Chapitre 4

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PDV Thomas.

J'étais dans ma chambre. C'est bien ce que je pensais, cette maison avait été détruite, mais pas le monstre qui y vivait.

Pourquoi avoir vendue cette maison à une si belle jeune fille. Bref, tout ce que j'espèrais, c'est qu'elle ne lui arrive rien.

Je me leva de mon lit et m'approcha de la fenêtre qui faisait face à la demeure des Thompson. Elle semblait vivante, en fin, que quelque chose la faisait respirer, penser, bouger et muter même.

Je me passai la main droite dans les cheveux... Ouais, j'ai des tiques quand je me concentre. Je tournai les talons et m'allongeai.

Je fermai les yeux... Et mes souvenirs m'agressèrent sur le coup. Je me souviens de mon chien, je ne le trouvais plus. Mais les nuits je l'entendais hurler à mort dans le hangar à bateau*.

Ou alors, quand j'allais aux toilettes et que je sentais... Cette présence négatif, avec une sale odeur**. On dit que les animaux sont les premiers à percevoir ces présences.

Puis vint le tour des enfants, car ils y croyaient et qu'ils étaient fragile. Comme ma soeur, sa copine était une petite fille avec une balle entre les deux yeux... C'était la mienne aussi, elle était même devenue une soeur pour moi...

Je soupirai, et ouvrit les yeux. L'horreur... Tous ces souvenirs, comment j'ai pu les garder en tête?

PDV Angela.

La musique à fond dans ma chambre, limite, je me croyais dans une boîte de nuit, même si j'avais toujours cette peur de l'inconnu qui était dans le couloir.

Toc...Toc...Toc...

Je me rédis en entendant le bruit, je coupai la musique et attendis. Le coeur battant la chamade.

Toc...Toc...Toc...

Putain... La poignet de la porte se tourna et la porte s'ouvrit, celle-ci grande ouverte, je distingua une silhouette imposante.

-AAAAARRRGG...

Oui... C'est moi, quand je hurle. La silhouette s'avança vers moi. Et... Vous allez rire... C'était mon père.

Il me prit dans les bras et me dit:

-Mais qu'est ce qu'il y a ?

Je soupire de soulagement.

-Tu m'a fait peur... Papa!

Il rigola et dit:

-Eh bien ma chérie... La nouvelle maison te fais peur... C'est vrai qu'elle est impressionnante...

-Est ce que tu crois aux fantômes?

-Pfff... Ma chérie, enfin, ça n'existe pas...

-Les maisons hantées? essayais-je.

-Non!

-Les monstres dans les placards...?

-Non plus, écoute, Angela, si cette maison te fais peur...

-Papa! J'ai 19 ans, je te le rappelle...

-Oui, reprit mon père. Mais, moi, quand j'étais petit et que j'avais peur de notre nouvelle maison, mon papa m'emenais dans la salle de bain et on éteignait les lumières... On faisait toutes chose de dans, on se faisait peur, et puis on rigolais beaucoup...

Je regarda mon père, et dit:

-Ensuite, je veux savoir la suite.

-Et puis, une nuit mon père m'y a laissé toute la nuit seul de dans. Et c'est là que j'ai appris que les fantômes n'existent pas. Et puis si il y en avait, ils peuvent pas nous faire de mal !

-Et si un autre adulte me confirme? Demandai-je.

-C'est que ce gars a un gros problème mental...

-PAPA!

Il rigola et me jeta un coussin sur la figure, puis reprit son sérieux:

-Allez, je venais te voir pour te dire qu'on va manger.

-Ah, ok! J'arrive!

Mon père sortit de ma chambre, pendant que moi, je m'ettais mes chausson, je le suivis en jetant un coup d'oeil derrière moi.

J'avais eut l'impression de voir une silhouette.. Mais je m'en fou, je descendit en trombe les escalier pour rejoindre ma famille qui s'activait aux cuisines.

PDV Thomas

Je me mangeait un petit plats préparé devant la télé... Pff, demain casting... J'en ai vraiment pas envie.

Je jeta pour la énième fois un coup d'oeil dans la demeure des Thompson. J'ai faillis m'étouffer! Je laissa mon assiette sur la table et m'approcha de ma fenêtre.

Dans la cuisine, le père et la mère d'Angela préparaient le repas, Celia lisait, Will et Dylan jouaient sur la X-Box, James et Angela mettaient la table.

Mon estomac se noua... Ils étaient tous là, mais en haut... Je lève la tête pour observer la fenêtre de leur grenier. La lumière était allumée.

Et quelque chose bougeait, c'était une forme humaine, j'ouvre ma fenêtre et me concentra sur la forme. Mon coeur battait la chamade.

La forme bougea, et je la vis distinctement. C'était une petite fille. Elle avait les cheveux noirs et les yeux noirs aussi. elle était pâle... Et... Sur son visage, il y avait un trou... Profond.

Je savais se que c'était, ce n'était pas humain, non, cette fille n'appartenais pas à notre monde. je connaissais son nom.

C'était Allison. Alisson Defeo. La fille tuée dans le placard par son propre frère. Elle me sourit et me fis un signe amical.. Non, elle n'était pas mauvaise.

Elle n'avait rien de mauvais, en tout cas pas pour moi, elle se souvient de moi sa me touche. Avec Ava, ma soeur, on jouait souvent ensemble.

Allison m'avait dit un jour que j'étais comme son grand frère et qu'il fallait que je la protège. Je l'ai fait, malgrè ma peur, j'ai acheter la maison pour la surveiller.

Je regarda la famille Thompson pour être sur qu'ils ne me voient pas et fis un geste amical envers Allison. Elle rigola et s'estompa. la lumière de la chambre s'éteint.

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DANS LE FILM

Dans mon histoire, Thomas incarne le petit garçon blond que vous pouviez voir. (Elle vient du film la photo) À ses côté, il y a un fantôme. Il ne le voyais pas, mais le sentais.

C'était la nuit où le petit garçon est partit aux toilette seul.

*Dans le film, le beau-père avait fermé le hangar à bateau. Pourtant une nuit, il la retrouva ouverte, il y rentra avec sa hache car il avait soupsoné un voleur ou autre. Le chien l'avait surpris par derrière.

Le père s'est retourné et a tuer le chien à plusieurs coup de hache, puis a jeté le corps dans l'eau. L'âme du chien y hanterais les lieu (Dans le film)

C'est pourquoi, Thomas entendrait le hurlement de son chien dans le hangar sans le trouver pour autant.

**Comme vous pouvez le voir sur la photo, Thomas se remémor le jour où, étant petit, il était allé seul aux toilette la nuit.

En faisant sa commission, il ne quittait pas du regard le couloir qui était sombre et noir. Dans le film on peut entendre les grincements de la maison.

Quand il se retourne pour se laver les mains, il ne quitte toujours pas du regard la porte. Il essaya d'alumer le robinet, sans succés.

C'est là que la caméra se tourne pour montrer la chose qu'il sent le regarder. Le garçon ne le vois pas. Puis il repart en courant sans se laver les mains, de peur.

AmityvilleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant