chapitre 31

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Je suis resté planté là comme un arbre  . Je perd mon ami petit à petit  on s'éloigne chaque jour un peu plus . Et ces derniers temps il passe toutes sa colère sur moi à l'entraînement. J'ai l'impression que mes os son broyée.  J'ai des bleus partout quand je suis en retard il me donne plus d'exercice les uns plus dure que les autres la merde .

- l'humaine ne croit tu pas qu'il est temps de mettre ta fierté de côté  . la délicatesse des gestes réveille celle des sentiments .

- quelle imposture. Repliqué je

- quelle est la plus grande imposture du monde la voici : à un moment donné de nôtre existence,  nous perdons la maîtrise de nôtre vie , qui se trouve dés lors gouvernée par le destin.  C'est la qu'est la plus grande imposture.

- je crois comprendre ou tu veux en venir kirin .

- alors file

J'accoure vers la falaise même si j'ai toujours été orgueilleuse et si je veux pas mettre en péril nôtre relations faut que je mette ma fierté de côté.  Faut que se barrière qui s'est installé entre nous avec le temps céde  . Arrivé en haut du falaise j'aperçois une silhouette de loin adossé à un arbre   . Je l'observe tranquillement et en  silence .

- c'est bon la vue est bonne  tu m'as assez matté  . Exprima t'il

Zut alors il m'a remarqué .

- salut dis je honteuse.

- t'es pas tres  discrete   .

- normal je  suis pas une voleuse.  repondé je

- sais  tu que tu en ressemble . Balbutiant le jeune homme

- eh tu me traite de voleuse moi Ercela  .

- non non pas Ercela mais la vieille fille à coté moi et surtout ne te sens pas offenser .

- toi ! Dis-je énervé 
je lui saute dessus pour lui montrer ma rage et à ma plus grande surprise il éclate de rire .

- pourquoi rigole tu comme un fou.

-  toujours en rigolant   ça m'avais manqué.

J'étais choquée après quelques instant je répondue  tête baissée  .

- À moi aussi .

Je sais que j'ai foiré.  J'ai mis nôtre amitié en péril  et je le regrette amèrement si  tu savais.  Je ne support plus cette distance entre nous.  Tu es mon ami et je ne veux pas te perdre . Mes propos ton blessé et j'en suis consciente et je tiens à n'excuser . Je t'ai dit des choses horribles  même si je ne le pensée pas .

Un silence de mort s'installe avant que je ne décide de le couper

- Agy écoute j...... .

- j'ai déjà écouté.

- comment ça. Dis-je d'un ton d'incompréhension

- moi aussi je tiens à m'excuser pour la manière dont je t'es traité ces derniers  jours   . Je ....... .

-  que je te pardonne d'avoir li mes pensées sans autorisation ou la manière dont tu ma traite.
merci mais je te pardonne pas pour avoir  osé lire mes pensées pouf .

- fallait pas  penser.

- entend  t'es sérieux tu as lue mes pensées  .

- disons suffisamment pour entendre je ne supporte plus  cette distance entre nous  dit il en imitant ma voix

- vraiment toi.

Je lui saute à nouveau dans les bras et commence à pleurer.

- je suis désolé sniff  .

Dans la peau de agy

Même si je suis un valere guerrier qui ne se laisse pas prendre par ces sentiments néanmoins je ne reste pas inssensible à ces dire disons plutôt pensée.  Et je m'amuse de  la mal mener , de  l'enerver .

- entend t'es sérieux tu as lue mes pensées.

- disons suffisamment pour  entendre  je ne supporte plus cette distance entre nous  dit il en imitant ma voix

- vraiment toi.

J'étais choqué , bouge bée quand elle ma sautée dans les bras.  J'étais comme paralysé je ne bougé plus j'ai voulu la serré mais j'en suis pas arrivé . Elle m'a relâchée après s'être rendu compte de mon gêne.

- désolé je ne voulais pas te.. .

- ce n'est rien juste ça m'a fait toute bizarre de t'avoir dans mes bras  depuis la mort de ma cousine je n'es ressenti ni amour ni affection de la part de personne alors je ne suis pas habitué à çà . Dès fois tu me fait penser à elle et se sentiments que je ressens me fait parfois peur  et j'essai de le stopper en changeant d'attitude   avec moi . Même si tu me fait penser à elle , t'es pas elle et tu ne le seras jamais. Et cette peur m'empêche de m'attacher à qui que ce soit .

Je restere silencieuse pendant son  reçu et écouté silencieusement  .

- moi je suis là je ne te quittera jamais  .

Après quelques minutes de silence je décide de poursuivre

- Je te considère comme un frère ce frère que j'ai toujours rêvée d'avoir

La Légende d'osfaltonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant