Teach Me Life (prof-élève)

Chapitre 12

♪Bastille - Tunning out♪

Le jeune homme trainait seul dans son appartement voilà déjà près d'un moi et demi qu'il avait emménagé dans ce tout petit studio qui lui servait pour vivre. Dans ce studio ce trouvait deux pièces, la salle de bain et une salle à manger dans laquelle se trouvait la cuisine avec un lit deux places que l'ont pouvaient retrouver au fond de la pièce contre un mur. Lui était assit à son bureau, il corrigeait des copies. Il avait demandé à ses Terminal L de lire le livre Orgueil et Préjugé de Jane Austen  il leur avait posé quelques questions auxquelles ils devaient répondre sur une feuille. Il corrigeait les copies jusqu'à arriver au nom de Hope Johnson. Il lu attentivement et un sourire se dessina de temps à autres sur ses lèvres en lisant les réponses de la jeune femme. Cependant il devait s'arrêter là, il donnait un cours dans trente minutes au lycée bien que maintenant il habitait tout proche, il ne pouvais pas se permettre d'être en retard. l'Académie l'avait déjà à l'œil. Une prochaine conneries et ils risqueraient de ne pas le rater. Il prit sa douche, s'habilla, se brossa les dents et c'était partie pour une journée de travail pas si intense, il commençait à 13h30 et finissait à 18h aujourd'hui rien de bien crevant. En arrivant, une voiture noir garée devant le lycée attira son attention, mais cela ne le perturba pas. Il rentra sa sacoche à la main comme un professeur. En passant dans le hall, des murmures se font entendre mais il ne pouvait pas distinguer les mots. Il arriva dans la salle des professeurs tout sourire alors que ses autres collègues eux, n'avait pas l'air d'humeur à rigoler.

- Et bien c'est quoi ces têtes d'enterrement ? Dit-il en rigolant.

" Hope Johnson vous êtes priée de vous rendre dans le bureau du directeur ainsi que Monsieur Rayan Duncan. Merci " annonça la voix de l'interphone.

Tout de suite le jeune homme se mit à paniquer, aurait-ce un rapport avec ce soir ou tout a basculé ? Le professeur pria pour que ce ne soit pas ça. Il tenta de se rassurer en se disant que Hope avait sûrement dû être insolente une fois de plus ou autre raison. Avant de rentrer dans le bureau il croisa Hope, il lui attrapa le bras.

- Qu'es que t'as encore fait ? Demanda t-il.
- Quoi mais ça va pas ! Lâche moi le bras j'ai rien fait ou même dit si c'est ce que tu veux savoir !
- Alors pourquoi ont est convoqués tout les deux en même temps dans son bureau ?
- À ma connaissance, je ne suis pas médium alors lâche moi le bras et qu'on en finisse.
- Désolé.

Elle se retourna et frappa à la porte avant d'entendre la voix ferme du directeur dire d'entrer. Elle rentra suivit de son professeur. Dans la salle se trouvait le directeur debout en compagnie de deux hommes mais pas n'importe qu'elles hommes, lorsque elle les vit Hope s'arrêta net. " Hope tout va bien ? " lui demanda son professeur. La jeune femme ne répondit pas elle entra dans la salle sans dire un mot. Elle redoutait le pire. Les hommes était vêtu d'un costume militaire. Ce sont ces même costumes que les militaires mettent pour annoncer une terrible nouvelle à la famille d'un soldat. La jeune femme commença à paniquer.

-Il est mort c'est ça ? Commença telle la gorge nouée.
- Mademoiselle Hope Aimée Johnson, commença un soldat en retirant son béret. Nous avons le regret de vous annoncer que le sergent caporal Johnson est porter disparu en Afghanistan.
- Son régiment était appelé à rentrer au pays. L'hélicoptère dans le quel il se trouvait a été la cible d'une attaque. Certain s'en son sortie d'autre non et d'autre comme votre père sont disparu. Nous faisons de notre possible pour le retrouver. Vous pouvez conter sur le soutien de l'armée. Poursuivit le second homme.
- Une cérémonie est organisée pour rendre hommage au soldat mort au combat, ainsi qu'aux soldats disparus. Elle aura lieu ce mercredi à 15h.
- Nous vous adressons toute nos plus sincères condoléances.

Les soldats s'en sont allés alors que la jeune femme s'était assise sur un fauteuil. Elle n'arrivait plus à penser, ces mots résonnaient dans sa tête " le sergent caporal Johnson est porté disparu ". Elle ne bougeait plus, elle s'accrocha à l'accoudoir aussi fort qu'elle le pu. Le directeur adressa un regard au professeur qui regardait la jeune femme avec un regard indescriptible.