Fin pour Hajime Kokonoi. Partie 1/3

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PS : avant toute chose, cette suite reprend à la fin des évènement du chapitre 51( comme si la fin avec Inui n'avait pas existée).

POV 1er personne: 25 mars 2006.

J'étais allongée dans mon lit, fixant le plafond alors que les doux ronflement de Seishu emplissaient la pièce. Il avait son bras drapé sur mon ventre et sa tête reposait sur ma poitrine tandis que l'un de mes bras était autour de ses épaules pour le tenir contre moi.

J'arrivai plus à dormir correctement depuis pratiquement un mois mais personne ne s'en était encore rendu compte, je repensais sans cesse ce que j'avais ressenti en tuant Kisaki. Après coup, ça ne m'avais fait ni chaud, ni froid mais... pendant que je lui fracassais le crane, un état d'exaltation, d'euphorie parcourait mon corp. L'envie de ressentir à nouveau ces sensations me bouffait de l'intérieur.

'T'as préféré être égoïste et ne penser qu'à ta gueule!! C'est de ta faute!!'

'Je ne savais pas que tu étais capable de verser des larmes...'

'C'EST UN PUTAIN DE MONSTRE!!!'

Les gens me voient tous ainsi, une chose dépourvu d'empathie ou de toutes formes émotions... ils ont peut-être raison dans le fond. Pensai-je en sentant mon cœur se serrer douloureusement dans ma poitrine.

Je n'arrivai absolument pas à me rendormir malgré tout les efforts que je faisais, j'ai donc décidé de sortir en plein milieu de la nuit pour aller prendre l'air et me rafraichir les idées. Vêtu d'un jogging, d'un sweat à capuche et de mes geta habituelle, j'ai grimpé sur ma babu pour rouler je ne sais où en espérant me vider la tête.

J'ai roulé à fond dans la ville puisqu'il n'y avait pratiquement personne de sortit à cette heure tardive puis j'ai fini par me garer pour marcher un peu au milieu de ces magnifiques rues illuminées et décorées de toutes sortes de chose.

Tout se passait pour le mieux jusqu'à ce que j'entende les cris de détresse d'une femme, mon sang n'a fait qu'un tour avant que je ne me mette à courir vers la provenance de ces cris. J'ai commencé à traverser une ruelle avant de voir une femme entourée par quatre hommes visiblement ivres.

"Je vous ai dis que je n'étais pas intéressée!"

"Allez ma jolie..."

"On sera gentil avec toi si tu la fermes et nous laisse fa-arg!" il a été coupé par mon pied entrant en collision avec sa mâchoire.

"..Ha...hein?!"

"Qu...qu'est-ce qu'il vient de se passer?!!"

J'ai fais signe à la femme de rentrer chez elle avant de me retourner vers les quatre types encore debout en faisant craquer mon cou.

"Bon... à qui le tour?!" leur demandai-je avec un sourire qui les fit frissonner de terreur.

"O...on est désolé!"

"Ha? J'en ai strictement rien à battre... vous alliez vous en prendre à cette pauvre femme malgré qu'elle vous ait poliment demandé de lui foutre la paix. J'adorerai vous laisser partir avec un simple avertissement mais malheureusement pour vous... vous faites partit du genre de type pour lesquels la force est nécessaire afin de leur faire rentrer quelque chose dans le crâne.

Pour faire court, j'vais vous démonter la gueule jusqu'à ce que même votre mère ne puisse plus vous reconnaitre mais également jusqu'à ce que vous imprimiez dans vos cervelles de macaque décérébré que lorsqu'une dame vous dit non... c'est qu'elle ne veut pas. Le respect, ça s'apprend donc... laissez-moi vous donner une bonne leçon, les garçons." leur expliquai-je en me dirigeant lentement vers eux.

The eldest; TokrevOù les histoires vivent. Découvrez maintenant