5# Aijō ga hitsuyō

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Besoin d'affection

[ 20 : 00 ] - Mercredi à la villa

Brusquement, il approcha son visage de mon cou et l'embrassa. Un frisson et une douleur me parcoururent le corps.

Lui : Pour commencer celle-ci...

Je ne savais vraiment pas quoi faire, nous étions mouillés et l'un contre l'autre tout ça parce que j'avais essayé de faire une bonne action.

Il me regardait comme si il attendait une réponse et moi je commençais à paniquer intérieurement parce que je n'avais jamais fait ça avant aujourd'hui.

Moi : Je... Je ne crois pas que ce soit la bonne méthode, répondis-je hésitante car en vérité il m'effrayait toujours un peu.

Lui : Tu en es sûre ?

Et à ces mots, il réitéra son action qui me fit perdre mes moyens car ses baisers étaient d'une telle douceur sur ma peau que je finis par étouffer un petit cri et espérais qu'il ne l'ai pas entendu.

Lui : Tu.. as gémit là ??

Je rougis tellement j'avais honte, je le repoussais alors pour cacher mon visage, j'avais vraiment envie de disparaître et d'être loin de lui.

Lui : Tu...

Il ne finit pas sa phrase et me regarda un moment, puis il reprit.

Lui : C'est quoi ton prénom déjà ?

J'étais toujours mal à l'aise mais lui non, on aurait dit qu'il cherchait à changer de sujet. Peut-être pour me mettre plus à l'aise ?

Moi : Je m'appelle Yüna

Lui : Ton nom ?

Moi : Mu... Murakami

Kerian : Moi c'est Kerian Miura

Miura ? Le début de son de famille « miu » me fit penser au miaou du chat. C'était assez drôle.

Kerian : Qu'est-ce qui te fait rire ? Mon nom est si drôle que ça ? Dit-il fâché

Il semblait être quelqu'un de vraiment susceptible.

Moi : Non non il est parfait..

Kerian : Mouai, dit-il suspicieux

Puis on se regarda pendant deux bonnes minutes dans le blanc des yeux jusqu'à ce que je remarque que son regard finit par s'attarder sur... Ma poitrine ?!

Moi : Hé !! Tu fait quoi là ?? Dit-je en cachant immédiatement ce qu'il regardait

Kerian : Tu es mouillé-

Moi : Et alors ??! L'ai-je coupé, j'étais assez irrité par ce pervers

Kerian : Laisse moi finir bordel. Tu es mouillée et je voulais te dire qu'on voyait tes seins. Et de toute façon ta poitrine est trop petite pour qu'elle puisse m'intéresser, dit-il froidement

Alors là j'étais vraiment sous le choc, tellement sous le choc que je me relevais direct et sortie de la pièce en marchant très vite.

The first flowers of spring Où les histoires vivent. Découvrez maintenant