Juste Stop!

2/ L'homme et la musique.

Chapitre 2: L'homme et la musique.

L'enfant regarda l'étrange homme allonger dans l'herbe. Harry était peu habituer à voir des gens, surtout ici. Sous l'ombre des arbres, près du ruisseau qui s'écoulait calmement, l'homme semblait dormir. Pourtant, Harry savait que cela n'était pas le cas, l'homme était paisible, d'une paix que seul peu d'Homme peuvent attendre: la félicité.
Harry, malgré son jeune âge, su reconnaître la beauté de la chose, et apresier de loin la rareté de la chose. Le paisible sourire sur le visage de l'homme était beau, peut être le plus beau qu'Harry n'ai jamais vu. Parcequ'il était simple, paisible, qu'il montrait que le monde n'allait pas si mal.

Harry écouta mieux se qui semblait tant enchanté l'homme, le calmé. Et le piano qu'il entendi était doux, et l'enfant savait, il savait que ce serait bien mieux si le piano était vraiment là, et non pas une simple radio où était enregistre le morceaux.
Harry songea que l'homme avait pue écoute, fut un temps, se même morceaux, en vrais, dans un des siège de velours d'une salle de concert comme l'enfant en avait vu à la télé, avant que Dudley ne change pour un dessin animé.

Lorsque le regard de l'homme se porta sur lui, ayant semble-t-il remarquer le regard de l'enfant sur lui, Harry écarquilla les yeux et s'arrêta presque de respiré, comme pris dans les phare d'une voiture. L'homme sembla réfléchir puis tapota légèrement la place d'herbe à ses côté. Harry avait apprit à obéir au adultes, par peur au début, puis comme ici; par habitude. Une salle habitude qui montrait la violence de ceux qui l'éduquait.
Lorsqu'Harry fut assie dans la confortable herbe, l'homme se mit à parler, encore et encore, de son incroyable voix chantente. L'enfant écouta attentivement l'homme parler, apprenant, se pationant pour se qui semblait être là seul chose animant cette étrange Monsieur.

Il écouta bien longtemps, très longtemps, l'homme lui parler de musique. Des grands classiques de toute époque, aux petits morceaux appréciable baroque, en passant par les Beatles et même certaine française. Harry aprecia le cour, aussi long et bourré de bien trop d'information pour son âge soit il, parceque l'homme parlait avec son coeur, ses tripes, et que c'était captivant. Harry aprecia lorsque l'homme changeait de morceaux pour lui démontré ses dires, écoutant la musique, qu'il commençait à aimait.

Cette art l'accrocha bien vite, et il fut terriblement triste lorsque