Elle avait des cheveux aussi foncés que la nuit, soyeux comme du jade noir. Ses yeux étaient larges et ronds alors qu'ils le tenaient droit contre lui — presque d'une taille alarmante par rapport au reste de ses traits minuscules. Son cadre était vêtu d'une robe blanche, bizarrement ambiguë, mais encore une fois, c'était une robe d'hôpital.
L'enfant avait une peluche de canard Peitero dans sa main libre, accrochée possessivement à sa poitrine. Son poing a été étrangement serré, et seulement alors, Soobin a réalisé qu'il y avait autre chose étouffée à travers de ses doigts robustes.
« Bonjour toi », il lui fait un sourire chaud, s'écrasant rapidement pour atteindre le niveau des yeux de l'enfant. Il fut récompensé par un timide en retour « comment puis-je t'aider ? »
« Monsieur l'infirmier. » avait marmonné la fille, les yeux larges avec un soupçon de curiosité en eux. Ils étaient aussi clairs que les globes de cette obsidienne clignotaient vers lui. Soobin est froissé. « Je...j'ai trouvée quelque chose. »
« Ah bon ? Veux tu me le montrer ? » Soobin a fredonné, les yeux regardant le poing serré de la fille, en attendant qu'il se déverse. Et c'est ce qu'il a fait.
Ce qui se posait dans la paume de la fille, cependant, a fait un changement d'expression.
Serré au milieu de sa petite main était un cœur de papier minable. Notamment plier, mais avec des bords portés. Ce n'était pas une vue inhabituelle pour lui, mais pour quelques raisons que ce soit, ses tripes lui ont dit que Soobin n'avait que très bien reconnu d'où venait cette particularité.
« Oh ? Où a tu trouver ça ? » il essaya de garder le sourire plâtré sur son visage, en gardant sa propre paume pour tenir celle de l'enfant.
La fille n'arrêtait pas bouger, déplaçant son poids entre ses pied ; réticente à répondre — comme un enfant craignant d'être réprimandé parce qu'il a était prit d'avoir fait quelque chose qu'il ne devrait pas. « C'est bien de me le dire, je te le promets » avait-il ajouter avec plus de d'assurance qu'il était certain qu'elle en avait besoin.
Cela a suscité une touche d'espoir dans ses yeux « Je l'ai trouvée dans la pièce à côté de la mienne, il y en avait tellement ! C'était comme une film de Barbie, monsieur l'infirmier ! »
Le cœur de Soobin lâcha.
Un battement de cœur trop tard, il se demanda, sa voix se déconnecte en moindre. « Quel est le numéro de ta chambre, petite ? »
« 554 ! » dit l'enfant et quelque chose d'illisibles clignotait sur le visage généralement lumineux de Soobin.
« Tu est allé dedans ? » dit Soobin, son ton joyeux d'avant complètement absent.
« C-c'était fermé » échappa l'enfant, son emprise sur la peluche serrant. Elle regardait loin et la main située au dessus de celle de Soobin commença à trembler.
Soobin s'exclamait, secouant la tête et tendant la main pour lui tapoter le dos ; quelque chose qu'il a formé à faire pour réconforter les enfants. « Ce n'est pas grave, c'est bon. Pourquoi ne pas déposer cela où il s'y trouvait ? »
Elle s'est hissée, mettant le cœur en papier froissé dans la paume beaucoup plus grande de Soobin. Celui-ci le tenait soigneusement, il avait peur qu'il se cassait sous les touches les plus douces ; et le mettre dans sa poche de manteau.
"Longtemps que je n'en ai pas vu"
Il se releva vers la fille, prenant sa main dans la sienne, et commença à marcher.
