2 - Avec des fleurs peut être ?

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- POV Diluc -

Le lendemain, je fus réveillé par le soleil qui taper à travers ma fenêtre, je grommelais en ouvrant les yeux, Kaeya était toujours là, blottit contre moi, assoupis, il avait les cheveux toujours aussi bien coiffé, preuve qu'il n'avais pas beaucoup bouger cette nuit, cela me rassurait, lui qui passé des nuits agités d'habitude, il avait pus trouvé là une paix, contre moi, il ne risqué rien.
Kaeya ce réveillas quelques instants plus tard, il me fixé de son regard endormis et tellement séduisant, je lui caressa la joue tendrement.

Kaeya :Bonjour...
Diluc : Bonjour bel homme !

Kaeya pouffa de rire avant de me sortir un sourire magnifique.

Kaeya : Ne dit pas de sottises.
Diluc : Je ne fait que dire la vérités.

Je prit une de ces mèches pour l'embrassé, Kaeya me servir un second sourire magnifique, je lui répondit par un petit sourire, puis il ce leva, l'ordre l'appelé sûrement. Lui qui avait travaillé si dur pour les rejoindre malgré sont manque d'œil divin. Il reprit son cache œil et ce mis devant ma coiffeuse ou il fit comme chez lui, prit ma brosse et commença à discipliner ces cheveux bien qu'il n'en avait pas vraiment besoin. Je me redressa, je voulais observé ce spectacle, le silence régnait mais ce n'est pas un de ces lourds et pesant silence, non celui ci était agréable, Kaeya avait un élastique dans la bouche et refit sa couette, qu'il brosser doucement, je me levais complètement du lis pour venir derrière lui, il me tendis la brosse et je la saisit, venant lui brosser avec lenteur ces cheveux, il avait fermer les yeux et lâcha un soupir d'aise, il adorer être chouchouté et moi j'adorais m'occupais de lui.


Ces moments si intimes... Après la mort de notre père et bien quelque années plus tard... me manque, bien que je n'oserais jamais lui avoué. La fête des alizées bas sont plein, il est occupé a gérer l'ordre et moi les ivrognes. Je soupir en regardant Venti dansé sur une de MES tables à faire rire Aether, ces deux là forme une bonne paire... Je les regarde s'amusait, rire et chanté. Je nettoie un verre, puis deux, puis trois... Le temps me semble long et les jours répétitifs, Donna entre dans la taverne, tiens, c'est inhabituelle, elle me regarde, elle à des herbes à lampes à la main, tout un bouquet finement arrangé, elle ce dirige vers moi, je me tourne pour lui faire face, m'attendant à sa question fatidique.

Donna : M-Maître Diluc.. B-Bonjour !

Elle semblait tremblais quelque peu, poliment je lui afficha un rictus, ne voulant pas sourire plus, je n'en avais pas le cœur à ce moment précis.

Donna :J-J'ai pensais que vous ... Vous aimeriez ces... Ces quelques fleurs !

Elle me tendis le bouquet, elle tremblais définitivement devant moi, je lâcha un soupir.

Diluc :Je suis désoler Donna, mais je vais devoir refusé ton bouquet, bien qu'il soit magnifique, il devrait allez vers une personne qui pourrais te répondre favorablement.


Elle reprit le bouquet contre elle, visiblement déçus, Donna me regarda, ou plutôt me questionna du regard.

Donna : I-Il y as quelqu'un dans votre cœur Maître Diluc ?

Diluc : On peu dire sa comme sa.

La jeune femme ce décomposa à mes paroles, mais que pouvais-je y faire ? Je n'allais pas la laissé ce bercé d'illusion éternellement, je me sentais désolé pour elle, partageant la peine que c'était d'être refusé par la personne que l'on aimé... Elle allait partir.

Diluc : Donna, attend. J'aimerais te posé une question.
Donna : Oui bien sur ?
Diluc : connais tu les fleur préférer de tout le monde ici ?

La jeune femme sembla surprise de ma question puis croisa les bras, Donna avait beau être fluette, elle en avait dans la caboche, elle me laissa sans réponse quelque minutes.

Donna : Je pense pouvoir vous donner une liste même.
Diluc : Vraiment ? Cela m'arrangerais peut être.

Donna me souris, elle avait clairement comprit mes intention set malgré la peine que je venais de lui infligé et mon culot, elle me sourit, s'assit au comptoir, me demanda si j'avais de quoi écrire et je lui fournis, elle ne me fit pas l'offense de me demander pourquoi et me nota, dans l'ordre alphabétique et par fleur qui aimait quoi. Sa luis prit a peine une trentaine de minutes. J'en fus surpris et pour la remercié je lui offrit un verre. Elle le déclina poliment et me dit de garder les fleurs en échanges, puisqu'elle insisté, je prit le bouquet et le mis dans un vase sur une des étagères derrière moi, le temps que je me retourne la jeune femme était déjà partit. Je prit la liste et commença à la consulter. Évidement, vous savez déjà qui je cherche. Kaeya... Depuis que mon père est partit, que notre conflit à éclaté, je n'ai cesser d'être tourmenté entre l'amour et la haine. Mais, un petit vent m'as dit un jour que si je continué sur ce chemin j'allais me consumé moi même... et je ne pouvais que le croire... C'est moi qui avait creusé le fossé, c'était à moi de le reboucher. Je demanda à Charles de me remplacé au comptoir et partit voir Flora, Je m'attendais à voir Donna mais visiblement j'avais fait tellement de mal à la jeune femme qu'elle devait sûrement ce cacher pour pleurer.

Diluc : Flora ?
Flora : Ho bonjour Diluc ! Que me vaux ta visite ?

La jeune fille me sourit. J'avoue avoir était extrêmement gêner de lui faire une tel requête, comme Donna elle devait savoir qui préféré quoi comme fleur...

Diluc : Je vais avoir besoin de tes talents de fleuriste. Il me faut un bouquet de Lys Calla...
Flora :Ho !! Je te prépare sa de suite, ce sont des fleur très délicates, elle doivent rester en contact avec l'eau, sa ira pour toi ?
Diluc : Oui pas de soucis.

Elle ce mis au travail et me composa un jolie bouquet avec les meilleurs fleurs, aucune n'avait de pétales fanés ou abîmés, elle mis le tout dans un vase qu'elle me fit choisir, je prit un rouge pourpre, subtile n'est-il pas ?

Flora : Par contre sa va te –

Je lui posa une bourse de 5 000 moras devant elle et elle ce tue, elle compta et voulus me rendre la monnaie mais je la dissuada d'un regard froid.

Diluc : Pas un mot de cette achat d'accord ?
Flora : Tu as ma parole !

Je prit le vase délicatement et partit, retournant à la taverne, j'attrapais Venti par le col et le tirais dehors, derrière le bâtiment.

Diluc :Bon. J'ai besoin de toi. Je te préviens que si j'apprends que tu l'as ouvert, je te fume.
Venti : Pas besoin d'être aussi agressif... Que puis-je faire pour toi ?
Diluc : Une bouteille de Dent-de-Lion contre un service simple, marché conclut ?
Venti : Tu m'intéresse grandement ! Mais quel est ce service ?
Diluc : Peut tu allez déposer ceci dans l'office de Kaeya ?
Venti : Je lui dit de qui cela viens ?

Je rougis, et réfléchis à la question sa serait tellement plus simple...

Venti :J'aviserais !

Il me prit le vase des mains délicatement.

Venti : Pour Deux bouteille je fais sa sans que personne ne le sache ~
Diluc : Grr... Tu es vraiment un démon de l'abîme. Va pour deux bouteilles.
Venti : Très bien !

Le barde partit en direction du QG... Désormais, j'avais la boule au ventre.


- POV Venti -

Je vis le rouge au joue du tavernier devant moi, il avait l'air un peu penaud et n'en menais pas large. Mais contre deux bouteilles de Dent-De-Lion je ne pouvais lui refusé ce service, je partit donc, et dans une ruelle discrète me transforma en un simple courant d'air pour arriver a l'office de Kaeya par la fenêtre qu'il avait gentiment laissais ouverte, pas étonnant vus la chaleur ambiante, je reprit forme humaine devant lui, après tout, il m'avais déjà démasqué il y as bien des années maintenant, et contre un peu de compagnie à la taverne il gardé le secret.

Venti : Yoho !

Mon interlocuteur releva la tête, il me sourit de sa mine fatigué, je lui tendis le vase qu'il prit en souriant.

Kaeya : Yoho Venti ~ C'est pour moi ?
Venti : Oui et ce n'est pas de ma part !
Kaeya : Ho, j'ai donc une admiratrice secrète ?
Venti : He bien, sans vouloir t'offensai, c'est plutôt un homme !

Kaeya me souris, il posa le vase sur son bureau et le regarder, il le détaillé même.

Kaeya :J'ignore qui cela peut il être mais il as de très bon goût.
Venti : Après tout c'est le but quand on veut séduire quelqu'un !

Le bleu ria à ma phrase, je lui sourit, attendant la question fatidique.

Kaeya : Toi tu sais qui me l'as offert.
Venti : Bien sur !
Kaeya : Et tu ne me dirais pas qui à tout hasard ?
Venti : He bien...

Je croisa les bras et porta une main à mon menton, je réfléchissais. Après tout, sa serait plus simple de lui dire. 

Kaeya : Venti, s'il te plaît, ne joue pas à sa avec moi, surtout pas en ce moment.
Venti : Oui oui ! Bon. Reste bien assis.

Je sentais que Kaeya ce tendais, il était vraiment nerveux durant cette période de fête.

Venti :Sa vient de Diluc.

Il écarquilla l'œil et me fixa.

Kaeya : Pardon ?!
Venti : Tu m'as bien entendu, cela vient de Diluc, ce vase, ces fleurs, elles sont de la part de D I L U C !
Kaeya : Mais... Il me déteste...
Venti : Disons qu'un courant d'air lui as susurrais de mettre de l'eau dans son vin.
Kaeya : Ho Venti !

Kaeya était vraiment touché de mon intention, en même temps, il est mon meilleur ami, je lui devait bien sa, les deux frères voulaient chacun ce retrouvé mais n'osais pas s'approché.

Venti : Que va tu faire ?

Le jeune Capitaine regardé les fleur avec nostalgie.

Kaeya : Venti ? Et si nous allions boire un verre ?  

Jusqu'à Khaenri'ah. [Kaeluc] [Finit]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant