Stray Kids X Reader

Han ~ The handsome guy squirrel and the french girl ~ Part.IV ~ Final Chapter

~Pdv Axelle~

Depuis notre départ hier soir, j'avais l'impression de perdre de plus en plus (t/p), même si son corps était là, près de moi, je savais que son esprit était si loin que je ne pouvais le ramener sans la secouer tel un pommier.

Là, ses yeux rivés sur la route, ses mains délicates posées sur le volant, elle donnait l'impression de maîtriser sa vie comme elle l'avait toujours fait, comme si quelques heures auparavant, nulle larme n'étaient tombées de ses yeux. Alors que je faisais mes adieux à Lee Know, je l'avais aperçue, les yeux au sol, Han devant elle; j'avais vu son corps trembler et elle, tentant de le maîtriser en vain, j'avais vu ce moment gravé dans ma mémoire, celui où dès qu'elle avait levé les yeux vers lui, ses larmes se sont mises à couler et que sans omettre un mot, il l'avait pris dans ses bras, les yeux brillants.

Plus je pensais à ce moment, plus je me disais que ça ne pouvait pas se finir comme ça, que cette histoire naissante était destinée à un plus bel avenir que celui-là, et que s'il le fallait j'étais prête à renoncer à mon propre bonheur pour qu'elle soit heureuse avec Han. Pourtant, malgré ses belles pensées, je ne pus que prendre le volant des mains de mon amie, reportant la colère de mon coeur brisé sur la mauvaise personne. Depuis ce moment, (t/p) n'omettait nul mots, son regard perdu dans le vide, ses lèvres scellées dans une mine morne qui me détestait de voir, pourtant sa voix se fit entendre alors que je réclamai un café, nous proposant de nous arrêter.

Alors qu'on rejoignit la côte, les filles descendant en un clin d'oeil de la voiture, je ne pus m'empêcher de regarder (t/p) dormir, ne pouvant plus assurer son visage de marbre, des larmes coulaient le long de ses joues alors que tout bas, je pus entendre un léger soupir disant: "moi aussi je t'aime...Han". Mon coeur se serra dans ma poitrine alors que sans que je m'en rende compte, ma main vint rejoindre ses cheveux, les caressant comme on le ferait à un enfant. Ses yeux finirent par s'ouvrir et elle sorti de la voiture, fuyant mon regard peiné, avant de s'effondrer dans le sable comme si l'on venait de lui tirer dessus, dans un sens métaphorique, c'était bel et bien le cas...

-(t/p)!, s'exclamèrent les filles accourant auprès d'elle alors que je la rejoignis aussi

Assise dans le sable, le regard fixé sur les grains dorés dans ses mains, (t/p) ne disait rien, et pendant un moment, on aurait pu croire qu'elle s'amusait dans le sable comme une enfant; c'est seulement quand son regard se releva vers nous qu'on pris conscience de son état. Ses larmes brillant dans le soleil bientôt couchant, son corps parcouru de soubresauts, (t/p) pleurait, le vent venant balayer ses cheveux (c/c) éparpillés autour de son visage larmoyant.

Moi qui avait réussi à me retenir jusque là, je finis par tomber à genoux à ses côtés, venant la serrer dans mes bras; je sentis ses larmes tremper ma chemise alors que ses bras graciles se serraient autour de moi. Il était difficile de savoir qui réconfortait l'autre, nos sanglots se confondant entre eux alors que nos deux amies vinrent compléter notre étreinte, frottant nos dos et murmurant des mot réconfortants à nos oreilles pour ne serait ce que nous apaiser un peu.

Nous restâmes plusieurs minutes ainsi, seul le bruit des vagues s'écrasant sur la plage venait interférer avec nos pleurs; le soleil commençait sa descente alors que nos corps se calmèrent, nos yeux nous brûlant un peu plus que la normale. Assises sur la plage, séchant les dernières larmes sur nos joues, un silence s'installa sur cette dernière comme si la nature elle-même compensait à notre douleur, totalement vide, je n'eus rien à dire pourtant ce silence fut soudainement couper:

-Hors de question que cela continue!, s'exclama Rachel, se levant pour balancer un coup de pied dans le sable

Suite à quoi nous nous prîmes tout le sable volant dans la figure