HeIsTormented

Chapitre 3

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Et à chaque fois qu'il m'ignore j'ai envie de me jeter d'un pont. Je vous jure que ça fait mal.

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Je me tortillais gêner de cette situation délicate, ne trouvant rien a ajouter tandis qu'il ne me regardait même pas, je fus étonné de le voir sans aucune émotion, sont regard était tellement froid, et triste en même temps, il avait l'air comme brisé....Pire tourmenté,

«Hmm....je suis vraiment désolé de te déranger et de t'avoir accusé pour rien....

Il émit juste un hmm et sortit de sa poche un paquet de cigarettes et en prend une pour après le déposer a ses lèvres. Je me surpris moi-même en train de regarder ses lèvres magnifiques. Ce n'était pas mon genre de réagir comme ça. Je sortis de ma rêverie quand mon téléphone émit un Bip pour me signaler que j'avais un nouveau message.

DE: KIM

Cailin faut que tu trouves une autre personne pour te ramener, mais vieux rentre dans moins d'une minute!!

Bisous xox

Je soupire et me laisse tomber sur le siège de la voiture. Merde, je me redresse aussi tôt et me retourne vers le garçon qui me regardait d'un air glacial qui me fit froid dans le dos.

«Hmmm...Je suis vraiment désolé, mais mon amie m'a lâché, donc je ne peux plus rentrer chez moi !

Il ouvre la fenêtre de sa voiture et jette le mégot de cigarette par la fenêtre, je pus remarquer les tatouages qui recouvraient la totalité de son bras. Je grimaçais de dégoût, je n'étais pas du tout fan des tatouages encore moi quand ça recouvre la moitié du corps. Il remit à me fixer durement avant d'ajouter avec son éternel ton.

-Et en quoi ça me regarde !?

Je rougis gêner de la situation. Je m'éclaircis la voix pour faire disparaître le malaise

-Tu comptes rester là où bouger de ma voiture ?! Il me dit d'un ton froid

Mon sang se glaça directement quand j'entendis sa voix roque, je pris mes chaussures et descendis de la voiture.

-Je....Je suis vraiment désolé....Je...hmmm. Comment une personne aussi magnifique physiquement peut-être un tel connard.

Mon crâne me faisait tellement mal, rappelait moi d'écouter mes parents la prochaine fois qu'ils me diront de ne pas sortir et de ne pas boire.

[....]

Cela faisait a peut près 20 minutes que je marchais toute seul dans la rue, pied nu, cette soirée ne pouvait pas mal tomber, il manquerait plus que je me fasse violer par un tueur en série... Je commence sérieusement à flipper, je sors mon téléphone qui était complètement mort, je soupire et le range. Je vis au loin une sorte de bar, je me demandais si l'un d'eux pouvait me raccompagner chez moi.