Chapitre 33

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Salim observa les fruits juteux de son épouse cachés sous ce soutien. Retenant un grognement, le cheick passa son indexe entre le seins de sa femme ce qui lui valut un gémissement de sa part.  Il continua de la caresser avec douceur, tendresse et amour. Ne pouvant plus tenir encore longtemps,  l'homme releva légèrement sa femme et dégrafa son soutien. Salim la fit coucher minutieusement sur le lit doux et sans plus tarder,  fondit sur l'un des fruits de son épouse. Il mangeait chaque fruit avec appétit. Le corps en feu, Nouria ne savait où se donner la tête. Elle était envahie par des milliers de sensations contradictoires.  Son mari libéra enfin ses seins et se mit à parsemer son corps  de baiser mouillé. Comme si ce dernier savait ce qu'il y avait dans cette partie où il s'était arrêté, il mit sa main sur cette partie les lèvres toujours sur sa peau et récita une prière inaudible. Nouria ferma les yeux comme si elle avait entendu ce qu'il avait dit et répondit in petto un amine.

Salim descendit jusqu'au bas-ventre de son épouse tout en continuant de lui faire des baisers mouillés.  Lorsqu'il vit le tissus qui renfermait le trésor, Son trésor , Salim serra les mâchoires.

- J'ai mit quinze minutes à mettre ça,  crois-tu pouvoir battre mon record en l'enlevant ? Demanda son épouse

- En moins de dix secondes  Habibti répondit Salim sûr de lui.

Nouria n'en doutait pas une seconde. Le désir qu'elle lisait dans les yeux de son mari lui montrait à quel point elle détenait un pouvoir sur lui. Les femmes étaient les faiblesses de leurs maris et en même temps leurs forces. Aucun homme ne pouvait résister devant le corps de sa femme. C'était un pouvoir que Dieu lui-même avait donné à la femme. Un pouvoir que toutes femmes devraient utiliser décemment afin de rendre leurs hommes fou et heureux.

La jeune femme sortit de sa léthargie lorsqu'elle sentit le souffle de son mari sur son intimité. Il avait déchiré sa lingerie en une fraction de seconde.

- Alors mon amour,  qui a gagné ? Demanda Salim levant la tête pour planter ses yeux dans ceux de sa femme.

- C'est t.. Salim ne la laissa pas terminer sa phrase et prit en bouche ton intimité.  Si jusque-là Nouria s'était retenue de gémir comme il se devait, elle n'avait pas pu résister à la torture que lui faisait son mari et se mit à gémir à tue-tête. Son mari dévorait son intimité avec gourmandise, il torturait son clitoris. L'homme s'arrêta au moment où Nouria sentait l'orgasme monté. La jeune femme émit un son de frustration ce qui fit sourire son homme.  Salim défit sa serviette exposant son dragon qui ne demandait qu'à être entre les cuisses de la jeune femme, chez lui,dans sa demeure. 

- Écartes les pieds pour moi mon amour ordonna Salim et c'est ce qu'elle fit. La jeune femme écarta ses jambes lui montrant sa chair rose. S'en fut trop pour Salim. Il écarta légèrement ses jambes et entra en elle en un coup de rein. L'homme ferma les yeux pour savourer ce bonheur d'être en elle. Il commença avec de long va-et-vient jusqu'à ce que leurs corps réclament plus. Salim augmenta la cadence de ses coups de butoirs les faisant gémir fortement. Nouria cria tant elle était assaillie de nombreuses sensations délicieuses. Son mari se mouvait en elle avait tendresse et en même temps avec force. Les coups du cheick redoublaient jusqu'à ce d'un coup de rein précis,  ils atteignirent nirvada.  Nouria ferma les yeux sentant son mari déverser sa semence en elle.

Salim se releva et regarda sa femme dans les yeux. Ils se regardaient sans rien dire avant que sa femme ne dise quelque chose qu'il avait lui-même refusé de dire par peur qu'elle le repousse. 

- Je t'aime Salim mumura la jeune femme les yeux remplis d'eau.   Salim essuya ses larmes et la prit dans ses bras. Il la serra très fort et ferma les yeux.

- Je t'aime aussi Habibti. Les larmes de la jeune femme redoublaient. Elle pleurait de joie, de bonheur. Aujourd'hui Nouria réalisait à quel point elle avait eu de la chance. Elle était à présent une femme comblée.  Cette jeune femme qui avait résisté pendant des mois, qui avait repoussé l'homme qui venait de lui faire vivre un moment inoubliable, cette jeune femme qui refusait l'approche d'un homme avait été séduite.  Pour la deuxième fois Nouria réalisa qu'elle avait été :

Séduite malgré elle...

Elle se détacha de son mari et lui prit la main. C'était le moment de lui dire qu'elle portait le fruit de leur amour en elle.

- Je réalise aujourd'hui que je suis une femme chanceuse débuta la jeune femme ; malgré que moi Nouria Al Zohra je t'ai repoussé, toi Salim Ismaïl tu n'as pas baissé les bras. Tu as lutté pour me prouver que tu m'aimais même si tu ne me l'avais pas dit. Tes actes étaient la preuve. Je t'ai menti et tu m'as pardonné,  je t'ai repoussé et tu es revenu à moi. Tu as fait de moi ta femme malgré les doutes que j'avais. Pendant des mois tu m'as rendu heureuse à présent j'aimerais te faire un cadeau même si je sais que ce n'est pas un cadeau que j'ai fait seule.  C'est un cadeau pour ton anniversaire mon amour même si c'est passé il y a trois jours dit-elle en riant. Son mari lui rendit le sourire.  Elle posa la main de son mari sur son ventre.

Salim dû cligner les yeux plusieurs fois avant de comprendre le message de sa femme.

- Ici se trouve le fruit de notre amour chéri. Je porte en moi le petit ou la petite Ismaïl dit la jeune femme sourire aux lèvres.

Heureux serait un petit mot pour décrire ce qui se passait dans le cœur de Salim. Sa femme portait en elle son enfant,  leur enfant. Un peu d'elle et de lui. C'était le plus beau jour de sa vie.

- Mon amour ! S'exclama Salim de joie il prit sa femme dans ses bras  il lui donna des baiser sur tout le visage et la serra très fort.  Tu fais de mois l'homme le plus heureux du monde.  Je t'aime !

- Moi aussi je t'aime chéri repondit Nouria le cœur rempli de joie.  Salim la serra très fort contre lui. Ils restèrent ainsi pendant de longues minutes sans dire un mot, savourant leur joie. Ils n'avaient pas besoin de parler pour exprimer leur joie. 

- À présent je crois Habibti que les choses vont changer parla sérieusement Salim.

- Quelle chose ? Demanda Nouria surprise par le ton sérieux de son mari.

- Tes sorties. Tu ne fournira pas d'effort. Tu seras surveillé à chacun de tes faits et gestes.

- Mais Sal...

- Et je t'interdis de contester mes ordres ordonna-t-il fermement.  Maintenant tu verras mon côté protecteur et possessif.

- Je ne pourrais vraiment pas sortir ?

- Non. Repondit Salim sur un ton catégorique. Tu auras tout à ta disposition au palais.  Tu resteras dans le palais jusqu'à ce que l'enfant soit en âge d'être présenté au peuple.

- Quoi ?? Souffla la jeune femme

- Eh oui Habibti.  Maintenant cette discussion est terminée.

- Pas pour moi Salim. Il est absolument hors de question que je reste dans le palais sans rien faire pendant neuf mois ou du moins sept mois ! Déclara Nouria

- Je réduis à six chérie dit-il le sourire aux lèvres.

- Non ! Je suis enceinte pas malade Salim.

- Raison de plus pour te surveiller.  Je ne me vois pas laisser ma femme se promener dans tout le pays enceinte. Soit tu acceptes,  soit tu acceptes. Point.

- Bonne nuit ! Dit la jeune femme se dégageant de son emprise. Elle lui exposa ses seins que Salim regarda avec gourmandise et se coucha sur le lit la mine boudeuse. Salim se mit à sourire et se coucha à son tour près d'elle.  Il la colla à son torse sans prendre en compte sa résistance et éteignait tout dans la pièce.

L'homme ferma les yeux avec un sourire d'homme comblé aux lèvres.  Plus rien ne pourra les séparer désormais se dit-il introspestivement.







La vie est parfois imprévisible...

Séduite malgré elle Où les histoires vivent. Découvrez maintenant