chapitre 23

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Devrais je  lui dire ce qui c'est passé hier non que va tu lui dire Ercella . Oh agy tu sais  hier quand tes partis j'arrivais pas à dormir à force de penser à toi je me suis posé devant mon  miroir en me demandant si tu dormais encore  et je tes vue à moitié nu dans mon miroir .

- ça ne se fait pas d'observer les gens  pendant leur bain Ercella. Tonne Agy

- qu q quoi! non j'ai rien fait moi .

- à oui!

Je suis cuite j'oublie qu'il lit les pensé , pervers et si je pense à quelques choses d'embrassante .

( eh Ercella ce que tu faisais n'était pas embarrassante tu l'observais juste pendant son moment d'intimité ah ha ha ha ) disa kirin

Je deviens rouge comme une tomate

- la ferrrrrrrme .

- tu parle à qui? 

Il reprend son air glacial.

- non non pas à toi  la ferme c'est pour les animaux et toi t'es pas un animal mais vous ressemble un peu à un renard.

Son regard s'assombrit .

- Non non je voulais dire que vous êtes beau, rusé , fort comme un renard hi hi hi . Je  ris jaune.

Le silence reprend sa place .

- et cette pendentif  quand allez  tu m'as parlé.

- c'est une cadeau de ma mère . À l'intérieur du saphir  y'a nôtre photo.

- je  comprends.

- tu veux voir tien regarde.

- ne te sens pas obligé.

Je m'approche de lui et lui tend le pendentif.

- il est beau. C'est la première fois que je vois un saphir.

- ah vraiment.

Il ouvre le saphir.

- waouh ta mère elle est belle et t'es son portrait craché .

- oui je suis presque jalouse de sa beauté.

- ah je te comprend elle est mille fois plus belle que toi. Qu'est ce que je fais on peut pas comparer l'incomparable .

- toi je vais te tuer  . Je m'exclame vénère

- va j'y je pourrai pour une beauté pareille . Je fais le serment de l'épouser un jour.

- mais arrêté tu parle de ma mère là et que ferai tu de mon père.

- quoi ce vieux je ne ferai qu'une bouchée de lui. Il n'a rien à faire avec une aussi belle femme . Tu es sur qu'elle est ta mère on dire que tu es plus vielle qu'elle incroyable .

- toi fait tes prières .

Je lui saute dessus, on a dévalé la forêt, on s'est roulé dans le sable comme de petits enfants qui se battent et je lui est donné une bonne leçon

- tu fais moins le fière on ne parle pas de ma famille  comme ça.

Il se mets dans un fou rire et je l'accompagne.

- je me souviens qu'un jour je les traité de vielle dame qui ne s'habillé quand tricot et elle ma foutu la honte en me réponda qu'on était du même génération.

Il se remets à rire de plus belle

- elle porte du tricot.

- non j'ai voulu la piquée et au final c'est moi qui à était piquée .

- tu commence vraiment à devenir  lourde descend de ma torse.

Le feu de la honte habite maintenant mes joue j'avais oublié cette détail.

- je te croyais plus solide que ça,  je suis dessus .

- ah oui on va voir qui de nous deux est un lache.

- quoi .

Il me renverse et se couche sur moi .

- eh tu m'écrase .

- déjà la vielle ne peut pas tenir 2 secondes  .

On a passé des heures ensemble  à s'amuser dans cette forêt puis on est rentré et se rendez-vous se soir .

La Légende d'osfaltonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant