La fin

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- Nan mais ça va pas bien monsieur ?

- Si.

- Je vous prends rendez vous avec un psychatre.

- Je vous dit que je vais bien.

- Vous voulez vous marier avec un sourcil et un camion alors non , vous n'allez pas bien.

- Mais monsieur ...

Le délegué raccrocha au nez de Kisaki qui se tourna vers ses conjoint , avec une grimace décue.

- Il a pas voulu ...

- Non jure.

- Je  vous aime vous savez....

Le sourcil prit la parole   bégayant

- Je... Je ne vous ai pas dit ... Mais j'ai déja quelqun ... Mais ...

Kisaki sentit son coeur se déchirer. Ses espoirs   son apour . Sa joie. Elle le sentiment des poils du sourcil sur lui , en une seconde s'étaient envolés.

Le sourcil partit en claquant la porte , non sans adresser un dernier regard effondré  A tetta et au camion . Ce dernier bouche bée , ne pouvait bouger ( comme d'hab)

- Je dois m'en aller ... fit le camion.

- Va , de toute façon la vie n'est qu'ephemère , et tout ce qui a été assemblé se désagregera . Comment Vaije sortir de ce labyrinthe de souffrance sans toi ? Tu me propulse dedans et tu ne peux m'en relever ? Les fleurs du mal que t'u m'offres sont qu'artefacts de nos vies passés. Symbolisant la vie et la mort. L'amour et la Haine. Ce n'est que les fantomes de nos peurs qui ressurgissent maintenant et me languissent des ces chansons d'autres fois. Tout ces souvenirs et ces sentiment me prennent et m'enferment dans des tourments déja oubliés. Les promesse non tenues , les lettres jamais envoyés les idées jamais exprimé. C'est cette forme de nostalgie que je ressens. Les formes s'entremelent dans la pupille des mes yeux et l'amour s'en fait plus fort. Partons sur cette mer de de Jade au loin sans ce soucier de cette nostalgie qu'est l'amour ... Ca nous rattrapera mais cette lumière incansescente , nous devons la bruler jusqu'au bout...

- Tu peux allumer ma clé de contact stp ... et ta geule tu dit que dla merde on dirait ma prof de Français ...

- Putain j'avais sorti un tuc de malade laaaa , sur la soufrrance , l'amour.

- Non j'ai rien compris et jte parie qu'aucun lecteur n'aura lu ça jusqu'a la fin.

Kisaki s'élança derrière la camion qui s'enfuiait probablement par ce que 8 centimètres c'était pas assez pour lui .

Le camion passa.

La vie jouait sa dernière danse dans les yeux de Kisaki . Elle fit sa réverence.

Des formes inconnues s'imprimèrent dans sa rétine. Du rouge. Beaucoup de rouge. Il reconnu les yeux d'Hina. Son ballon . Son uniforme. Un gode ( me demandez pas ce que ça foutait là) .
Un peu de bleu. Le visage de tout les gens qu'il avait trahis.

Et il cessa tout simplement de voir.

Kasaki x ses sourcils x le camionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant