Be different

Chapitre 6

-Le jeu du pendu est bien, il nous enseigne qu'en disant les mauvaises chose on peut mettre fin à la vie de quelque' un -

CHAPITRE 6 

Je n'ai pas encore énormément parler à Valentin, Adèle et Liam.
J'espère qu'ils vont m'accepter.

Milena - Je veux une glace à la vanille moi !! Et toi Summer ? 

moi - Euh .. Chocolat ...

Valentin - Arrête d'être autant gênée comme ça, ça devient franchement agaçant. dit-il sur un ton sec

Sa phrase m'avaient transpercée le coeur.

Sam - Valentin !! Elle essaye juste de s'adapter ! 

Valentin - Bah quoi ? c'est vrai. Elle fait sa petite vitime sur sa chaise roulante, j'ai bien vu son petit jeux. Toute façon c'est bien connu, les petites peste handicapée qui profite de leur handicape auprès des autre personnes. Pfff, elle me dégoûte. Même toi tu croies à sa comédie débile. Tu me déçois, je te croyais plus malin. En fait t'as juste pitié d'elle, t'es un lâche.

Sam - Tais toi !! Tu ne sais rien d'elle d'où tu juges ? Et qu'est ce qui te prouve que j'agis par pitié ? 

Milena, Liam et Sonia semblaient gênés de la situation tandis que Adèle se tenait fièrement au côté de Valentin alors qu'il y a quelque minute elle était encore gentille.

Les paroles de Valentin m'était allée droit au coeur.
Alors je ressemble à ça ? 

Une pourrie gâtée  

Hypocrite ? 

Se servant de ce qui me gâche la vie ? 

Les larmes dévalaient sur mes joues en silence.
Sam criait sur Valentin qui tentait tant bien que mal de se défendre.

Je ne suis même pas capable de me défendre toute seule.

Il a raison. Je fais pitié.
Je veux courir.

Et avoir ce sentiment de liberté

Mais je ne peux pas, je suis condamnée.
Sam se retourne vers moi, je n'arrive pas à affronter son regard. 
Je me décida de partir.

J'essaye de rouler le plus vite possible.
Je veux juste partir et fuir comme une lâche.

Mais le pire, c'est que je ne sais même pas où je vais et, sur le moment, je m'en contre fiche.

Sam m'appela plusieurs fois et tout ce que je trouva à faire c'est accélérer la cadence.
J'essaye d'aller le plus vite possible.
Les larmes dévale sur mes joues tandis que les paroles de Valentin se répétaient sans cesse dans ma tête.

J'ai envie de balancer ma chaise et de courir, courir jusqu'à ne plus avoir de force.
De déverser toute cette haine, toute cette tristesse que j'ai en moi.

Quelqu'un me bouscula, ma chaise tomba et moi avec.

homme - TU NE PEUX PAS FAIRE ATTENTION ?! 

moi - Désolé ... dis-je entre deux sanglots.

il donna un coup de pied dans ma chaise et partit.

Je suis seule.
Et perdue.
Je ne peux m'en prendre qu'à moi même.

Il y a des escaliers à quelque mètres de moi.

Je fis de mon mieux pour me tirer jusqu'à ceux ci.
Je pleurs encore et encore.

Je maudis mes parents de m'avoir envoyer ici.
Sam, mon propre grand frère, a pitié de moi.

Exactement comme je le craignais. 
Je suis là, sur les marches d'escaliers, et j'attends.
Que quelqu'un
N'importe qui 
Vienne me chercher.

Je suis perdue, je pleurs, ma chaise a quelque dommage. Rien de bien grave.

La nuit commence à tomber.
Je me met à avoir peur et chaque petit bruit me fait réagir.
Je pris pour que Sam vienne me chercher.

Je me réveilla doucement.
Je mis un moment avant de me rendre compte où je me trouve. 
Dans ma chambre.
Enfin celle de chez ma tante. Je ne comprends plus rien ! Hier encore j'étais sur les marches d'escaliers en train de pleurer.

Quelqu'un m'aurait retrouver ? 
J'inspecta ma chambre et remarqua ma chaise roulante juste à côté de mon lit. J'ai encore mes habits d'hier.
Je me relève a l'aide de mes coudes avant de me glisser dans chaise roulante.
Je me déplace jusqu'à la salle de bain et me mis face au miroir.
Je pense que c'était la salle de bain de mon oncle car tout y est plutôt bas et accessible pour des personnes telle que moi.

Je me mis face au miroir et j'y vis mes yeux, enflés par les larmes d'hier soir. 
Mais comment suis-je arrivée ici ? 
Je pris un bain difficilement et mit les habits que j'avais pris c'est à dire : Short avec un débardeur bleu clair.

Puis je me dirige vers la cuisine.
Ma tante s'y trouve , elle cuisine.

moi - Bonjour , je peux vous aider ?  

Amanda se retourna et m'arbora un joli sourire.

Amanda - Non c'est bon ! Ne t'en inquiète pas !

moi- Vous êtes sur ? J'aimerai bien me rendre utile. 

Amanda- Si tu veux tu peux faire la cuisine avec moi se soir ? 

J'hocha de la tête et lui souris.

moi- Comment suis-je revenu ici ?    

Amanda- Hier , Sam est rentré complètement paniqué et m'a expliqué en quelque mot que tu étais partie en pleurant , il ne m'en a pas expliquer la raison. Il a appelé ses amis pour savoir si ils t'avaient vu et il est partit sans me donner des explication. Tout ce que je sais c'est que quelque minute plus tard il est revenu avec toi dans ta chaise roulante endormie.

Je suis reconnaissante envers ma tante de ne pas me demander des explications.
Je lui en donnerai bien , mais la je n'ai pas la force de tout raconter.
Alors comme ça c'était Sam qui m'avait retrouvée.
D'ailleurs où est-il ? 

A ce moment la Sam entra dans la pièce.

Sam- Hey Summer ! Ça va mieux ? 

Je baissa un peu la tête pour ne pas qu'il voie mes yeux enflé.

moi- Salut , oui et toi ?

Sam- Oui oui ! Bon je vais dehors !

Amanda- Tu vas où ?

Sam- J'ai des choses importante a faire. Dit-il avant de partir.

Des choses a faire ? 

Et moi , qu'est-ce que j'allais faire ? 

Ma tante me servit des crêpes , je mangea et alla dans ma chambre , cherchant quelque chose a faire.
Je dessina un moment , normalement je dessine la nature mais la tout ce que je trouvais a dessiner ce sont les portraits de Milena , Liam , Erwan et Sam. Il faut dire qu'ils sont plutôt loupés ...

Soudain je reçu un message de mon téléphone à peine rechargé.
Oui j'en ai un, je ne l'utilise que quand je tombe de ma chaise roulante et que j'ai besoin d'aide. 
C'est un message de Erwan.

Comment a-t-il eu mon numéro ? 
Et comment ça se fait que son numéro soit enregistré dans mon téléphone ?
Je fouilla un peu et j'y trouva le numéro de Sam et ceux de tout le monde.
Peut être que pendant que je dormais quelqu'un me les avaient enregistrés. 

J'allais sortir de ma chambre quand la sonnerie de la porte se fit entendre.
Tout ce que je pus entendre ensuite me glaça le sang.
Je connais ces voix.
Ces voix que je déteste tant.

Ce n'est autres que celles de mes parents.