Chapitre 19

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- Viens... entendit Camélia assise sur le lit, de la part de Steeve maintenant assis à table, dans un ensemble de culotte et chemise légère, qui lui allait tellement bien, alors qu'elle était dans une grande robe lui atteignant les chevilles, avec une fente lui atteignant le haut du genou, rouge, mettant en avant sa douce couleur blanche porcelaine.



Elle était toute belle avec les cheveux lâchés, traînant sur le lit dans sa position assise




Il avait tout choisi, même ses petites culottes


Déjà qu'elle avait pris des couleurs, sa forme aussi se faisait présente, avec ces rondeurs à en faire perdre la tête. Ses cheveux aussi poussaient encore et encore, jusqu'à dépasser le bas des fesses et tout ça, n'était pour déplaire à personne, car ça la rendait encore plus belle.



Elle se leva et vint à lui qui la réceptionna sur ses cuisses, la faisant rougir



- J'oubliais, Monsieur Bailey a appelé



- Ah bon ? Quand ?



- Quand tu étais endormi.
Il s'inquiétait du fait qu'on ne soit pas descendu prendre le petit déjeuner.
Mais je l'ai quelque peu rassuré, je crois




- C'est tant mieux alors... répondit-il et dès cet instant, ils prirent leur déjeuner et c'était peu de dire qu'ils étaient affamés




Tous deux terminèrent une heure plus tard



- Je peux te poser une question ? Demanda-t-elle après que les employer soit venu débarrasser et qu'ils ne partent dans ce grand salon sur les canapés, elle étant entre ses grandes cuisses musclées



- Vas-y je t'écoute... répondit Steeve qui savait qu'elle aurait besoin d'être située sur tout ça.




Il la comprenait et c'était la moindre des choses, de la situer



- Il faut dire que je n'ai pas qu'une question au fait. Dit-elle gênée en se pinçant les lèvres, le faisant sourire



- Vas-y... dit-il encore et dans une grande inspiration, elle put demander



- Qui êtes-vous au juste ?
Quand je dis vous, je parle d'Elsa, son mari et toi.



- On s'est déjà présenté non ? Demanda-t-il, la faisant rire légèrement



- Tu sais que ce n'est pas de ça que je parle




- Ceux à quoi tu penses est juste... répondit-il lui faisant écarquiller les yeux




- Vous êtes aussi des mafieux aussi ??



- Les plus dangereux, sans se vanter... compléta-t-il, s'installant mieux dans le canapé.



- Elsa aussi ???




- Pas elle.
Elle est tout sauf dangereuse, tu le sais n'est-ce pas ?



- Oui... répondit-elle.
Mais alors, pourquoi m'avoir sauvé des mains de vos acolytes ou associés peut-être



- Certainement parce qu'on ne fait que dans la drogue et le trafic d'armes.
Rien de plus.
On ne fait pas de trafic d'Homme, encore moins d'organe.
Ceux qui vous ont kidnappés, faisaient partie de nos ennemis qui savaient se cacher sans s'attirer des problèmes.
C'est bien pour ça qu'ils n'ont pas riposté après la mort de leurs hommes dans la pâtisserie d'Elsa.
Ils savaient très bien à qui ils avaient affaire donc, ont préféré se retirer et nous ne les avons pas non plus poursuivis.
Tu ne nous gênes pas, on ne te gênera pas non plus.
Mais dans le cas contraire, on t'élimine



Elle sourit à cette phrase




- Normalement, je devrais avoir peur. Je devrais vous haïr parce que ce sont des trafiquants qui ont tué mes parents, mais je ne sais pas pourquoi vous... je ne ressens que de la gratitude.
Je suis peut-être tombée sur les plus dangereux, mais j'ai été sauvé aussi par les plus humains et je ne vous jugerai pas.
Vous avez trop fait pour moi pour que je fasse ça donc, même si vous devez me tuer, je ne vous en voudrais pas le moins du monde, parce que j'aurais aimé des gens pour de vrai.



- Personne ne te fera du mal.
Ni moi, ni Wyatt, encore moins Elsa.




- Mais pourquoi donc, m'avoir fait croire que je devrais rester ici, parce que ceux qui en avaient après moi, étaient dangereux, alors que non ?




- Je ne sais pas... mais c'était mon idée.
Je voulais probablement m'assurer que tout allait bien.
Te voir prendre ces couleurs que tu as maintenant, cette clarté, cette beauté, te voir vivre réellement, sans que mal te soit fait.



- Et tu l'as vu... non ?




- Oui et je ne veux pas te laisser partir.
Mais si toi, tu désires t'en aller, je ne m'y opposerai pas. T'inquiètes pas pour ça



- Je ne serai jamais en sécurité autre part que près de toi, c'est sûr.
Rien qu'à sentir ton aura près de moi et j'ai comme la sensation d'être invincible.
Si donc tu me permets de rester avec toi, je resterai jusqu'à ce que tu rencontres une femme et dès cet instant, je partirai.



- Pourquoi ? Demanda-t-il



- Parce que ce ne serait pas la respecter non ?



- Non. Pourquoi refuser de croire que cette femme c'est toi.

Son cœur rata une marche

Dans les bras d'un tueur .. [ MAFIA FAMILY 2 ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant