DISCLAIMER : beaucoup de documentations à été effectué pour que ce que j'avance soit véridique. Mais si il y a des erreurs merci de m'en faire parts.
Bonne lecture.Le soleil était à son zénith.
Il cognait fort et avec ardeur, enflammant tout mon corps qui était déjà aussi brulant que de l'eau à 100 degrés.
Le peu de transpiration que j'avais se faisait à grosse goutte.
De ce fait, chaque fois qu'il y avait ne serait-ce qu'un peut de vent, de longs frissons s'emparait de mon corps et me faisait trembler.Tout mon corps m'élançait de douleurs, et chaque pas demandait un effort insurmontable. Même une grand-mère avec de l'arthrose avait une meilleure démarche que moi.
J'étouffais sous la chaleur, et respirais avec beaucoup de mal.
Etait-ce la fin pour moi ?
Je ne savais pas exactement où je me trouvais ni comment j'avais atterris ici.
La dernière chose dont je me souviens c'était que je m'étais réveillée sous une tente, enchainée comme une chienne avant de m'évader.
Mais je me souviens pas ce qui s'est passé avant.Une chose était pourtant sûre, j'étais loin, très loin de chez moi. Et j'étais désespérée.
Il n'y avait rien. Rien à l'horizon. Et je n'entendais rien, hormis ma respiration haletante et le souffle du vent qui emportait un peu de sable avec lui, m'en mettant parfois dans les yeux.
Tous se ressemblait dans ce désert. Et les bourrasques déplaçaient facilement le sable, recouvrant mes traces de pas très vite. C'était impossible de savoir si je tournais en rond.
Je n'avais pas manger depuis 4 jours et bu depuis hier matin. Ça s'annonçait très mal.Je vis deux énormes rochers qui faisait un coin d'ombre. Je m'y assis après avoir vérifier qu'il n'y avait aucun danger.
C'est alors que je vis un petit scorpion avec une grande queue se promener juste devant moi. C'était les plus dangereux dans le désert.
Avec une grande précaution, je le saisit et retira le dard.« Bon quand faut y aller faut y aller , marmonnais-je».
Je le mis dans ma bouche et croqua à pleine dents.
C'était infecte. Mais c'était des protéines. Et qui dit protéine, dit énergie.Dans le désert la nourriture est rare. Pour survivre, il faut manger ce qu'on trouve. Y compris les serpents, les scarabées et autres scorpions. Mais il faut toujours faire attention à la proportion. Il faut manger petit bout par petit bout, car la digestion fait perdre des litres d'eau. Plus vous perdez de l'eau plus vous êtes susceptible de faire un malaise et de mourir.
Adossée aux rochers, je repris lentement mes forces.
Je regardais le soleil qui était aveuglant. J'attendrais qu'il décline avant de continuer.
Ma priorité était de trouver de l'eau au plus vite.
Dans le désert, la température peut atteindre jusqu'à 55 degrés. Avec cette chaleur, le corps peut perdre jusqu'à 20 litres d'eau par jour.
Avec juste moins de 2% d'eau dans votre corps, vous perdez 20% de vos capacités physiques.
Et sans eau, votre cerveau, votre cœur et vos reins cessent de fonctionner.
Autrement dit, dans le désert, si vous n'avait pas d'eau, vous avez deux jours, sinon vous mourrez.Je regardais aux alentours. Il n'y avait que des dunes de sables.
Aucun moyen de s'élever pour repérer ne serait-ce qu'un cactus, des branches d'arbres, des plantes ou même une rivière asséchée.
Et le comble du comble, aucune trace de passage d'animal.
Pas d'Oryx, d'Addax ou de Fennec.
Mais ce qui était plus inquiétant, c'est qu'il n'y avait pas l'ombre d'un cadavre.
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À fleur de peau [Kakashi FF]
FanfictionPetite fanfiction sur Kakashi est une histoire sur laquelle je travaille. Qu'est ce qui passe quand le destin de deux personnes est lié depuis toujours ? Que l'une à su remonter la pente et qu'elle rencontre une personne limite suicidaire encore pl...