chapitre 10

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- qui suis je?  Elle a peut être raison. Non elle ne doit pas me faire douter. Mais je ne devrait pas prendre ses propos à la légère  se pourrait qu'il qu'elle est raison .
Non  en aucun cas .
C'est vrai que je me sens  bien dans ce monde j'ai l'impression d' y  appartenir , mon coeur me le confirme . tous que j'ai toujours rêvés 'y trouve mais ce n'est pas mon monde . Je doit trouver un moyen de rentrer chez moi . C'est mieux ainsi qu'elle croit que je suis l'une des leurs mais je suis déçu due fait  qu'elle ne me crois pas.

                         *

- allé Ercella réveille toi , il fait jour .

- hum ! laisse moi dormir un peu Maera . Voix endormie

- non lève toi.

- Oui cheffe .

- Je m'excuse de vous avoir hurlé dessus .

- c'est pas grave tu me rappelle vaguement ma mère on passe nos journée à se chamailler .

- tu as de la chance . voix triste.
Aller va prendre un bain et met çà .

- ok .

- waouh!  Vous êtes vraiment belle Ercella.

- tu trouve.

- assis toi que je te coiffe.

- tes cheveux sont magnifique .

- les tienne aussi j'adore leurs couleurs gris de perle .

- merci ; je pense à me les faire couper elle sont trop longue, elle commence à me déranger.

- non ne les coupe surtout pas, elle te vont bien mais pourquoi tu ne les détache pas.

- elle me gêne.

- aller s'est à ton tour assis toi.

- non!

- siiiiiiii .

- qu'est ce que tu fais?

- essai de te faire la même coiffure que moi mais j'y arrive pas . C'est trop dure  .

- c'est pas grave je vais te guidé .
Broche les d'abords, ensuite tu trace un cercle sur le côté tu l'attache et après.... Aïe !

- oh désolé ! j'ai pas fait exprès de tiré les cheveux . Désolé je tes  fait mal.

- ce n'es rien juste recommence .

- non j'ai peur de te Blessé. Articula je

- Bonjour

On se retourne pour faire face à nôtre interlocuteur .

- Bonjour princesse héritière , comment vous allez.

- bien Maera et toi .

- cv  .  excusé moi je vais vous apportez ton déjeuné Ercella.

- vous m'en voulez .

- vous demandez ou vous confirmez . Répondis je sur une ton agressif

- je crois avoir ma réponse .

- bon cv pas besoin de tortiller du cul pour chier droit . Répondis je  sèchement

- je savais pas que vous étiez grossié. En temps qu'amie je m'inquiète pour vous  , je tiens vraiment à vous  alors je ne veux pas qu'il vous arrive Malheur .

- amie. Redis je un peu étonné. Vous me considèrez vraiment comme une amie.

- quand on a pas la chance d'avoir une sœur Dieu nous donne la chance d'avoir une vraie  amie comme la mienne. J'ai l'impression de te connaître depuis toujours. Comme si tu étais  de ma famille.

La Légende d'osfaltonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant