3/ Magie, musique, et souvenir.

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Chapitre 3: Magie, musique, et souvenir.

Harry traînait lamentablement sa carcasse sanglante et pleine de douleur sous le couvert des arbres, près du ruisseau. Il gémit lorsque l'eau toucha enfin ces lèvres ensanglantés. L'enfant bouillonnait de douleur, pas à cause de coups, il y était bien trop habitué maintenant.
Mais à cause de ce qu'il savait être sa magie, il avait vomis il y a peu de temps, de stresse, de faim, de maladie, de tant de choses qu'il ne pouvait pas vraiment toutes les trouver. Mais le pire n'avait pas été les coups violants, si violants, qui avait suivi, mais ce qu'il appelait maintenant ça magie. Il la contrôlait depuis quleques temps mais il semblait que jusque maintenant elle n'avait pas révéler tout son potentiel et qu'il l'avait réveiller.

Harry vomie dans l'herbe humide, il avait si mal, pas temps parceque sa magie était violante: une partie d'elle était douce, l'encerclant, elle reparaît ses blessure avec douceurs, comme il lui avait apprit, à force d'entraînement. Mais elle l'encerclant trop, elle était trop là, elle était trop grande et lui pas assez, il avait mal, son corps n'était pas assez fort pour autant d'énergie. Malgré son habitude maintenant à laisser sa magie en trop allé agard au tour de lui, comme un animal sauvage à qui on donne quelque fois à manger, la il y en avait trop.
Ça magie l'entourant était violante, tourbillonnant autour de lui, elle avait beau ne pas le blessé phisiquement, elle l'epuisait mentalement et cela se resentait, en la preuve de ces vomissements.

Il souffla et essaya de faire la vide dans son esprit, ignorant la douleur et la fatigue. Il se consentra sur l'eau, uniquement l'eau, le bruit de son écoulement sur les pierre, la mouse, l'herbe au bord. Puis il prit son souffle et poussa sur ses cordes vocales. Les notes s'enchainerent, lente douce, calme. Et sa magie, comme il avait apprit à le faire le suivi, doucement les song s'élevèrent, et suivirent la voix enfantines, qui parlait en une autre langue, aujourd'hui morte, de le vie douloureuse. La lettre à Élise avait toujours été d'un accord parfait avec sa voix.

Harry se rappela avec un sourire de toute ses heures, après ses corvees, qu'il avait passé dans la bibliothèque de quartier, à lire, encore et encore. Tout se qu'il pouvait, sur la magie, par les comts que lui interdisaient les Dursley, mais aussi sur la musique.
Il se souvent de ses heures passés dans une petite boutique à des rues et des rues de Privet Drive, où il courait chaque après midi, pour à défaut d'acheté une quelqu'onque fourniture avait enchanté le dirigent du magasin et avait promis de venir jouer chaque fois qu'il le pouvait dans sa boutique, s'il pouvait s'exercer ici. Le patron avait souri et l'avait testé, sans doute pour refusé ensuite en se moquant de se jeune qui pensait déjà pouvoir faire sans s'entraîne. Puis pleurant lui avait promis des cours pour façonner un peu, et gratuitement, se diament brut musical qu'il était apparemment.

Harry se remémora le jour où le gérant de la boutique musical lui avait dit, presque les larmes au yeux, qu'il ne pouvait plus rien lui apprendre, et que si Harry voulait savoir, il me ferait par lui même. L'enfant avait été surprit des dirent de l'homme, cela ne faisait qu'un mois qu'il lui enseignais et de tout se qu'il avait lut il avait surtout retiré une leçon tres importante. Quoi que se soit, seul le temps et l'entraînement assure le savoir et le talent. Si on veut, on peut, comme on dit.
Le gérant avait fait un sourire en entendant l'enfant mature - bien trop, sésait-il de se dire- protester en lui disant cela, et lui avait dit que, parfois, les talents inée existait, et que certe en travaillant une matière avec acharnent on pouvait égalé - voir même depasser- ceux qui avait un talent inné pour cette chose, mais que ceux aux talents inée apprendrait toujours plus vite.

Il n'avait plus jamais revue l'homme paisible. Il n'a pas pue le remercier, et lui dirent que grâce à lui il avait une raison de vivre, et Harry se disait bien souvent qu'il avait rêver l'homme.

Harry se leva ensuite, fatigué, tramblant, et répartit à son enfer personnel. Il aimait lorsque son corps n'avait plus autant de cette énergie, que seule une petite partit contrôlable restait.
En faisant ses corvées, Harry remercia les étoiles, quelque soit le dieu les dirigeant, qu'il soit seul ou plusieurs, de lui avoir envoyé l'homme, il y avait bientôt 2 ans de cela.

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