8 - Son problème

288 17 18
                                    


- POV Kaeya -

Un gnosis hein ? C'est quelque chose à la quel je ne m'attendais pas. Je n'avais jamais pus utiliser quelconque élément avant d'avoir mon œil Divin. Dainsleif a sûrement raison lorsqu'il dit que j'étais endoctriner dans la croyance de Teyvat, cela a sûrement eu de l'incidence sur mon contrôle du Gnosis. Je me tourne dans mon lit, le matin est lever depuis un moment, une horloge de poche sur ma table de nuit m'indique l'heure, je suis étonné que Dainsleif ne soit pas encore venus me déranger. Hmmm, je m'étire, me redresse et regarde le miroir de ma coiffeuse, je vais devant, je n'ai pas mon cache œil, à quoi cela me servira t il de le porter désormais ? Je ne veut plus renier d'où je viens. J'en suis fier. Je reste un moment à regarder mon reflet dans cette glace puis je retourne dans mon lit, je fixe le plafond.

Kaeya : Le temps ? C'est trop vague.

Murmurais-je à voix haute. En effet, c'est beaucoup trop vague, je souhaite du plus profond de mon cœur apprendre à contrôler tout cela mais comment ? Mon père n'est plus qu'une espèce de fantôme programmé par la technologie de Khaenri'ah et est-ce que Dainsleif sais vraiment comment ce truc fonctionne ? Diluc, j'aimerais tant que tu soit là, avec moi, toi tu me serait de bon conseil...


- POV Diluc – Plutôt le même jour -

Voila, on y arrive, Khaenri'ah est en vus. On accoste au port, le soleil ce lève à peine, Kaeya, surtout attend moi, j'arrive. Je n'attend pas que l'on mette en place la passerelle et saute directement sur le quais. La ville est vide. Un bateau est au port, sûrement celui qui as enlever Kaeya ! Je ne préviens personne et commence mon exploration, épée dans le dos, prêt à frapper la moindre chose qui me menacerais. Les heures passe alors que je fouille consciencieusement la ville. Et que j'entends derrière moi le brouhaha créé par Jean et le peu d'hommes qu'elle a emmener. Je commence a m'impatienter quand j'arrive au château et qu'un homme blond me barre la route.

Dainsleif : Qui est tu ? Que vient tu faire ici ?!
Diluc : Et moi qui pensais qu'il n'y avait pas âme qui vive. Je m'appel Diluc Ravngrid. Et je suis ici pour récupérer Kaeya !
Dainsleif : Diluc hein ?

L'homme était prêt à m'envoyait une sorte de boule de magie dont l'élément me paraît obscur, mais à l'entente de mon prénom. Il baisse le bras et me regarde comme si il me jaugé. Je ne baisse pas la garde et reste la main sur ma claymore.

Diluc : Tu as bien entendu. Où est Kaeya ? C'est toi qui l'as enlevé ?!
Dainsleif : hm. Calmons nous, il y as méprise. Je n'ai fait que ramené le Prince en sécurité.
Diluc : Le... Quoi ?

Il n'avais plus l'air hostile, il n'avait pas l'air de mentir non plus. Je rester béa, Kaeya, le prince de la cité déchue ? Il avait intérêt à avoir une bonne explication. 500 ans était passé entre la guerre de la cité et Teyvat. Comment ? Pourquoi ?

Diluc : Ou est Kaeya ?!
Dainsleif : A l'intérieur. Je peux te mener à lui. Je suis sûr qu'il sera combler de te voir.

Il y avait une note d'agacement dans sa voix, en effet, cette homme devait sûrement daté de la guerre de Khaenri'ah, donc devait avoir plus de 500 ans... Ou, plu logique, être un descendant de Khaenri'ah... Alors que je me perdais dans mes hypothèses. Une pensée surgit plus forte que les autres, retrouvez mon Alizé.

Diluc : Très bien, Conduit moi.
Dainsleif : Suis moi.

Il me conduit devant une chambre mais elle était déserte. Le blond s'excusa et fit l'hypothèse que le '' Prince '' devait être lever. Vus l'heure, si Kaeya était ici, il devrait être levé oui. Je continua de suivre mon hôte jusqu'à un balcon d'où partait de chaque coter deux immense escalier qui rejoignez une terrasse et un jardin royal. Puis. Enfin. Je le vit. Ces cheveux bleu, sa mèche blanche... Je ne laissa pas plus l'occasion à ma tête d'analyser, et je fonça vers lui, criant son nom. Il ce retourna, il n'avait plus son cache œil, mais je m'en ficher pour le coup, l'important était que, enfin, je le retrouver. Je le serra dans mes bras, il balbutia mon prénom comme si il n'était pas sur que cela soit moi, je n'y comprit rien, après notre étreinte si forte, je me reculer d'un pas, le laisse me regarder de la tête au pied.

Kaeya : Tu as mauvaise mine ! Ho Diluc, j'étais si inquiet !!

Il revint dans mes bras, il éclata en sanglot et commença à me raconter les événements de ces derniers jours, bien qu'avec ces larmes je ne comprenais pas tout, je le berçais dans mes bras.

Diluc : Calme toi , Calme toi, je suis là Kaeya, on va en parler de tout sa mais d'abord essaye d'arrêter de pleurer.
Kaeya : D-Désoler...

Il s'éclaircit la gorge et séchât peu à peu ces larmes, et reprit depuis le début de façon clair en me faisant asseoir au pied d'un arbre. Car je site '' je n'était pas prêt '' et non, en effet, je ne l'était pas. Lui, porteur de Gnosis ? Archon du temps ?! Comment était-ce possible, et dans quel galère on était encore embarqué tout les deux.

Kaeya : Dainsleif, le garde blond habillé en bleu que tu as croisé, m'as affirmer que ce n'était pas lui qui m'avait suivis. Je craint que cela nous dépasse cette fois Diluc.
Diluc : Non ! Non je refuse. Écoute moi mon Alizé, rien ne peut nous dépasser. A deux on peut tout affronter. L'abîme, les Fatui et même les Archons ! Est-ce que tu te rend compte ? Tu es un Archon Kaeya !

Kaeya : Certes, mais je ne sais absolument pas comment utiliser ce pouvoir ! Comment le débloqué.
Diluc : On trouvera une solution, on trouve toujours une solution non ?
Kaeya : Oui. C'est vrai.

Il me souris. Ce sourire qu'il n'adresser qu'à moi, j'étais heureux de le voir comme sa. Il était déterminé, un peu perdu mais qui ne le serait pas à sa place ?

Kaeya : Il faut que je te montre quelque chose !
Diluc : Encore un mystère d'ici ?
Kaeya : Entre autre.

Il ce leva, et me tendis la mains, je la saisit et me releva, on partit en direction de la foret et on finit par tombé devant ce qui me sembla être une statue.

Diluc : C'est ?
Kaeya : Kaeron. Mon père biologique.

Je serra la main de Kaeya, pour lui j'avais eu espoir que son vrai père soit vivant, mais visiblement, il vis la même chose que moi. Nous somme deux orphelins. Pas le temps de m'appitoyé que Kaeya ce met à parler à la statue.

Diluc : hey mon cœur, tu disjoncte ?
Kaeya : Tu va voir. Papa, s'il te plaît, c'est lui dont je t'ai parler !

Je crut hurler en voyant un homme ce formé a partir de rien devant moi.

Kaeya : Je sais, sa fait toujours sa la premiére fois.

Kaeya tenté de me rassuré avec cette phrase, je suppose que lui aussi il avait du avoir ce sentiment. Kaeron : Alors mon grand, C'est lui ton petit ami ? Kaeya : Exactement, il est venus jusqu'ici pour me trouvé. Diluc : O-Oui. Et d'ailleurs, Jean est là aussi. Kaeya : Elle doit te chercher enfin bref on verra sa après, la blondinette peut attendre encore un peu ! Kaeya ce tourna vers son père.Kaeron : Bon si tu es là c'est pour me dire au revoir ? Kaeya : Je vais en effet rentrer à Mondstadt, mais avant... Pour le Gnosis.Son père lui coup net la parole. Ce qui me fit tirer la gueule en biais au vus de ces dires.Kaeron : J'ai assez donné, c'est à toi maintenant de te débrouillé avec ce truc. Mais méfie toi, tout les Archons ne sont pas pour l'existence de ce Gnosis. Et c'est bien à cause de cela que Khaenri'ah est tombé, il y as 500 ans. Prend garde à qui tu confis ce secret. Même nos amis les plus proche peuvent devenir nos pires ennemis, encore pire, ils sont meilleurs ennemis car justement il nous connaisses beaucoup trop bien. J'ai fait la bêtises de me confier à Barbatos. Et vois comment cela à finis.Mon sang ce glaça. Venti ? Responsable de la guerre d'il y as 500 ans ? Non. C'était impossible. Comment ce barde de pacotille pourrez provoquez un tel ouragan ? Kaeron : Méfie toi des Archons. Méfie toi de tout le monde. Être un Archon est une grande responsabilité, mais c'est aussi un grand danger. Je ne suis pas fier de t'avoir confier cela mon fils. Mais je n'avais pas le choix pour te sauvé, il le fallait. Et je ne vais pas te dire de rester ici. Rien ne nous dit que les Archons de Teyvat ne vont pas venir fouiné un jour ou l'autre si tu rebattit cette cité. Pire encore, qui ne nous dit pas que les Archons de l'univers ne vienne pas jalousé ton pouvoir. Je vis Kaeya ce figer, non seulement il n'avais pas de réponse. Mais en plus, son père le mettait face au plus grand danger de mort possible. Et encore, il ne sait pas que Venti et Barbatos sont la même personne... Ho non ! Diluc : Kaeya... Kaeron : Je suis désoler.Kaeya : Ho moins c'est clair, tu ne peut vraiment pas m'aider?Kaeron : tu doit chercher en toi mon grand.Kaeya : Je ferais de mon mieux alors. Père inutile !Il lui tira la langue, il avait l'air de bien le vivre finalement, Kaeron se mit à rire et disparus après nous avoir dit au revoir. Mais je devait mettre Kaeya en garde maintenant !

Jusqu'à Khaenri'ah. [Kaeluc] [Finit]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant