Juste Stop!

8/ Noises, Mornilles et Galions.

Chapitre 8: Noises, Mornilles et Galions.

Harry regardait partout autour de lui, et écoutait tout se qu'il se disait, essayant de pêcher le plus d'informations possible sur se nouveau monde.
Lorsqu'il arrivèrent au bout de l'allée principal, Harry fut émerveillé par le grand bâtiment de marbre blanc devant lui. Cela a dut être terriblement compliqué de construire ceci tout en se cachant de la vu des moldu.
Car comme lui avait expliqué McGonagall, l'allé sorcière était tout autant cacher que le monde au quel elle appartenait, et le ministère était assez rigide quant au maintien du Secret. Ce qui paraissait à Harry d'une assez grande logique, lui qui connaissait les armes à feu moldu, la chasse au sorcière qu'il y a eu, ainsi que la crainte que leur mystérieux pouvoir pourrait faire apparaître.

Les gobelins étaient les être chargé de l'argent de tout le monde sorcier, et était implanté dans toute les continents. La professeur lui apprit leur statut magique, entant que puissante créature magique doué d'une intelligence pareille ou supérieur, personne n'avait vraiment fait de recherche, à celle humaine, puis leurs statut juridique, et Harry se dit que les sorcier était terriblement stupide.

Il vit du coin de l'œil, un homme quelqu'on que parler comme à un chien, ou même plutôt une machine, à l'un des gobelins des contours, haut perchée sur leurs tabourets. La petit créature aux dents acéré, et aux ongles pointu semblait -et l'était certainement- dangereuse, qui plus ai elle avait un air des plus rusé et intellect, la fonction de banquier leurs allait à merveille, cependant Harry se dit qu'en guerrier il devait être tout aussi redoutable. Harry sentait leurs magie sauvage jusque lui, elle allait dans toute la pièce et on l'a sentait lourde, pesente partout. Harry savait bien que le seul moyen pour que cela se passe comme cela était que les gobelins poussait sur leurs magie pour donner une impression de malaise à tout ces sorcier semblant les prendre de haut.

Harry essaya de voir au dessus du contoir où gobelins faisait ces affaire, mais n'y réussi pas. La professeur toussota mais le gobelin de la regarda pas.

« Messieurs, je ne sais votre titre dans votre communauté, je ne sais encore votre nom, et je vais bientôt apprendre tout se qui nous lie. Je sais cependant que vos dents, vos ongles, et votre sauvage magie, me disuade de tout actes guerrier envers vous. Je ne veux manquer de respect à un être tel que vous et à votre espèce, vous qui pourrait semble t'il me déchiquetée en peu de temps, qui plus ai vous gérez tout l'argent du pays, si se n'ai du monde, magique, se qui me semble particulièrement important dans notre monde assez capitaliste. Cependant, pourrier vous considérez les requêtes que voudrai faire mon accompagnatrice et futur professeur, Mme McGonagall, et la mienne qui ai simplement de l'aisser ma magie respiré un peu car je commence sérieusement à ne pas me sentir bien.»

Harry avait essayer d'être respectueux sans leurs laicher les bottes pour autant, mais il commençait vraiment à étouffer et sa magie n'aimait pas du tout être oppressé dans son encore trop petit corps d'enfant.
Il soupira de soulagement lorsque le gobelin à qui il parlait leva sa magie autour de son petit corps, et laissa sa magie se divertir dans un petit espace autour de lui.

«Merci, soufla-t-il au gobelin.
- Derien, Messieurs. Il est normal que je traite bien le premier sorcier depuis bien longtemps à nous respecter à notre juste valeur, tout en gardent sa dignité, pas comme beaucoup de vos confrères. Sacher aussi qu'avant de perdre la dernière guerre nous auposant à vous, nous étions une grande espèce guerriere qui n'avait encore perdu que peu de conbat et qui était respecter dans tout le monde magique. Aussi, sachez messieurs que je me nomme Galière. Maintenant, que voulez-vous? Informa le gobelin, et Harry se dit qu'il aimait beaucoup ce gobelin et que si toute son espèce était comme lui, il ferait tout pour apprendre la vrai histoire et la vrais force des gobelins.