6# Warui aidea

18 2 10
                                    

Mauvaise idée

Ce que nous ne savions pas encore, c'est que cette sortie improvisée était une très mauvaise idée..

[ 17 : 00 ] - Jeudi au centre commercial

Nous étions arrivées au centre commercial Ginza Six et je fus éblouie par tant de luxure. Ce n'est que maintenant que je réalisais que je n'avais vraiment jamais voyagé au delà de mon confort.
Ce centre commercial devait valoir plus cher que tout ce que j'ai pu acheter dans ma vie.

Nous étions restés debout, planté là devant cette immense galerie

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.


Nous étions restés debout, planté là devant cette immense galerie. Je crois qu'Abby avait dû se tromper d'endroit.

Moi : Abby je pense que l'on devrait rebrousser chemin, nous n'avons pas les moyens d'aller là..

À cette instant, je vis un petit rictus se dessiner sur ses lèvres et un rire sarcastique s'échappa de sa bouche.

Abby : Yüna...... Dis moi que tu plaisante

Je ne savais pas vraiment comment réagir à cette nouvelle facette que je venais de découvrir, elle était... un peu effrayante.

Moi : On devrait faire demi-tour

- JAMAIS ! Répondit-elle excité.
Elle sorti une carte toute noire et la leva fièrement comme si c'était un trophée.

Abby : Ceci très chère, est une carte bancaire illimitée fraîchement volé. Je peux te dire que je ne ressortirai pas de ce centre commercial les mains vide, dit-elle s'avançant dangereusement vers une boutique de vêtements qu'elle avait déjà repéré.

Moi ( sous le choc ) : Maiis attends... À qui l'as tu volé ??

Abby : À celui qui t'a brisé le cœur, dit-il en me faisant un clin d'œil

Je n'arrivais pas à croire qu'elle était également kleptomane et qu'en plus elle avait réussi à volé Kerian. Décidément j'en apprenait tout les jours avec elle.

Par la suite, Abby m'entraînait dans toute les boutiques de vêtements, de sous-vêtements, de chaussures, de bijoux ou encore de maquillage qu'elle voyait. Et la plupart du temps c'était des magasins de luxe. Je ne me sentais pas vraiment bien car je savais que ce que l'on faisait n'était pas raisonnable mais lorsqu'elle me fit essayer une première robe je fus un peu déconcertée par la taille que celle-ci me donnait.

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
The first flowers of spring Où les histoires vivent. Découvrez maintenant