After - Version Larry Stylinson TOME 2

Chapitre 160

Point de vue d'Harry :

La chair de poule monte sur sa peau alors que mes doigts glissent le long de ses bras, je sais qu'il a froid mais j'aimerais penser qu'ils viennent en partie de moi.

Mes doigts s'enroulent autour de ses bras avec plus de force lorsqu'il se déplace sur mes genoux, poussant ses hanches vers moi pour créer la friction que je veux et dont j'ai besoin. Je n'ai jamais autant désiré quelqu'un, si souvent. Oui, j'ai baisé plein de gens mais c'était juste pour le frisson, pour le droit de se vanter, il ne s'agissait jamais d'être plus proche d'eux comme avec Lou. Avec lui, il s'agit de la sensation, de la façon dont ces petites bosses se soulèvent sur sa peau à mon contact, de la façon dont il se plaindra qu'avoir la chair de et je roulerai des yeux vers lui même si je le trouve humoristique, la façon dont il gémit quand je mets sa lèvre entre mes dents et il fait ce bruit quand il revient, et surtout la façon dont nous faisons quelque chose que seul lui et moi partageons. Personne ne sera jamais proche de lui de cette façon.

Ses petits doigts bougent alors que je suce la peau sur son torse nu.

"On n'a pas longtemps." Je lui rappelle et il fait la moue, me donnant encore plus envie de lui.

"Alors dépêche-toi et déshabille-toi." Il demande doucement.

J'aime la façon dont il devient de plus en plus à l'aise avec moi au fil des jours.

"Tu sais que je n'ai pas besoin qu'on me le dise deux fois." Je fais remarquer, enroulant mes mains autour de chacune de ses hanches et le soulevant de moi et sur l'espace ouvert sur le canapé.

Seuls mon short et mon boxer sont retirés avant que je lui fasse signe de s'allonger pendant que je prends un préservatif dans mon portefeuille sur la table. Il fait glisser son pantalon de ses jambes, ce fichu pantalon. Je n'ai jamais, au cours de mes vingt années de vie, rien vu d'aussi sexy. Je n'ai aucune idée de ce que c'est à leur sujet, peut-être la façon dont ils s'accrochent à lui, montrant chaque courbe céleste, ou peut-être parce que je peux voir son cul parfaitement en eux, mais de toute façon je les aime tellement et je devrai peut-être le forcer à les porter dans la maison tout le temps.

"Tu devrais vraiment te mettre au contrôle des naissances, je ne veux plus les utiliser." Je râle et il hoche la tête, fixant mes doigts pendant qu'ils enroulent le préservatif.

Je le pense cependant, et je le lui rappellerai à nouveau dans la matinée.

Lou me surprend en me tirant le bras pour tenter de me forcer à m'asseoir sur le coussin à côté de lui.

"Quoi ?" Je demande, saisissant ce qu'il fait mais je veux l'entendre le dire.

J'aime l'innocence qu'il détient mais pourtant, il est beaucoup plus sale qu'il ne se permet de l'admettre, un autre trait dont je suis le seul à être conscient.

Il me fixe alors je décide de ne pas le narguer, à la place je m'assieds et le tire immédiatement sur moi, enroulant mes doigts dans ses cheveux et attachant mes lèvres aux siennes.

J'avale les gémissements et les cris venant de ses lèvres alors que je le pose sur moi, nous soupirons tous les deux et ses yeux se révulsent, me faisant presque jouir sur place.

"La prochaine fois, ce sera lent bébé, mais cette fois il ne nous reste que quelques minutes. D'accord ? " Je gémis dans son oreille alors qu'il fait le tour de ses hanches.

"Mmhmm..." Il gémit.

Je prends cela comme signal pour accélérer le rythme, mes bras s'enroulent autour de son dos et le tirent près de moi de sorte que nos poitrines se touchent, et soulèvent mes hanches en même temps qu'il fait le tour des siennes. La sensation est indescriptible, je peux à peine respirer alors que nous avançons tous les deux plus vite.