4/ La rencontre avec le miroir.

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Chapitre 4: La rencontre avec le miroir.

Son visage percuta violament le verre du miroir, il se mordis la lèvre au sang pour évité de hurler de douleur, mais cela ne suffit pas, et un crie lui échappa. On reculait sa face consteller de bout de verre, et déjà couverte de sang, sans doute dans l'espectative de la lui frapper encore une fois, lorsque la porte de la salle de bain où il était s'ouvrit. Un crie d'effroi s'ecchapa de lèvres bien plus habitué aux potin que se type d'exercice.
On dégagea la main au gros doigts qui agrippait ses cheveux pour le laisser tomber au sol, des larmes de sang qui degraingolait ses joues à la place de celle d'eau salé, un sang qu'il savait carmin - même légèrement dilué avec l'eau qu'il pouvait peut-être extirper de ses yeux-, sang qui maculais ses mains mais qu'il ne vit jamais.

Son cousin, criminels de l'affaire, fut chasser de la pièce, alors que sa tante, témointe, marmonait sur la réaction des voisin, et que Harry, la victime, pleurait déjà se qui fut sa vue, ayant peu d'espoir sur la recouverte de se sense un jour ou l'autre.

Sa tante avait retiré le verre du visage de l'enfant, en lui grognant de ne pas crier, ou de le laisser bien loin dans la forêt mourir en se vidant de son sang. Concsiant qu'il le fallait pour sa survie, l'enfant se tut. Il partit loin dans ses pensés blocant l'affreuse douleur pour se dire que quelque années de cela, il aurait hurler du plus fort qu'il put juste pour en finir, mais Harry se passa un morceau de variétés françaises -qui entrait et ne voulait plus sortir de l'esprit de la plus part des gens- dans sa tête et oublia toute pensé maurose et repoussa efficacement la douleur.

Sa tente lui lava le visage, puis lui passa un bandeau sur les yeux. Elle lui fit avaler de quoi passer la douleur en lui ordonnant qu'il se taise et ne sorte plus de son placard.

Harry fut là-bas des semaines durant, le même bandeau imbibé de sang sur les yeux. Il mangait une fois toute les semaines, deux fois moins qu'avant, étant donné qu'il ne pouvait pour le moment pas faire ses corvés habituel, et buvait une fois par jour un verre d'eau.
Lorsqu'il put enfin sortir les Dursley remarquairent bien vite que l'enfant avait guéris et revoyait comme avant.
Il ne pouvait qu'avoir utiliser la magie. Et cela mit son oncle terriblement en colère. Harry fuit dans la forêt, il n'avait qu'un jour à attendre avant que Vernom ne part dans un petit voyage d'affaires et qu'il puisse regarder l'échéance d'encore quelque jours.

Lorsqu'il revint le lendemain, peut après que son oncle soit partit, du courrier était là pour lui et il dut le cacher dans son placard avant de faire toute ses corvés.

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