Mon vilain à moi

3-Faible petite Princesse

Ils se regardèrent tous choqué et Alviona comprit qu'elle avait touché dans le mil. Elle ne voulait pas croire en cette réalité, elle les pensait réellement avec de bonnes intentions, visiblement, non

Alviona: Ok...Je, je vais quitter cette table, j'ai autre chose à faire. Merci d'être venu vers moi les garçons, en espérant que ce n'étais pas pour des infos...

Elle partit donc loin de la table et loin de la cantine, se demandant elle-même comme elle avait pu en venir à un tel résonnement. Est-ce qu'au fond d'elle, elle savait déjà que c'était eux ? La pauvre fille était perdu, se demandant si elle devait le dire à Ben. En temps normal, elle les aurait dénoncé mais, elle hésitait pour une simple raison, elle ne les pensait pas aussi méchant qu'eux-mêmes voulaient le penser. Elle commençait réellement d'avoir obtenu de sa mère toute sa gentillesse. Elle repartit donc en cours, ayant mainte et mainte réflexion en tête, ce qui faisait qu'elle n'était pas vraiment concentré, ce que beaucoup de profs lui ont rappelé; certains lui ont même demandé si elle allait bien mais, elle n'allait pas leur répondre: "Non, je sais qui a voulu volé la baguette de la bonne fée mais, j'hésite à les dénoncer". Et, au final, elle décida de ne pas les dénoncé, ayant encore un espoir que les enfants de vilains ne seraient pas comme leurs parents. En sortit de cours, quelqu'un lui attrapa le bras et quand elle se retourna, elle soupira à la vus de Ben, craignant que c'était l'un des quatre nouveaux

Ben: Ça fait cinq minutes que je te cours après !

Alviona: Tu exagères, je pense

Ben: Non, vraiment pas. Ça va ?

Alviona: Oui, pourquoi je n'irais pas bien ?

Ben: Beaucoup de tes professeurs m'ont rapporté que tu avais l'air distraite cet après-midi.
Donc, je repose ma question, ça va ?

Alviona: Mais, puisque je te dit que je vais bien !
Juste un peu fatigué...

Ben: J'espère que ce n'est que ça et que tu ne me ment pas. Tu en a appris plus sur ce qu'il c'est passé hier soir ?

Alviona était entrain de le maudire, il ne sait vraiment pas tomber sur le bon sujet !

Alviona: Ouais, j'ai analysé les enfants de vilains, même si ça ne m'a pas franchement plu... Enfin, quoi qu'il en soit, ce n'est pas eux

Ben: Je suis soulagé de cette nouvelle...Mais, ça veut dire qu'on à un autre problème, quelqu'un essaye de voler quelque chose et, d'après la fée marraine, ce serais sa baguette

Alviona: Ça, je l'avais déjà deviné

Ben: Donc, tu approuves que c'est bien ça

Alviona: Heu...Ben, c'est l'alarme de protection de la baguette qui c'est déclenché, rappelles toi, c'est même toi qui me l'a dis tantôt !

Ben: A bon ?

Alviona: Tu es exaspérant, tu le sais ça ?

Ben: Je te remercie du compliment

Alviona: Hoouu, le futur roi fait du sarcasme ?
Enfin, je vais y aller, bye 

Elle repartit donc assez vite, empêchant Ben de la rattrapé, ayant de bien deviné que quelque chose la préoccupait. Elle maudissait aussi ses professeurs ne sachant pas tenir leur langue, ils n'ont jamais vu une élève fatigué ? Quand elle fait des bêtises, personne n'est au courant par contre, quand elle n'a pas l'air dans son assiette, le futur roi d'Auradon doit obligatoirement le savoir ! Elle se réprimanda elle même de ses pensé par un: "Calmez-vous princesse Alviona Arianna Gothel Fitzherbert !", voulant que son esprit reste un minimum poli envers ses professeurs. Elle pressa donc le pas une fois arrivé au dortoir, voulant atteindre sa chambre au plus vite, se disant que Ben trouverait ça bizarre qu'elle n'aille pas parler avec les enfants de vilains, espérant qu'ils finisse par oublier. Juste avant d'atteindre son poignet, une autre personne lui attrapa le bras pour l'embarquer dans un coin