Chapitre 32

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Salim observait la voiture au avait envoyé les deux jeunes femmes se garer dans la grande cour du palais. Lorsque la voiture gara, Salim attendait que sa femme sorte de cette voiture et lui montrer avec son simple regard qu'elle n'allait pas échapper à sa colère.
La portière s'ouvrit et la femme de son ami sortit de la voiture. Celle-ci avait le visage masqué par l'inquiétude car elle savait que son mari n'allait pas lui faire de cadeau.  Lorsque cette dernière sortit enfin du véhicule,  Salim attendait patiemment que sa femme sorte à son tour ce qui n'arriva pas.  Sa belle-soeur avait fermé la portière et le chauffeur avait démarré la voiture pour aller la garer à l'endroit habituel.  Salim chercha des yeux sa femme mais ne la vit pas. 

- Où est Nouria ? Demanda ce dernier à la femme de son ami d'une voix maitrisée.

- Elle est dans le désert repondit Lyah.

Salim crû avoir mal entendu.

- Pardon ? Demanda le cheick croyant avoir mal entendu. 

- Elle est dans le désert ou du moins dans votre tente qui se trouve là-bas. 

- Que fais-t-elle là-bas !? Est-elle avec quelqu'un ? Demanda Salim de plus en plus en colère contre sa femme. 

- Non. Elle est seule et elle me charge de te dire qu'elle t'y attend impatiemment. Repondit Lyah sur un ton bizarre faisant froncer les sourcils de Salim. 

- Tu n'aurais pas dû la laisser là-bas seule ! S'exclama Aboubak qui jusque-là était silencieux.

- Je voulais rester avec elle mais elle a refusé.  Elle m'a demandé de rentrer voir mes enfants et de venir avertir son mari. Je n'avais pas le choix! En plus il fallait que je vienne rassurer deux fous! Vociféra Lyah

- Tu aurais dû nous appeler Lyah!

- Je n'avais pas la tête à t'écouter vociférer dans mes oreilles tout simplement parce que je suis sortie prendre l'air !

La discussion entre son ami et sa femme prenait une autre tournure et il fallait absolument que Salim mette un terme à cette discussion.

- Depuis combien de temps est-elle allée dans la tente ? Demanda Salim afin de mettre un terme à cette discussion.  Salim se disait être jaloux et possessif mais en réalité son ami était bien plus jaloux et possessif que lui.

- Une heure environ.

- C'est d'accord merci Lyah repondit calmement Salim alors qu'au fond de lui, il mourrait d'envie d'étrangler cette tête de mule. 

- Où sont mes enfants ? Demanda la jeune maman

- Ils sont avec ma mère. Elle a même demandé à te parler une fois que tu serais rentrée. Repondit Salim

- Bien. Je vais la voir dit-elle en s'en allant suivi par son ami qui n'allait pas l'épargner du tout.

Salim passa une main sur le visage et inspira un bon coup afin de faire descendre cette colère qui l'habitait.  Il appela l'un de ses employés pour qu'il prépare une voiture et se dirigea dans son bureau. Une fois dans son bureau, il ouvrit une caisse et fit sortir son arme qu'il emballa précieusement avant de sortir. 

~♤

Au bout d'une trentaine de minutes,  Salim arriva enfin devant la tente.  Il avait conduit comme un fou.

De son côté,  Nouria avait tout préparé pour faire la surprise à son mari. Sa belle-mère s'était chargée d'envoyer des gens pour décorer cette tente . Tout était magnifique on aurait dit qu'ils allaient passer leur nuit de noce dans cette tente et à cette pensée Nouria rougit en se rappelant de ce jour qu'elle n'oubliera certainement jamais. 
Le bruit de la voiture la ramena à la réalité. Elle savait à présent que son mari était là et elle savait également qu'il était en colère mais la jeune femme était confiante que sa colère allait descendre une fois qu'il verra tout ceci.

Il était dix-neuf heure lorsqu'il arriva.
Salim rentra en boucle dans la tente jusqu'à ce qu'il ralentisse ses pas lorsqu'il vit l'état dans lequel était la tente. Bougie,pétales de rose, la musique douce. Tout ici était d'un romantisme à couper le souffle. Salim marchait doucement de peur de détruire cette belle décoration.

- Bonsoir mon amour murmura une voix qu'il connaissait parfaitement.  L'homme leva les yeux vers cette voix qui était capable de le réveiller même mort  et ce qu'il vit faillit le faire perdre la tête.  Sa femme dans une nuisette rouge, sourire aux lèvres, le regard provocateur, la poitrine aussi ronde qu'une pamplemousse demandant de l'attention, plus belle que jamais.  Salim ne savais pas à quel moment sa colère avait disparu.

- On a perdu la voix chéri ? Susurra la jeune femme.
Salim était aphone. Très bien dit-elle en s'avançant vers lui d'une démarche sensuelle. 

- Il faut que tu prennes un bain mon amour dit-elle en commençant par lui enlever sa tenue du haut. Encore là Salim ne disait rien. Elle lui enleva tout le vêtements et le laissa en caleçon.  Elle lui agrippa le bras et le conduit jusqu'à la salle de bain.

Nouria savonnais le corps de son mari avec douceur créant en lui une raz de marée. Elle lui fit prendre son bain et au moment de sortir,  il lui aggripa le bras et la fit retourner et sans crier gare, il fondit sur les lèvres pulpeuses de son épouse.  Le baiser était sauvage, délicieux et douloureux. Par ce baiser Salim voulait la punir d'être sortie sans sa permission. 

Nouria elle appréciait la manière dont son mari l'embrassait. Si c'était ça sa punition, elle était prête à tout le temps le défier.  Elle se décolla de lui et sortit de la salle de bain suivie par son mari. 

Serviette ceint autour des hanches,  Salim observait le déhanchement de son épouse. Il savais que la soirée allait être longue, très longue même.

Nouria lui demanda de se coucher sur le ventre et il fit sans broncher. La jeune femme prit de l'huile de massage que sa belle-mère avait demandé à ce qu'on laisse là,  et se mit à masser son mari. Salim ferma les yeux, savourant le toucher de sa femme.  Ce touché qui réveilla son dragon.  In savait qu'il n'allait pas tenir encore longtemps. Il allait craquer et c'est ce qui arriva lorsque sa femme toucha ses fesses. Il se retourna et la souleva pour la faire asseoir en califourchon sur lui.

- Je n'ai pas encore terminée Salim repondit Nouria sur un ton de reproche.

- Moi je dis que si. Tu le rends fou Nouria ! La jeune femme n'eut pas le temps de répondre qu'il prit possession de ses lèvres charnues. Ils s'embrassaient avec passion, amour. Salim caressa le dos de la jeune femme. Celle-ci n'avait pas retiré sa nuisette et Salim comptait bien découvrir ce qu'il y a sous cette nuisette qu'elle avait refusé de retirer lorsqu'ils étaient sous la douche. 

Ne pouvant plus de ce baiser, impatient de posséder sa femme,  Salim fit retourner la jeune femme et se retrouva au-dessus de celle-ci. Il caressait sa cuisse donnant des frissons à cette dernière. Il continua de la caresser jusqu'à ce que sa main se dirige entre ses jambes. Il caressa légèrement sa féminité cachée sous ce tissus et sa femme se mit à gémir. Il tortura légèrement cette partie sensible et les gémissements de sa femme étaient plus intenses.  Ne pouvant plus,  Salim enleva la nuisette de son épouse. Salim faillit s'étrangler avec sa salive devant une telle beauté. 

La soirée risque d'être longue....

Séduite malgré elle Où les histoires vivent. Découvrez maintenant