chapitre 15

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- je ne sais rien de toi Maera,  parle moi de toi.

- de moi qu'est ce que tu veux que je te dise la vie n'a pas était rose avec moi . J'etais la femme de chambre de la princesse avant vôtre arrivé j'ai 17 ans ça fait trois ans que je travaille dans cette palais qui ma accueilli quand j'en avait plus besoin et mère d'une fille de 3 ans.

- qu'oi tu as une fille,  toi ne te moque pas de ma guelle.

Son visage s'assombrie sur le coup.

- qu'est ce qu'il y a Maera  ?

Elle commence à pleurer.

- quoi mais..

- c'est facile pour toi de parler parce que t'es pas à ma place tu es né avec une  cuillère  en d'or dans la bouche .

- Maera excusé moi je suis ....... .

Elle s'enfuit.

- Maera ! Mais qu'est ce qu'elle a ? Ai je dis quelque chose de mal . il vaut mieux que je la reste seule du moins le temps de se calmer . Bon je vais faire un tour au bibliothèque je crois que j'ai aussi besoin de me calme .

Je suis dressé devant une grande porte que je me demande bien comment vais je  l'ouvre , je pousse et  rien,  je pousse encore plus fort mais toujours rien et ça commence à m'énerver , je donne un coup à la porte ,  elle s'écroule par terre et une sorte de champ magnétique se dissipe sous mes yeux. Maintenant j'ai le champ libre mais trop surpris pour faire un pas. Qu'est ce qui c'est passé? Aie je moi qui est fait ça si oui comment  ? Non non ce n'est pas possible peut être que s'est une sorte de code ou quelle chose de se genre , oui oui ça doit être ça . J'entre dans la bibliothèque qui est rempli de livre, d' encyclopédie, de parchemin ......  ya des milliers d'étagères rempli jusqu'au dent c'est juste waouh!  Je n'es jamais vu autant de livre.
Mais c'est pas un peu bête là comment ils font p........ .

- c'est facile le bibliothèque est magique il suffit de dire quelle genre de livre on veut et ils viennent à toi c'est pas si compliqué.

Je suis tétanisé ya t'il un fantôme dans ce bibliothèque qui lie dans les pensées. Je me tourne pour faire face à mon interlocuteur.

- vous! Comment vous êtes entré?

- vous m'avait trouvé là de toute façon  ça aurait été facile vue que vous avez démoli la porte.

Quelle salaud ce mec il se permet de se moquer au lieu de m'aider .

La porte se refait elle est devenu  intacte je dirais même mieux que le précédent.

- si vous continuez à m'insulter de la sort je ne risquerais  pas de vous aider la prochaine fois.

- comment savez-vous à quoi je pense .

-  je lie les pensées ouh c'est pas bien de blesser ses amies , la pauvre j'ai pitié d'elle.

- vous la fermez ?  Et arrêté de fouiner dans mes souvenirs .

- et sinon qu'oi ?

- c'est qu'il faut faire gaffe , autrement ça vous attire des bricoles messieurs j'ai une cousine.





- juste ce qu'il  me faut elle sera idéal

La Légende d'osfaltonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant